Chapitre 2, part 3
Tout le monde pousse un soupir mais cela n'arrête pas cette bavarde de Rita qui fait honneur à sa nature de pinçon.
" - Un combat au Soul est une attaque principalement olfactive qui finit par se généralisé à presque tous les sens lorsque elle est particulièrement intense. Le gabarit induit grandement la puissance de "l'aura" ou"Soul" déployé durant le combat ce qui fait de nous autres petits gabarits des êtres particulièrement vulnérables à ce genre d'attaque. C'est pour cela que le ministère de l'éducation nous permet d'utiliser une technique assez ancienne rebaptisé "Block"qui sert de bouclier aux attaques de phéromones. Il existe des block passif installer de manière permanente mais ils ne sont pas bien vu car ils rendent également insensible aux phéromones de son ou sa partenaire, on tendance à stopper déréglé les cycles de reproduction et on la fâcheuse tendance à éloigner de la réalité et à rendre associable. Evidemment, que serait un thérianthropes incapable de percevoir les marques de ses camarades ? C'est pourquoi nous enseignons le Block actif, moins puissant certes mais contrôler par son propriétaire pour n'être en place que sous sa volonté. Le Block actif suppose deux principes différent : insensibilité ou surexposition. L'insensibilité est une méthode plutôt pratiqué par les petits gabarit qui vise à devenir momentanément incapable de percevoir l'attaque philologiques et donc de ne pas y réagir.Pour ce faire on peut utiliser sa propre volonté ou divers produits qui aide à insensibilisé son odorat et son gout pendant plusieurs minutes. Ces substances sont disponible en salle des professeurs et à l'infirmerie, veuillez cependant ne pas en abuser il pourrait y avoir des effets secondaires. La surexposition est elle plus efficace chez les gros gabarit qui ont une capacité hormonale plus forte. Elle empêche l'accès des phéromones adverse en vous enveloppant dans vos propres marquages olfactifs. Vous êtes alors, sans pour autant être agressif, bien défendus par une barrière qui recouvre, un peu comme une couverture, tous vos capteurs sensible au Soul. Bien,passons à la pratique. Les moyens gabarit sont encouragé à maîtriser les deux méthodes quand les petits et les gros peuvent se spécialisé sur la plus efficace dans leur cas.
- Bien, finit par la couper Douglas. Vous pouvez vous entraîner à présent. Je suppose que vous avez compris. Et ... Rita, je ne crois pas que ce soit utile de nous faire encore perdre du temps."
Enfin ils ont réussi à lafaire taire. Glenn me tape l'épaule pour que je redescende surterre.
" - Mike ? Alors quicommence ?
- Si ça ne vous dérange pas j'aimerais finir au plus tôt. C'est que ma nurse me coûte cher et j'aimerais rentrer avant 16 heures pour les petites.
- Ouais moi aussi, dit Glenn, j'aimerais partir d'ici au plus tôt.
- Alors va y Mike, attaque moi, commence Shahid."
Je suis peu être un serpent venimeux mais comme mes semblables je ne suis en rien agressif, je suis même il faut l'avoué plutôt un grand trouillards. Attaquer mes amis ne fait clairement pas parti des trucs que je suis capable de faire, mais puisque c'est un exercice ça ne devrait pas poser de problème. Je sort mon Soul, mes pupilles deviennent deux fentes et je lance une vive attaque. La morsure de mon Soul semble rebondir sur un mur de verre. Je suis groggy, un peu assommé par l'échec de mon attaques et mes deux camarades rient de bon cœur :
" - Alors Mike ? Je n'ai rien senti !"
Je grommelle, pas très content qu'on se moque ainsi de moi. Je me jette avec plus de force sur la barrière dressé par mon collègue tout en me préparant au choc.Chacun de mes échecs les font rire et font croître ma colère jusqu'à ce que, à moitié transformé, je deviennent une masse sifflante de colère. Ils ont réussi à me pousser à bout pour que j'attaque franchement mais ça ne suffit pas à briser la défense de Shahid qui d'un coup me fait redescendre sur terre.
" - Je crois que tu ne m'auras pas Mike, souffle-t-il un peu fatigué.
