🍋Alisson Becker x Hugo Lloris
■
Commande de HajerKhemiri
⚠️Contenue : viol, etc...
■
Promenons nous dans les bois
Pendant que le loup n'y est pas
Si il y était, il nous mangerait !
Court, court et continue de courir. Je te rattraperai, ne t'inquiète pas. La nuit tombe et les esprits se réveillent.
Tu es perdu. C'est ma maison, mon territoire et tu l'as profané.
Tu vas me le payer.
Loup, y es-tu ?
Je suis là !
Devant toi, derrière toi, à tes côtés et bientôt en toi.
Partout où tu vas, je serai présent. Ça ne sert à de fuir : tu ne peux pas t'échapper. Ici, c'est mon domaine. Je le connais comme mes tables de multiplications.
T'es qu'un être-humain, faible et stupide, je suis un loup-garou fort beau et intelligent.
Entend tu ?
Oui je t'entends. J'entends ta respiration et ton coeur battre la chamade. Tu as peur ? Nan, il ne faut pas. Je suis un gentil moi ! Je promet de ne pas te faire de mal. Laisse toi faire et tout ira bien.
Promis, petit être inférieur.
Que fais-tu ?
Je finis de dévorer tes amis et ta famille. Tes filles étaient délicieuses ! Quoi de mieux que la fraîcheur de la jeunesse ! Une viande de qualité n'est pas de refus. C'est bien aimable à toi, Hugo de mes les avoir apporté.
Je te recompenserai pour ta bonté.
Et ta femme ! Elle, j'ai bien pris le temps de la torturer. Elle est morte en te détestant. Tu l'as abandonné face à moi. J'ai essayé de lui faire comprendre la raison de ta gentillesse qui t'a permis de t'enfuir, que tu as voulu me donner un peu de nourriture, mais elle a fait la sourde oreille. Sa carcasse est maintenant empestée d'asticots et de vautours, ainsi que de quelque corbeaux.
Mais comme il n'y est pas, il ne nous mangera pas.
Évidemment. Pour toi, j'ai d'autre projet, je ne te mangerai pas comme je l'ai fais avec ta femme, tes enfants dont ton bébé et tes amis. Vois tu leurs têtes décapités ? Je les garde en souvenir, accrochés sur mon mur. Les animaux de la forêt jalousent mes trouvailles tandis que d'autres me félicitent.
Arrête de fuir.
Pourquoi t'évertues-tu à continuer de courir, à t'éloigner de moi pour une raison qui m'est inconnu ?
Vient Hugo, vient. Je ne suis pas dangereux, je ne veux que ton bonheur.
Je jette un regard par-dessus mon épaule et failli m'étaler au sol, me prenant les pieds dans les racines. Mon coeur battait la chamade. Je suis fatigué, affamé et apeuré. J'ai vu toutes les personne que j'aime se faire dévorer sous mes yeux. Je suis le dernier survivant et je me demande si je réussirai à sortir ici un jour. Cette forêt me semble étrangement immense ! Et si je courais en rond depuis des heures ? Et si...et si j'étais condamné à rester enfermé ici ?
Je m'arrête pour la première fois depuis je ne sais combien de temps, reprenant ma respiration en m'appuyant contre un tronc d'arbre. Je courais, le soleil était haut dans le ciel, maintenant, c'est au tour de la lune d'illuminer le monde. Il fait froid et j'ai terriblement peur. Je deviens parano. Je sursaute à chaque bruits de feuilles, je marche en regardant derrière moi, je cesse de respirer au moindre pas d'animaux et mes yeux me prient de se refermer. Je suis à bout.
Je suis crevé et j'ai faim. Depuis le pique-nique de plus tôt, je n'ai rien manger qu'un sandiwch et une pomme. Mon estomac me faisait mal à se contracter sur du vide, me paralysant quelque fois sur place avant que je ne reprenne la route.
Je finis par me poser au bord d'un étang où je me laisse tomber à genoux et plonge tête la première dans l'eau glacée, rafraîchissant ma peau bouillante et poisseuse. Qu'est ce que je ne donnerai pas pour retrouver mon chez moi et toute ma famille.
Justement, ma famille...Des larmes commencent à couler d'elles même sur mon visage. Je me retrouve veuf. J'ai perdu ma femme, ma moitié, ma partenaire, mon univers, celle que j'aime depuis belle lurette et qui a toujours été là à mes côtés. J'ai été lâche, je les ai abandonné à cette bête sans cruspule, préférant fuir pour sauver ma peau.
Promenons nous dans les bois
Pendant que le loup n'y est pas
Si il est était, il nous mangerait
Mais comme il n'y est pas, il ne nous mangera pas.
