(🇨🇵)Alexander Oxlade-Chamberlain x Rhian Brewster
Nouveaux étalons ajoutés à l'écurie 🥰
Traduction du chapitre précédent
⚠️ : Omegaverse, lemon, homme à caractère féminin.
■.■.■
Je suis énervé. Non mais ça me saoule vraiment en fait.
J'ai dix-sept ans, je suis en terminale en sport études depuis maintenant le collège et j'inspire à devenir un grand joueur de football.
Mais tout ça là, on s'en fiche pour le moment. Ce qui m'énerve à présent, c'est Hulya.
Ma mère a un rendez-vous "galant" – plan-cul – avec un inconnu ce soir. Jai donc décidé, tel l'enfant responsable que je suis, d'inviter mes potes afin de faire quelques petites bêtises et pourquoi pas passer la soirée entre potes puisque ça fait tellement longtemps.
Mais madame m'a devancé ! Elle a paré le coup et tout mis en œuvre, et c'est cela qui m'énerve. Elle interfère de mes plans qui malheureusement tombent à l'eau. Elle m'enquiquine sérieusement là.
— Je ne veux pas que tu foute la merde chez moi avec tes petits copains et que tu fasse chier les voisins, okay ? Cest chez moi donc je fais ce que je veux chez moi garçon ! Donc tu te chut et dégage de mon chemin Rhian.
Elle me pousse sur le côté et je suis la suis jusqu'a la salle de bain, essayant de négocier avec elle mais elle en n'a complètement rien à carrer de mon avis.
— Maman ! Je suis un grand garçon maintenant ! Je peux prendre soin de moi-même, je n'ai pas besoin d'une baby-sitter. Je ne suis plus un enfant, j'ai grandis !
Une baby-sitter alors que j'ai dix-sept putain d'années au compteur ? Never !
J'étais à deux doigt de pleurer, au point même de commencer à l'implorer, mais j'ai oublié qu'elle n'avait pas de cœur.
— Tu es horrible maman ! Qu'est-ce que je t'ai fais ? Que veux tu de moi ?! Je suis un bon garçon et un excellent élève, donc qu'as-tu de moi ?! Mon argent, mon corps, mes vêtements, mon cœur ? Quoi ?
— Je ne veux rien de toi, imbécile ! Laisse moi tranquille et va dans ta chambre Rhian ! elle crie sur moi et je ricane. Elle est tellement pas crédible et mignonne avec sa petitesse !
La sonnette retentit et elle me devance pour aller ouvrir la porte. Je descends les escaliers et me cache derrière le mur, me donnant une vue limitée sur la porte d'entrée. J'écoute attentivement leur conversation.
Je ne peux pas voir l'autre personne à cause de ma mère et la porte. Bordel !
— Bonsoir madame ! Comment allez-vous ? Vous êtes très belle !
Quel lèche bottes... Je préfère rouler des yeux.
— Oh mais non ! Vous mentez, jeune homme ! Arrêtez, vous allez me faire rougir !
Non maman ! Ne rentre pas dans son jeu, je t'en prie ! Il suffit qu'on la complimente et elle tombe dans le piège...
Eeeeeh ! Maintenant que j'y pense, il dégage une odeur d'oméga. Ca vient sûrement de lui, j'en suis sûr. C'est un oméga ! Je peux très bien sentir des fragments de son parfum. Et...j'aime. Il sent très bon. Vraiment très bon !
C'est un mélange entre le sucré, les fleurs et une légère forte odeur, comme les bois. Un mélange étrange, mais si bon à renifler.
— RHIAN ! RAMÈNE TON CUL ICI !
Je sors de mes pensées quand j'entends ma mère crier mon prénom. Si vulgaire cette femme...
— Oui maman ?
Je suis tombé amoureux de lui. Oui, je sais, un peu trop rapide, mais bon, que vous voulez vous ? On ne co telle pas ses sentiments !
Il est si beau !