A moi de t'attaquer Mike, dit Glenn. Prépare ta défense."
Je souffle et essaie de respirer calmement. Avec un an d'entrainement seulement le block n'est clairement pas encore ma spécialité. Il faut dire que l'an dernier je n'en ai jamais eu besoin mais sais on jamais. Il vaut mieux prévenir que guérir. Je monte mon bouclier, dans ma gorge je sent ma propre odeur avec une intensité presque écœurante. Le Soul de Glenn me tourne autours, je le sais, même si je suis incapable de le voir je vois sur le visage de mon collègue que ce dernier le déplace dans l'air. Soudant, dans un flash, je perçoit son énorme présence de dragon de Komodo, la gueule pleine de salive mortelle. Je redouble d'effort pour l'empêcher de me faire ressentir le poids de sa présence et sa force démesuré de gros gabarit. C'est au bout de trois longues minute que je relâche ma vigilance, l'attaque est immédiate. Je me prends un coup qui me fait trébuché. Les deux autres reptiles réagissent au quart de tours :
" - Mike ? Ca va ?
- Ouais ouais, leur souriais-je en me frottant la tête qui me tourne. J'ai juste été un peu secoué.
- T'es sur que ça ira ?
- Nikel, faite le entre vous, on tournera ensuite. La prochaine fois Glenn je ne te laisserais pas m'avoir."
Nous continuons de nous entraîner avec sérieux mais bonne humeur. Au bout de quelques heures nous estimons les rappels suffisant et nous nous saluons. J'ai pas mal sué, il me tarde de rentré chez moi prendre une bonne douche.Récupérant mes filles, je nous ramène à la maison pour que nous finissions nos vacances en famille tranquillement. A partir d'aujourd'hui je n'aurais plus à les laissé seules au soins de quelqu'un d'autre, je vais finir les préparations de la rentré à la maison. Je pourrais profiter de ma famille, c'est ce qu'il y a de mieux. Dans la voiture Lucile fixe intensément Abby qui alterne les babillements et les aboiements.
" - Papa Mi ?
- Oui ma puce ?
- Tu crois qu'elle va bientôt se transformer ?
- Très bientôt. Ce serais bien d'ailleurs qu'elle le fasse devant papa Jo, mais on ne peut pas l'obligé à le faire.
- Moi je l'ai fait comment ma première transformation en humain ?
- Et bien tu avais 7 mois, et tu étais avec nous dans notre lit. Je t'avais poser sur le matelas, papa Jo te regardais par dessus mon épaule. Je me souviens qu'il n'y avait jamais eu de signe avant coureur, et puis d'un coup tu as frémis très fort et tu t'es changer en un bébé. Tu nous as fait une de ses peurs. On étaient très surpris tous les deux. Je t'ai attraper par réflexe et je t'ai mis sur le dos. Tu as pleuré très fort et très longtemps, tu t'étais fait une peur bleue. Ce jour là tu as mis la première couche de toute ta vie et je te jure que papa Jo et moi on as vraiment galéré.
- Mais maintenant vous y arrivé !
- Bien sûr. Etre papa ça s'apprends, et on as appris.
- Ca fait mal de se transformer ?
- Il y en à certain qui trouvent que ça fait mal. Mais chez les bébés ça surprends surtout. Toi ça te fait mal ?
- Non, c'est comme un gros frisson qui picote.
- Tu vois, c'est juste surprenant.
- Ca fait quoi d'être un chien ?
- Ca je ne peut pas te dire princesse.
- Alors je saurais jamais ?
- Et non. C'est comme ça. Il n'y a pas à être triste. Tu es unique aussi ma puce, il y a des choses que ni Abby ni papa Jo ne comprendrons jamais. Si tu veut je t'apprendrais deux trois choses que m'ont apprises mes parents.
- Tes parents ?
- Oui. C'est vrai que tu ne les as pas connu. Chez les reptiles c'est commun de complètement coupé les ponts avec les parents. A ce qu'il parait ils ont déménager dans le Nord. Pour tout te dire je n'en sais rien.
- Mais c'est ton papa ?!