Je le déteste. Je ne veux qu'une chose : qu'il meurt. Cette fois-ci, ceux sont des larmes de colère qui en découlent de mes yeux sombres. Mes mains se resserrent sur mon pantalon taché de terre et de boue. Je me relève, déterminé à sortir d'ici vivant.
Pendant que le loup se repose, je reprend mes recherches et mon acsencion jusqu'à l'orée de la forêt. Si je veux le tuer, j'aurais besoin d'armes et de plus d'informations à propos de cet endroit et ses secrets cachés.
Je me relève, combatif et essuie mes larmes d'un rapide mouvement de colère. À quoi ça sert de pleurer ? Il n'en faut pas la peine.
Je fit volte face et me remit à courir afin d'aller carrer un super plan d'attaque.
Promenons nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas,
Si il y était, je le buterai, mais comme il n'y est pas, j'vais le buter après.
Caché en hauteur sur une colline pleine d'arbres, j'attends patiemment qu'il montre le bout de son museau. Je vérifie que tout est bon et charge une dernière fois mon fusil de chasse qu'un gentil bûcheron a bien voulu me prêter. J'ai finis par trouver sa petite maison fait de brique après avoir pas mal marché à travers la végétation dense et lugubre.
Il m'a dit que le loup avait tenté de le manger et que pour cela, il avait user de son super souffle contre sa maison qui a résisté. Fatigué de multiplier ses échecs, ce fils de pute a finit par abandonner, partit manger les deux autres frères au chasseur qui eux possédaient des maisons faites de pailles ou de bois.
Je lui ai promis de les venger, ses frères, mes amis et ma famille. Surtout ma femme et mes enfants. Il n'a pas hésité une seconde avant de dévorer tout crû mon fils nouveau-né.
Je sors de mes pensées quand j'entends un bruit de feuillages. En tendant l'oreille et me concentrant sur l'origine du bruit, je peux très bien l'entendre se gratter contre un tronc d'arbre pas très loin d'où je suis, lâchant un bâillement un peu plus semblable à un grognement bas.
Je me déplace avec agilité sur mes pieds, stabilisant mes appuies et lève lentement mon arme, faisant attention à faire le moins de bruit possible.
Les stridulations des insectes m'agaçaient quelque peu, mais je ne perds pas de vue ma cible, la tenant au bout du canon. Je comptais en finir avec lui.
Le souffle contrôlé, l'esprit apaisé et le doigt sur la gâchette, un bruit à la fois inaudible et strident résonne à travers la forêt et le corps de la bête tombe mollement à terre.
Victoire !
Je me relève, le fusil fumant et la joie envahissant mes poumons, puis m'approche à grandes enjambées de l'animal geignant sa douleur, son calvaire.
Mais mon mood retomba brusquement en constatant qu'il ne s'agissait de rien d'autre qu'un loup. Un vulgaire loup clair. Où est donc passé le loup au pelage noir de tout à l'heure ?
Comment ai-je donc confondu un pelage brun au sien sombre, noire et brillant ?
La bête lâcha son dernier chuintement avant de s'en aller vers la Cimmerie. Je me frappe le front, indigné et gardant ma colère en moi, déçu de l'avoir manqué. Cela veut dire qu'il court encore dans la nature.
Le temps s'assombrit et le brume s'épaissit, soufflant avec force contre mon corps fatigué. Je me recule afin de rentrer chez le vieil homme. Je tenterai à nouveau ma chance plus tard.
Mais à peine eus-je le temps de me retourner, qu'on happa le col de mon tee-shirt et m'envoya valser loin de ma position, partant me cogner le dos contre un rocher.
Je gémis de douleur, ayant senti un craquement dans mon colonne vertébrale. Mon fusil est loin de moi et je me met à ramper vers lui, le corps affreusement douloureux, les sens complètement sonné.
Alors que j'étais à deux doigts d'attraper mon arme, on me tira par la jambe et je cria en sentant ses griffes s'enfoncer dans ma peau jusqu'à l'os.
Il me ramena à lui et me tourna sur le dos. Je panique. Je happe une pierre afin de lui frapper le crâne, mais il me bloqua dans mon geste et me tourna le bras dans un mauvais axe, le cassant. Je ne pu réprimer mon hurlement.
Le haut de son corps se changea en humain sauf le reste qui resta animal, tel le loup garou qu'il est. Avec sa force surhumaine, il appuya sur ma gorge et je me sentis rapidement manquer d'air, devenant violet. Mes mains se refermèrent sur son avant-bras, le griffant et le frappant malgré la douleur de mon bras gauche que je sentais à peine.
