🍋Hernandez x Sané🍋

Dédiée à ma petite-soeur ❤ Juliara_ ou Fictionfoot8

Ce soir, mon petit-ami m'emmène au restaurant après avoir passé presque un mois à l'hôpital. Oui, à l'hôpital, car en allant chasser avec mon père, mes oncles et leurs fils, je me suis pris une balle perdue à l'épaule à cause d'un de mes cousins. La douleur avait été horrible, sentir la balle perforer ma peau et éclater en fragments qui ricochèrent sur mes muscles, mes os et m'envoyèrent des signaux jusqu'au nerfs avant de ressortir juste au-dessus de mon omoplate avaient été beaucoup trop pour moi à supporter. Je m'étais évanoui sur le coup. Je n'en voulais pas à mon cousin qui n'avait pas arrêter de se confondre en excuses et être au petits soins avec moi, mais j'étais déçu de ne pas pouvoir participer aux matchs et d'être rester cloué au lit dans la maison familiale en Allemangne; mes parents avaient catégoriquement refusé que je rentre chez moi.

Maintenant, j'allais beaucoup mieux même si je devais toujours faire attention à mes mouvements et changer le bandage de ma blessure, puis mes parents avaient gentiment accepté que je puisse sortir avec mon petit-ami que je n'ai donc pas vu après un mois. Il prenait de mes nouvelles et m'appelait en visio souvent, mais ça ne me satisfaisait pas.

- Leroy ! Lucas est là !, me crie ma mère depuis le bas des escaliers.
Je me parfume et vérifie qu'aucune mèche de cheveux se rebellait, puis sors de ma chambre. Je retrouve mon petit-ami en pleine conversion avec mes parents qui riaient à gorge déployée. Je souris discrètement face à la scène. De toute façon, mes parents avaient toujours beaucoup apprécié le joueur franco-espagnol, et cela dès leur rencontre. Comment ne pas aimer Lucas Hernandez aussi ?

- Ah ! Te voilà enfin fiston !

Leur attention se posèrent sur moi après que mon père est annoncé ma présence. Je vis le regard de Lucas se réchauffer et s'adoucir en me voyant. Je baisse les yeux, sentant mes joues chauffer et avance vers eux, prenant la main tendue par Lucas.

- Bon ! Souleyman, Regina, j'aurai aimé rester à vos côtés et bavarder plus longtemps, mais je dois emmené votre sublime fils à dîner avec moi ce soir.

Je ne pu m'empêcher de rouler des yeux devant son jeu foireux d'acteur et la naïveté de mes parents qui sont charmer par mon petit-ami. C'est vrai que Lucas possédait une sorte d'aménité et des attraits qu'il savait très bien mettre à profit. Il n'hésitait pas une seconde à les utiliser pour se faire voir, ce qui fait que les gens étaient toujours attirés par lui et se sentaient rapidement en confiance en sa présence. Il savait mettre les gens à l'aise.

- On ne va pas vous retenir plus longtemps, les jeunes. Passez une excellente soirée !, ria mon père, sa main posée sur la hanche de ma mère collée à lui alors que moi, je me tenais timidement aux côtés de Lucas, lui aussi entourant ma taille de son bras.

- On n'y manquera pas !, s'écrie le franco-espagnol à mes côtés avec un large sourire poli avant de nous diriger vers la sortie du château. Je peux enfin soupirer.

- Pourquoi tu soupire mon amour ?, me questionne-t'il pendant qu'on descends les nombreuses marches de la bâtisse.

- Pour rien Lulu. C'est juste que mes parents t'apprécient un peu trop à mon goût., je partage avec lui en faisant bien attention à ne pas rater une marche. Je suis déjà tombé du haut des dix marches en pierres jusqu'au gravier qui composait l'allée et je peux vous jurer que ça fait très mal.

- Tu ne devrais pas être content que tes parents m'aiment bien ?, il semblait vraiment ne pas comprendre ma remarque.