Avec ses petites tâches de rousseurs trop mignonnes et ses boucles au-dessus de sa tête, sans parler de ses adorables fossettes quand il sourit ainsi que son corps large et plutôt bien bâti. Il es vraiment sexy.
Mais je garde tout de même un visage fermé et croisse les bras sur mon torse, imitant une voix de petit délinquant – tout sauf crédible évidemment.
— Je te présente, Alexander. C'est lui qui restera avec toi afin de surveiller que tu ne fasses de conneries plus grosse que ta tête Rhian !
Elle me donne une tape derrière la tête, me jetant un regard noir.
Tranquille maman, je ne lui ferai rien de mal ! J'aime bien son visage. Je pense qu'on pourra faire des choses plutôt intéressantes ensemble.
— Ne vous inquiétez pas Hulya. Il est entre de bonnes mains avec moi.
— Je ne suis pas inquiet pour lui, mon petit Alex, mais pour vous ! Cet enfant est dangereux, imprévisible et sournois !
Elle tapote mon torse de son ongle long, agaçant ma peau. Son comportement m'énerve, juste un peu.
— Allez maman, tu seras en retard à ton rendez-vous si tu n'y va pas maintenant, je la pousse en dehors de la maison et lui ferme presque la porte au nez.
Je soupire et me tourne tout sourire vers Alexander qui est assis sur le canapé du salon, tapant je ne sais quoi sur son téléphone.
— Que ce soit bien clair entre nous, je ne suis pas ta baby-sitter, ni ton frère, pote ou je ne sais quoi que tu veux que je sois. Donc tu fais ta vie dans ton côté et je fais de même, capiche ?
— En fait, je ne sais pas si t'es au courant, mais...ma mère te paye ce soir pour tes heures de babysitting donc euh, voilà quoi !
Il lève ses yeux marrons clair sur moi, son sourire charmant et son aura amicale portés disparus. Zut alors ! Mais je suis un alpha et lui un oméga, donc mon loup intérieur s'agite un peu, grognant et tes mécontent de l'attitude de cet être inférieur à nous.
Mais bon, on ne va pas s'énerver pour si peu ! Je dois juste me concentrer pour ne pas m'énerver et lui sauter au cou...et voilà, je suis calme. Tout va bien !
Je ris en coin. Sauvage, comme je les aime. Il est encore plus intéressant. Il est du genre à ne pas se laisser marcher sur les pieds et la petite lueur dans yeux me fait penser à un animal sauvage. Quel animal ? Je ne sais pas. Je m'en fous un peu.
Il arque un sourcil, attendant sûrement une réponse de ma part. Ou que je déguerpisse. Ouais , c'est ça en fait.
Je hausse des épaules et marche vers la cuisine. Mais en ouvrant le frigo, je remarque qu'il n'y a rien. Enfin, rien que je puisse cuisiner parce que je crains aux fourneaux.
Je soupire et retourne au salon ou Amexander était en plein visionnage série Netflix.
— Alex ?
Il reste concentré sur la télé.
— Hm ?
— J'ai faim. Et je ne sais pas cuisiner.
Il me lance un coup d'oeil du coin des yeux.
— C'est une blague ? Parce quelles vraiment nulle sinon...
Devant mon manque de réponse, il lève les yeux au ciel et de keve en soupirant.
Il farfouille un petit moment dans les placards et retire tout ce dont il aura besoin pour le dîner. Je m'assois autour de l'îlot central et le regarde faire.
Il était en train de préparer une pâte à pizza.
He drumming through closets and
— On mange pizza ce soir ?
Il hoche de la tête and me demande – m'ordonne – de prendre de sauce tomate, les oignons, les saucisses fumés et le steak haché. En gros, tout ce dont il aura besoin pour faire des pizzas. Il laisse la pâte reposer, puis découpe les viandes et essuie la plaque à pizza avant de la beurrer. Ensuite, il répand la pâte à pizza et la fourre d'une dose importante de mozzarella avant d'ajouter les autres ingrédients comme les épices, la viande et les légumes. Il la recouvre d'une autre couche de pâte et la met au four.