Mes yeux s'écarquillèrent en sentant l'air frais et les herbes piquantes à cause de la sécheresse caresser ma peau nue; il arracha la totalité de mes vêtements.
Je frissonne au contact de ma peau sur le sol rugeux de la forêt, gêné d'être si faible et nu devant un monstre.
- Lâche-moi connard !, je lui hurle dessus en me défendant de toutes mes forces.
- Tout doux le loup ! Je ne te ferai pas de mal Hugo.
Il tapota ma joue comme un vulgaire animal. Je lui crache dessus. Il eut un moment de surprise, puis essuya mon rejet sur le haut de sa joue, ses yeux interdit, son visage vidé de toutes expressions.
- C'est mignon tout ça dis donc., dit-il dangereusement et je me met à trembler, fermant les jambes inconsciemment. Je dois avouer que maintenant, il me faisait peur et que je regrettais d'être là. Pourquoi n'ai je pas été dévoré comme les autres ? Non, mieux : pourquoi sommes nous venus ici à la place d'un petit parc de la ville ?
- Arrête., ma voix se brisa, terrifié par son aura lourde et vil qui émanait de lui.
Il se pencha à mon oreille et susurra :
- Tout va bien se passer Hugo.
Il me retourna et cogna brutalement ma tête contre le sol dur, tirant sur mon bras cassé.
Mes lèvres s'entrouvirent sur un cri sourd tellement je n'en avais pas la force, ayant beaucoup trop mal. Et sans attendre, il me pénétra violement.
Les larmes coulaient abondamment sur mon visage alors que je lui suppliais de cesser sa torture, mon corps entièrement dolent.
Il ne cherchait même pas à doser son impressionnante force. Je sentais des filets de sang couler de mon intimité, mon pénis me faisait mal à se balancer contre l'intérieur de mes cuisses; je n'étais même pas en érection.
- S'il te plaît...cesse ce supplice.
Promenons nous dans les bois Pendant que le loup n'y est pas
Si le loup y était, il te violerait
Mais comme il est y toujours, tu le sentiras passer.
Il continue de marteler mon intimité encore vierge jusqu'à maintenant. Je souffre. J'ai mal partout. Je pleure toutes les larmes de mon corps, anémié. Je n'ai même plus la force de crier ou de me débattre, les mains liées dans mon dos et le front se frottant contre les petits cailloux, arrachant petit à petit ma peau.
Une forte odeur de fer me parvenait au nez. J'étais recouvert de terre, de boue et d'herbes. Les animaux passaient à côté de nous sans même un pathétique regard vers ma personne.
Je me sens souillé. Violé par une bête. Le tueur de ma famille.
Des tâches noires apparaissent alors à ma vue. Tout est floue, tout tangue autour de moi. Il y a un drôle de mélange de vert, de gris foncé et de bleu nuit. Le soleil disparaît et la pluie s'abat violement sur nous. J'abrite mon visage en le baissant, m'inclinant en signe de soumission.
J'ai perdu. Je ne suis qu'un minable, un pauvre incapable. J'en ai grandement honte. Je veux mourir.
Le crachin semble excitée d'avantage la bête qui entre temps s'était totalement transformé en humain. Son pénis grandis en retrouvant sa forme de loup-garou et m'arracha un horrible hurlement, doublant mes larmes. Je veux en finir !
Mon bassin était disloqué à force d'être soustrait à la poigne de ce monstre. Je ressentais tout, comme je ne ressentais rien.
J'étais vidé de tout sens, de toute pensées, de tout sentiments. Le visage blême, je recevais ses coups de reins bestiaux sans rechigner. Les larmes coulait d'elles même; je faisais un burnout. Sûrement mon inconscient qui a repris les rênes de mon corps. J'étais loin, ailleurs, rêvant de jour meilleurs.
Une grimace me prit : un fin sourire. Je repensais à nouveau à la naissance de mon fils, Leandro qui s'est fait longuement désiré. Mon esprit se mit à ressasser d'anciens souvenirs sépia et je vins même à oublier l'instant présent, me recentrant sur ma vie passée, ma vie joyeuse, ma vie parfaite. Je donnerai tout pour y retourner, pour les revoir encore et encore, un nombre incalculable de fois.
Cette fois-ci, je pleurais de joie, mais aussi de tristesse. J'ai tout gâché, comme d'habitude. Ma tête retomba en avant, fixant auparavant droit devant, cherchant un échappatoire, pensant à la liberté.