- Si, mais c'est un peu embêtant à la longue. Limite mon père demande plus de tes nouvelles que les miennes !

- Serais-tu jaloux ?, il me lance sur un ton taquin tandis qu'il m'ouvre la portière. Je le regard de travers, ennuyé.

- Continue à me provoquer et tu verras ce que je vais te faire., je le menace sans aucune animosité, la voix monotone.

- Moi aussi je t'aime mon petit Lele (Lili) !

Je roule des yeux à nouveau, sans réussir à cacher mon petit sourire en coin, et monte dans la voiture. Lucas referme la porte derrière moi et monte côté conducteur.

- On va passer une très belle soirée., dit-il en posant sa main sur ma cuisse qu'il remonta un peu trop haut, puis quand je le regarde dans les yeux, il ne fit qu'afficher un air innocent et un très grand sourire. Quel idiot celui-là.

Je lâche un petit rire par le nez.

- J'espère bien pour toi.

On arrive au restaurant. Un petit lieu assez cosy situé au dernier étage d'un immeuble de luxe avec vue sur la mer. Quand on y rentre, on se dirige vers le pupitre lutrin de l'accueil et le serveur prend immédiatement la réservation de Lucas avant de nous emmener à notre table installée sur la terrasse extérieure, au bout milieu de l'espace avec les bougies de la chandelle allumées et quelques pétales de roses disposées un peu partout sur la couverture et le sol. On avait la terrasse rien que pour nous avec vue sur la mer et des rideaux nous cachaient des regards indiscrets.

- C'est pour moi ?, dis-je, vraiment ému tandis qu'il me tire la chaise.

- Non, c'est pour le pape., ricane-t'il en s'asseyant face à moi.

- J'ai mon couteau juste à côté de moi.

- Bien sûr que si mon ange, tout ça c'est pour toi et rien que pour toi., il me sourit doucement en prenant du bout des doigts ma main sur la table.

- Hum..., fis-je peu convaincu., On fête  quoi exactement ?, repris-je en regardant tout autour de moi. Qu'il pouvait être romantique quand il le voulait.

- La victoire de l'équipe face à Energie Cottbus, trois buts à un.

- Je vais te gifler.

- Pour fêter nos retrouvailles, mon petit ange à moi ! Tu m'as énormément manqué ! Ne pas te voir pendant un mois m'a vraiment été insupportable., parle-t'il en me regardant droit dans les yeux et je vois qu'il est sincère. Je lui souris en voulant faire ma diva.

- Pourtant, tu ne m'as toujours pas embrassé., il sourit en coin et se pencha en avant pour attraper ma nuque et rapprocher mon visage du sien. Une fois fait, il me sonde un instant des yeux, me caressant doucement la nuque du bout de ses doigts, puis il inclina légèrement sa tête sur la gauche et je fis de même dans le sens inverse. Je ferme les yeux, les lèvres légèrement entrouverte et il fit une légère pression au début, frôlant juste nos muscles labials l'une contre l'autre.  
Je lâche un petit soupire de bien-être. Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas goûter à ses lèvres. Il passe délicatement sa langue sur ma lèvre inférieure et j'entrouve plus grand mes lèvres, lui donnant accès à ma cavité buccale. Il y engouffra sa langue et elle se mit à vouloir se placer au-dessus de la mienne, comme pour dominer le baiser. Je retrouvais bien là Lucas. Il verrouille ma lèvre supérieure entre ses lèvres et la mordille, puis met fin à notre baiser et se recule pour me regarder dans les yeux, un petit sourire satisfait au visage.

Ne pouvions-nous pas juste rentrer à la maison ?

- Sommes-nous vraiment obligé de rester ? Parce que, personnellement, j'ai pas très faim., se plaint-il en faisant la grimace.

Il avait lu dans mes pensées.

- Peut-être, mais moi, j'ai faim.

Ça aurait été trop facile si j'avais céder, je pouvais très bien manger après nos activités, mais j'avais envie de le faire patienter.