Mais ne croyez pas que je suis resté sans rien faire ! Je l'ai aidé à aplatir la pâte avec le rouleau de pâtisserie et badigeonner une des pizza avec de la sauce tomate.
— Bouge de la, le four est chaud.
Je ne dis rien et louche sur son fessier aguicheur compressé dans jean lorsqu'il se baisse.
— Tu sais que tu as un cul pas mal ? je lui dis, les frappant, ce qui les fait rebondir.
Oh putain ! J'ai pensé avoir haute et ai frappé ses fesse ! Immédiatement, je me recule de lui. Il se relève, le dos droite se tourne vers moi. Je vais mourir ce soir.
— Merci mec.
Attendez une minute...Il vient réellement de me remercier ou c'est moi qui entend mal ? Ah ok. C'était juste une diversion parce qu'en vrai, il a lancé un couteau dans ma direction
— Mais t'es malade, Alex ?!
— Tu es malade ! C'est la dernière fois que tu fais ça, compris ?!
— Ok ! C'est bon, y'a pas de quoi s'énerver...Je ne reverrai plus jamais ça.
Je m'éloigne de lui, les mains lever en signe de reddition, mais tout de même, je ne regrette pas ce que j'ai fais. Son derrière est siiiii doux ! J'en bave presque.
Enfin bref. Une fois les pizzas prêtes et retirées du four, on s'installe sur le canapé et Alex lance un film.
— Je choisi le film.
— Quoi ? Eh, dégage, morveux !
J'attrape la télécommande de ses mains et lève le bras assez haut, hors de sa portée. Sans penser une seconde de plus, il me saute dessus et me crie dessus.
— Donne loi cette satanée télécommande, Rhian !
— Je suis chez moi ici ! Donc je choisi le film ! je le lui rappelle, mais il grimpe sur moi.
Et malheureusement, il monte sur mon aîné and je grogne de...de plaisir ! Il arrête tout mouvement et me regarde droit dans les yeux. Et merde.
— Tu joues à quoi là ?
— Rien du tout !
Je le pousse contre le canapé et lance mon film. Je ne dis plus rien et me concentre sur la télé.
Aussitôt que j'ai fini de manger, je me précipite limite en courant vers ma chambre, prenant le temps de respirer convenablement. Je me laisse tomber sur mon lit, troublé.
Quand je suis proche de lui, je me prend son odeur exquise de plein fouet. Normal que je ne reste pas indifférent ! Mon corps réagit immédiatement à notre proximité. Il me pertube.
Merde alors ! Ça fait tellement longtemps que je ne pas baiser !
C'est sûrement pour ça que je suis si fleur bleue.
Mais n'empêche, je voudrais bien me taper une fille, là, maintenant. C'est la première fois après mon prof de maternelle que je rencontre un homme oméga – parce qu'ils sont vraiment très rare – et je ne peux que constater que leur odeur est toujours si violente.
Je prends mon téléphone et appelle mes amis.
— Yo mec ! On va à une fête ça te dit de venir ? Il y aura pleins de filles et des même des omégas ! Omégas ! Tu te rend compte de la chose ?! Tu ne peux pas rater ça !
J'y réfléchis un petit moment, puis finit par accepter.
— Ok. J'arrive.
Ils crient dans oreille à travers le téléphone et l'éloigne de moi en riant avant de raccrocher. Je me lève à la recherche d'une tenue décontractée, assez simple et convenable. J'attrape mes clés de voitures et sort de ma chambre. À deux doigt d'ouvrir la porte d'entrée, Alexander m'interpelle.
— Rhian ? Qu'est-ce que tu fous ? il se tourne vers moi, me regardant avec de petits yeux candides.
—Je sors avec des amis, il fronce des sourcils.