Je sortis de mes réflexions profondes en sentant un liquide chaud me remplir l'orifice, dégoulinant de ce dernier autour du sexe de cette bestiole qui respirait lourdement, bruyamment. Je sens la colère m'envahir à nouveau. Puisant dans mes dernières forces, j'attrape mon arme et trouve le courage nécessaire afin de me retourner et je lui afflige un violent coup de crosse à la tempe.
Il s'écroula au sol, une marre de sang se répondant autour de sa tête. Je le fixe effaré, son visage inerte et me recule précipitamment de lui. Des hurlements de loup se firent entendre, certains proches, d'autres semblant lointains. Soudain, l'averse devint froide et plus forte qu'elle ne l'était, me brûlant la peau et écrasant mes yeux qui peinaient à rester ouverts.
Le regard dirigé vers le ciel, un sourire fou aux lèvres, je me mis à rire doucement, nerveusement, puis la tonalité augmenta et changea en un rire hystérique.
Je l'ai tué. Enfin, j'ai réussi à le faire ! Il ne pourra plus jamais importuner quiconque.
Argh...
Ma gorge fut brusquement écrasée et enserré dans une énorme main poilue. Ses griffes caressaient ma carotide. Ses yeux étaient rouges sang, ses crocs dehors et sa tranchée renvoyant l'écho de son grognement pernicieux. Ses muscles étaient tendues au maximum et son aura plus étouffante que tout à l'heure. Je suffoquais même rien qu'en la respirant.
- Tu croyais pourvoir te débarrasser de moi de la sorte, humain ? C'est comme ça que tu me récompense pour la gentillesse dont j'ai fais preuve envers toi ?!
Malgré ma tête qui tournait, je maintins mon regard ancré dans le sien. Si je devais mourir, ça serait avec honneur. Je refuse de m'abaisser devant lui à nouveau.
Il me secoua.
- N'as tu donc rien à dire pour ta défense ?, il semblait vraiment hors de lui, se retenant de me frapper.
- Va...Te...Faire...Foutre !, j'articule difficilement tandis que sa poigne se consolida autour de mon cou, ma carotide pressée sous ses affreuses griffes.
Mais le coup partit sans crier gare et je tombe au sol, mordant mes lèvres afin de ne pas crier sous la vive douleur qui me monta à la tête. J'ai atterrit sur mon bras cassé.
J'apportai ma main à mon visage brûlant et sirupeux. Stupéfaction et maladie en voyant mon sang continuer de se répandre : une exécrable lézarde recouvre ma figure. Cette marque laissera à coup sûr un vulgaire stigmate.
Je le fusille du regard, déluré. Il se gondola.
- Ne joue pas l'impudent Hugo. Tu risque de le regretter.
- Je te déteste !
- Et moi je t'aime. Tu dois faire avec Hugo.
- Je te déteste ! Tu m'entends ? Je te hais !
Je me mis à larmoyer, lui lançant rageusement cailloux à la gueule, l'insultant de tous les noms et cherchant à m'échapper, mais sans réussite.
Tout cela ne menait à rien. La lumière était absente. Elle était chétive, hagarde et loin.
Je me retrouvais seul, perdu dans cette détention tant psychologique que physique.
À partir de ce jour, je vécu dans les affres que constituait mes journées. Je priais afin de ne pas revoir la lumière du crépuscule, être perdu dans les ténèbres et ne jamais se réveiller, restant bloqué dans l'interstice de mes deux mondes.
Mais s'en était tout autre chose au retour de la réalité.
Loup, que fais-tu ?
Rien. Il était heureux et pris de soit disant componctions. Il attendait un heureux événement que je portais avec asthénie et chagrin.
Peu importe mes actes et mes paroles, je devais me résigner au fait que j'étais sous sa férule. Cet enfant était mon carcan, et cet animal le pilori. Je ne pouvais m'en défaire, j'étais condamné.
Voilà ma punition pour avoir abandonné les miens. Voici le châtiment de mon existence. Ah ! Les rosses...Je n'avais que ce que je méritais. Était ce mon expiation auprès de la vie ?
J'ai commis une faute si grave...Et voilà que je me retrouve à vivre pour les restants de mes jours dans ce bagne, cette cellule infâme et étroite où je me meurs de jours en jours, briguant comme à mon habitude à des jours meilleurs.
Triste vie triviale, triste fin éculée.
□
Voilà ce qui arrive quand tu n'arrive pas à réviser alors que tu as un double contrôle demain et les jours suivants...
J'espère que tu aimé ta commande Hajer ! J'avoue que c'est un peu partie en couille, mais bon !🤣
C'est pas ce que tu as demandé de base, mais je me suis laissé emporté par le feeling et j'ai apprécié écrire sur Alisson (que je ne connaissais pas avant donc merci à toi😘) et...voilà hein !😂
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top