Il soupire discrètement en se forçant à m'offrir un sourire, mais je savais très bien qu'au plus profond de lui, il avait le seum. Super moment que je vivais !

- Puis-je prendre vos commandes messieurs ?

Nos têtes se lèvent vers le serveur en question et nous lui disons ce que nous souhaitons après avoir longuement feuilleter la carte. Avec le baiser, on avait un peu oublié de faire notre choix.

On le remercie, puis continuons à discuter de tout et des rien, nos mains toujours liées sur la table. On se regardait amoureusement, et je pouvais me sentir rougir sous le regard ardent de Lucas. Cet homme, je vous jure, il me mettait dans tous mes états.

Le serveur reviens avec nos plats, ayant déjà apporter nos boissons plutôt, puis s'en va à nouveau après s'être assuré qu'on ne manquait de rien.
On continue de manger toujours dans la même atmosphère de tout à l'heure. Je riais aux blagues vraiment nulles de Lucas qui se croyait réellement drôle. Pourquoi les blagues les plus merdiques sont les plus risibles ?

- Oh la disquette à deux balles !, je soupire en roulant des yeux, amusé par Lucas qui danse des sourcils avant de prendre un petit air enjôleur.

- Tu ne serais pas sniper par hasard ? Parce que dès que je t'ai vu, ta beauté ma tirée une balle dans le coeur., murmure-t'il avec une voix qu'il pensait séductrice.

J'avais très envie de le taper. Elle était péter sa disquette.

- Non, mais j'ai un cousin excellent au tir !, rétorquais-je avec amusement.

- Si tu parle de ton cousin Anderson, c'est mort. Jamais j'irais à la chasse avec lui., il conclut en buvant dans son verre de vin.

On continue de rire tout en finissant notre assiette. Il règle la note, puis nous conduis jusqu'à sa maison en Allemagne. Sur tout le chemin, on s'est fais un karaoké de malade, passons par des génériques de dessins-animés à des vieilles chansons allemandes et françaises d'une époque où même nos parents n'étaient même pas encore nés. On avait tout les deux de vieilles voix, mais bon, pour le moment, on ne se préoccupait pas tellement de ça.

On arrive finalement chez lui et je frissonne en rencontrant la chaleur de l'intérieur. C'est vrai qu'à l'extérieur, il faisait encore froid avec cette neige qui tombait tout doucement.

- Je vais prendre une douche !

- Ok.

Il me répond depuis la cuisine et je pars prendre des affaires dans sa garde-robe avant de me diriger vers la salle de bain attenante.

Je soupire de soulagement au contact du jet chaud sur ma peau que je ne savais pas si frigorifiée, restant un bon moment sous la douche à me savonner et me délecter de la chaleur. Puis, en voyant la vapeur qui planait dans la pièce et le miroir recouvert de buée, je me décide à regret de sortir de la douche, m'essuie tranquillement, m'habille et sors de la salle d'eau en éteignant la lumière derrière moi.

Mon petit-ami, allongé en caleçon sur son lit, tourne sa tête dans ma direction, me souriant chaleureusement.

- T'en as mis du temps !

- L'eau chaude était trop bonne.

Je souffle avant de monter sur le lit en l'embrassant chastement, puis prend son bol de popcorn avant de me mettre à laisse et retirer la série Netflix inintéressante qu'il a mis. La Casa de Papel, c'est grave surcôté.

- Hé ! Tu fais quoi ?, réagit-il immédiatement.

- Va te doucher., lui dis-je simplement.

- Dis-moi que je pu carrément !, bougonne-t'il.

- J'ai pas dis ça, mais si tu le pense..., je le regarde en biais, taquin, mais il roule des yeux et se lève, se traînant jusqu'à la salle de bain dont il ferme la porte à clé.