— Fais pas la tête Alex, souris à la vie !
— Tu ne peux pas sortir, Rhian. Imagine ta mère rentre avant toi ! Nan, je ne prend pas de risques.
Je soupire et m'approche de lui. Il s'éloigne de moi, sur ses gardes.
— Viens avec moi.
Il écarquille ses yeux et soudainement, s'esclaffe tel un gros porc. L'enfoiré !
— Tu m'ennuies...
Je tourne sur mes talons et sors de la maison. Je démarre ma voiture qu'il entre dans le compartiment, sourit large aux lèvres. Je sens une sorte de chaleur monter en moi. Wow, pourquoi je ressens toutes ses choses quand je suis près de lui ?
J'ai jamais au grand jamais ressens de telles choses pour une personne. Est-ce parce qu'il est un oméga ? Ils sont si peu communs et ont pour habitude de cacher leur phéromones de crainte d'être kidnappés ou d'être abusés sexuellement. never, never feel that for somebody. Pourquoi ? Parce que si je me souviens bien se mes cours de biologie, ils possèdent un appareil reproducteur féminin.
Et depuis la nuit des temps, ils sont persécutés car ils sont plus fertiles que les femmes omégas et ont le même sexe qu'elles. Une sorte de bénédiction, je suppose.
— Rhian ? On y va, non !
Il brûle ma peau quand il me touche. Mais qu'est-ce qui se passe dans ma tête bon sang ?! Le coup de foudre n'est que pure connerie radoter aux enfants. Je suis juste sexuellement attiré par lui, voilà, c'est tout.
Je ne me crois même pas, si triste...
Mon attention se dirige vers lui quand je vois ces inconnus lui sourire, le charmant. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je ressens l'envie de le protéger d'eux. Je passe donc mon bras autour de ses épaules.
Il me jette un étrange regard, du genre "dégage de là". Quel enfant sauvage oh la !
— Tu sens qu'onprend tous ton odeur, Alex ? je lui dis sarcastiquement. Il me fusille du regard. Oh la la la la ! Je suis si effrayé ! Lol.
— Et alors ? il est si agressif et je ne n'ai pas envie de me disputer avec lui, donc je laisse tomber.
— Comme tu veux, Alex !
Je le laisse seul et m'en vais vers le bar où je commande un cocktail à base de Gin.
— Ta petite-amie te prend la tête ?
Je me tourne vers la jeune femme, un peu trop maquillée, qui m'approche, posant sa fine main aux ongles manucurés sur mon épaule. Je lui donne un sourire enjôleur et lui propose le siège à côté de moi. Elle est plutôt mignonne et j'ai besoin de me changer les idées. Quoi de mieux que de baiser !
Elle me séduit et après quelques boissons, nous nous enfermons dans les chambres à l'étage.
Nous faisons ce que notre petite affaire, puis libéré, je sors à catimini de la chambre, profitant qu'elle soit endormi.
Au coin du couloir, j'arrête mes pas pour épier la scène. Un homme grand et musclé était en train de rouler la pelle du siècle à ma baby-sitter, le bloquant contre le mur. Il était même en train de le tripoter alors qu'il repoussait ses avances, lui demandant d'arrêter ses gestes.
Je vois rouge et sans réfléchir à plus, je le fonce dessus.
— T'es un fou toi ! Tu n'as pas honte de faire ça ? Profiter d'une personne sans défenses ?!
Je lui révèle mes canines et ma force, énervé. C'est juste un vieux type, sans aucune valeur. Tout dans les muscles, rien dans la tête. Il grogne avant de s'enfuir.
— Pff, mec pathétique.
Je me calme et me retourne vers Alex qui se laisse glisser le long du mur, frébile. En me précipitant vers lui, je suis frappé par son odeur. Merde alors, je crois qu'il est en chaleur. Je me bouche le nez de mon tee-shirt. Putain qu'il sent bon !