Je m'installe plus confortablement et me met sur le côté droit, sentant mon épaule commencé à me lancer, puis saisi mon téléphone pour traîner dessus, réactualisant le fil d'actualité afin d'attendre le retour de Lucas. Mais c'était sans compter sur le sommeil qui venait, j'étais tellement fatigué que je finis par m'endormir, et là seule chose que je sens avant de complètement sombrer dans les bras de Morphée, est Lucas se glissant derrière moi et entourant ma taille de ses bras avant de m'embrasser sur la joue et de me souhaiter une bonne nuit.

🍋

Je sens quelque chose bouger derrière moi et des bestioles s'amuser à me bécoter la peau. Je remue en grognant doucement, mais elles persistent ces bestioles de pacotille là !
Puis je sens une chose presser contre mon fessier. J'ouvre en grands les yeux. C'était Lucas qui me caressait et m'embrassait la peau et la chose que je sentais contre mes fesse n'était autre que son érection. Il était nu !

- Lucas ?, je tente d'une voix presque timide.
Mais il ne me répond pas et continue ses papouilles. Il passe sa main sous mon tee-shirt qu'il relève en même temps et vient me pincer le téton gauche et je frémis de tout mon être en lâchant un petit soupire.

- Lucas., je gémis en essayant de me retourner, mais il exerce une telle force sur moi que je ne peux mouvoir que ma tête. À peine je tente d'ouvrir la bouche qu'il y fourre sa langue et joue avec la mienne fougeusement. J'y répond immédiatement en passant tant bien que mal ma main derrière sa tête, approfondissant le baiser. Il se colle à moi et je sens le bout de son membre frapper contre mes testicules. Il fit quelques mouvements de frictions pour m'exciter, puis passa sa main dans mon caleçon, toujours nos lèvres scellées ensemble, et fit de lents mouvements de va-et-vient sur mon pénis.
Il continue ses frottements contre ma peau tandis qu'il entra un doigt en moi. Entre-temps, on s'était lâché pour reprendre notre souffle avant de se manger à nouveau la bouche, nos langues tournant même autour de l'autre à l'extérieur de notre bouche. Je me fige au deuxième doigt, mais me calme rapidement après qu'il ait entamer ses mouvements de ciseaux avant de rapidement rajouter un troisième doigts.
J'en pouvais plus. J'avais mal au cou à force d'être dans cette position et Lucas s'amusait à jouer avec mes nerfs.

- Putain Lucas, tu peux- Aaanh.

Ma tête tombe violement en arrière quand il me pénètre sans même me prévenir. Il ricane et se niche dans mon cou, me faisant des suçon du cou jusqu'à la clavicule. Ses coups de reins étaient vifs et heurtaient à chaque mouvements ma prostate.

Il passe sa main sous ma cuisse et la soulève, la coinçant contre son bras. J'étais à moitié allongé sur le dos, tourné vers lui afin de l'embrasser. Waw, la position de la petite cuillère, c'était une première pour moi.

Il passe sa main libre sous mon flanc droit qui était contre le lit et me branle au même rythme que ses coups de reins qui allaient de plus en plus vite, me faisant gémir comme un fou. Mon corps se balançait de haut en bas sans que je puisse me retenir et ma voix emplissait la pièce, exprimant mon plaisir. Un bras posé à plat sur le lit pour me maintenir et l'autre autour du cou de mon petit-ami positionné derrière moi et qui me pillonait de l'intérieur sans aucun cruspule.
Je me sentais venir, et je n'ai même pas eu le temps de le prévenir que je jouis en multiple jets sur le lit et quelques coups de reins plus tard, il vient à l'intérieur de moi, me faisant frissonner à nouveau.

Il redresse ma tête molle et qui tournait, puis m'embrasse doucement, longuement, sans y mettre la langue, toujours à l'intérieur de moi.

- Je t'aime comme un fou Leroy.

Il m'embrasse à nouveau, me parlant en français.

- Et je taimerai toujours.

Fin !

▪Avis ?
▪Commande ?
▪Comment allez-vous ?

▪ Je remercie Emilie_cat pour m'avoir donné une idée de plan !

[¡𝐒𝐚𝐲𝐨𝐧𝐨𝐫𝐚!]

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top