Je le soulève dans mes bras puis l'emmène à lexterieur, évitant mes amis et les hommes qui essayaient de l'atteindre. Il est mien.
Je roule tel un malade jusqu'à chez moi, portant Alex sur mon dos. Je le à la chambre d'amis et l'allonge précautionneusement sur le lit. Pauvre Alex...Il a l'air de souffrir. Son corps est bouillant et ses phéromones écrasantes.
Pleins de doutes, je le laisse seul. Je ne peux pas supporter de le voir dans un tel état. J'ai des envie salaces. J'appelle ma mère, mais elle ne répond pas au téléphone. Super !
Nous n'avons pas de pilules pour les chaleurs d'omégas, ma mère et moi-même étant des alphas. Je fais les cents pas, ne savant quoi faire. Je suis dans le pétrin !
Ok, calme-toi Rhian. Tout va bien, il n'y a pas de quoi s'inquiéter.
Deux heures plus tard, je n'entends plus aucune plaintes ou gémissements bas. Perdu dans mes pensées, allongés sur le dos en pleine fixation de mon plafond, je ne l'entends pas entrer dans ma chambre. Mais quand il enjambe mon pelvis and dépose ses mains chaudes sur mon torse, je prend conscience de sa présence.
— Alex – il me fait taire d'un baiser. Je ferme mes yeux et me laisse faire, me rallongeant sur mon lit. C'est un baiser mouillé, endiablé et chaud, bougeant en même temps ses hanches contre mon aine. Il m'excite. Je met mes mains dans le creux de ses hanches et le retourne, maintenant au-dessus de lui.
J'embrasse sa mâchoire, son cou où je mordille sa peau, et presse mon érection contre son sexe, le frottant afin de nous émoustiller. Puis je passe mes mains sous son tee-shirt, malaxant son imposante poitrine. Il gémit contre mes lèvres et je souris, plongeant sur ses pectoraux et jouant avec ses tétons qui durcissent. Fiévreux, il frotte ses genoux contre mes hanches, désireux. J'embrasse son ventre et descend encore plus bas.
— T'es sûr Alex ? Tu ne peux plus faire de marche arrière maintenant.
Il me regarde droit dans les yeux et gentiment, met sa main sur les joues afin d'initier un baiser passionné.
—Je te veux, Rhian. Je veux que tu me fasse l'amour.
Je l'embrasse langoureusement et retire nos vêtements Je descends plus bas, me retrouvant face à son sexe débordante. C'est la première fois que je vois un oméga nu et sois sur le point d'avoir des relations sexuelles avec.
Ma tête entre ses cuisses, je m'applique à lécher ses parties génitales où une petite touffe parfaitement taillée reposait sur son pubis. Sa semence est étrangement fruité et sucré sur ma longue. Un goût que j'apprécie de plus en plus. Je dévore sa vulve comme si c'était la meilleure chose au monde, titillant son petit bout de chair rose en érection. J'ai déjà fait des cunnilingus des filles, mais ce que je faisais a Alex était different, je prenais un certain plaisir, j'avais une certain affection à le faire. Je prend un malin plaisir à le torturer.
Il mort le col de son tee-shirt, essayant de s'atténuer ses couinements.
J'insère deux doigt dans son intimité et entame des mouvements de ciseaux, écartant ses chairs. J'adore la luxuriante chaleur d'où je me prouve, me sentant bien, comme à ma place. J'embrasse l'intérieur de sa cuisse droite, lui faisant un suçon assez voyant et violacé, près de ses glandes odorantes. Sa peau est si douce et agréable, comme une plume ou de la porcelaine. Il est si chaud, comme moi d'ailleurs. Mais je continue de le prépare, collectant son essence sur le bout de ma langue.
Je pense que je dois ressembler à un petit enfant qui s'est barbouillé le visage de compote de fruit tellement sa semence recouvre une bonne partie de mon visage.
— Dépêche Rhian ! Je suis prêt!
Impatient, il me pousse sur le matelas et prend le control des choses. Je me sens plein, excité. Son ricanement mauvais résonne tandis que je suis occupé à le contempler, le trouvant exagérément beau. Il profite de mon inattention pour enrouler sa langue autour de mon gland, pressant la base de mon pénis.
Oh putain ! Sa bouche est incroyable. C'est la meilleure fellation qu'on ne m'ait jamais faite. Il en a de l'expérience Alex !
Ses bruits sont obscènes et pourtant si excitant. Je contemple ses lèvres autour de ma bite, ses longs cils frôlant le haut de ses joues tachées et le rouge qui prenait ses lèvres. J'attrape sa tignasse bouclée et les tore aver plaisir, rejattant la tête en arrière. Je perds la tête. C'est si bon.
Finalement, il relâche mon pénis et frotte son sexe dessus de manière indécente, le recouvrant de ses fluides naturels.
Une fois encore, je le retourne et me retrouve au-dessus de lui, pénétrant lestement son vagin. Il frissonne, les mots manquants, le plaisir montant.
J'embrasse son visage gentiment, attendant qu'il s'habitue à moi.
— Je suis désolé babe ! Je ne voulais pas te faire de mal, j'essuis le coin de ses yeux.
— Tu es énorme pour un enfant, Rhian !
Je ris et embrasse son front, le bout de son nez, ses joues et ses lèvres, lentement avec ardeur, le remerciant pour le compliment. Contrairement à mes plans-culs, je prend mon temps avec Alex. Je ne veux pas le baiser, je veux faire l'amour avec lui. Je suis attentif à chacune de ses réactions. Je veux qu'il passe un bon moment à mes côtés.
Je débute mes coups de reins quand il finit par se relaxer. Il plante profondément ses ongles dans la chair de mes épaules et me griffe sans contenance mon dos, augmentant mon désir.
— Plus, Rhian...Plus !
Je deviens plus violent, frappant durement ma tête de lit contre le mur, faisant craquer les lattes. Je me redresse légèrement et attrape le dos de ses cuisses en chair et les remonte un peu plus, les écartant sans-gêne. J'accélère mes coups de boutoir contre son point G, sa voix s'élève dans la pièce et sa chaleur me pèse.
J'étouffe ses cries de plaisir grâce à un baiser, mordant ses lèvres affectueusement.
Je titille son clotoris, frottant ma longueur plein de sa semence contre, et il jouit, pour la deuxième fois. Malheureusement pour lui, je suis encore jeune et plein de vie ! La fille de la soirée ne m'a pas épuisé. Donc je peux encore faire durer la danse.
— Oh. Mon. Dieu, il dit d'une voix erratique, le corps frémissant sous mon orgasme. J'ai un sourir rayonnant, fatigué mais au moins, je suis fier de moi et repu. J'ai quand même duré une heure et dix minutes les gars, ce n'est pas rien ! Il a souffert d'au moins sept orgasmes. Maintenant, on essaye de reprendre notre respiration.
— Je sais, Alex. Je suis le meilleur.
Je le redresse sur mon coude et le regarde avec un sourire radieux. Il roule des yeux, ennuyé. Et donc, afin de me venger, je glisse ma main sur son sexe et insert deux doigts à l'intérieur. Il gémit dans le feu de l'action et gigote.
— Rhian ! Arrête ça maintenant ! Mon sexe est hors service pour le moment... Je ne le sens même plus !
— Oui, gémis pour moi bébé.
Il me frappe et je ris, profitant pour ensuite fourrer ma langue dans sa bouge pendant que mes doigts entrent à nouveau en lui et se mettent à bouger contre ses parois.
Une fois la tension sexuelle disparue, nous revenons sur Terre, puis allons prendre une douche ensemble, parlant à propos de tout et de rien et riant comme des idiots sur ci et ça.
— Rhian ! Alex ! Je suis rentrée !
— Oh putain !
■
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top