- Oui, mais ma mère et mon père, bien que ce soit des gens très aimant et gentils, n'ont pas un sens de la parentalité très développé. Tu sais c'est normal pour des parents reptiles d'être détaché comme ça.
- Pas toi.
- Pas moi, mais c'est exceptionnel princesse.
- A bon ? Pourquoi ?
- Ce ne sont pas des histoires de ton âge ça. Pour en revenir à tes grands parents et bien mon père était un alligator, et ma mère un serpent-tigre. Qu'est ce que tu veut savoir d'autre ?
- Ils faisaient quoi comme travail ?
- Mon père était ouvrier. Ma mère était femme au foyer mais elle faisait de petits boulots de temps en temps quand le besoin s'en faisait sentir.
- Et maintenant ils font quoi ?
- Je ne sais pas.
- Ils sont où ?
- Je ne sais pas non plus princesse.
- Mais pourquoi ?!
- Parce que moi et mes parents ne vivons plus ensemble depuis que j'ai 16 ans.
- Mais pourquoi ?
- Parce que j'avais envie de me débrouiller par moi même. Ils m'aidaient financièrement, le reste je gérais à peu prêt. C'est mamie qui s'est occupé de moi jusqu'à ce que nous emménagions. Tu te souviens ? Peut être pas, tu étais vraiment petite. En revanche tu dois te souvenir de Tiphaine qui vivait avec nous à la colocation qu'on as eu pendant un temps ?
- Non, me souviens plus ...
- Tu étais petite. On l'as quitté assez vite pour acheter la maison. Bon, on est arrivé. Qu'est ce que tu veut pour le goûter ?
- Chocolat chaud !"
Je lui souris et gare la voiture sur le trottoir devant la maison. Elle m'attends déjà sur le perron à peine ais-je finis de détaché sa sœur. Dans le salon Lucile se jette dans la cuisine. Elle ne me laisse jamais une seconde de pose cette petite.
" - Tu te débrouille princesse ? Je dois m'occuper de Abby avant.
- D'accord.
- Fait bien attention. "
Je la laisse essayer de se préparer son goûter toute seule. Bien qu'elle n'ai que 6 ans elle aime être considéré comme une grande et se débrouiller un peu seule. En attendant je change ma cadette qui me bave dessus allègrement. Lorsque enfin elle a son biberons dans le gosier je peut me poser, non sans regarder du coin de l'œil Lucile pour qu'elle ne fasse pas de bêtises. Abby dans mes bras serre mon doigts dans ses mains tout en buvant à toute vitesse. J'ai toujours peur qu'elles'étrangle en avalant son repas trop vite.
" - Doucement petite goulus.
- WOUA ! WOUA !
- Tu aboie bien mon bébé. Wouf !
- WOUA !
- Allez mange."
Elle attrape son biberons et recommence à boire à toute vitesse. Elle mords toujours trop fort dans la tétine, elle m'en a percé un nombre incroyable, et elle n'a même pas encore ses dents. C'est juste qu'elle les pinces trop fort.Il va falloir aussi commencer à lui donner des choses plus ou moins solides. J'en parlerais à Jonathan, je ne sais pas trop comment faire, il faut que je demande à sa mère. C'est elle qui nous as toujours conseiller pour les filles. Lucile vient se coller à moi dans le canapé en ignorant sa petite sœur. Elle allume la télé et met les dessins animé. Attendre Jonathan va être d'un ennuis mortel. Abby finit tranquillement son repas et fait un petit rot-renvoie qui dégoûte magistralement Lucile. C'est normale.
" - C'était bon mon bébé?
Bababababababa.
Oui ! Tu es belle ma petite puce ! Tu montre à papa comment tu abois bien ?
Arbgheu.
Allez. Va y princesse. Wouf !
WOUA !! Woooooooooouh ! Hurle-t-elle comme un petit loup."
Elle fait apparaître ses petites oreilles et une truffe toute mignonne. Je la soulève, complètement dingue d'elle.
" - Mon bébé !"
Elle baille dans petit couinement très canin.
" - On dirais que c'est l'heure de la sieste, hein ?
- Tu joue avec moi après papa ?!
- Oui, prépare les jeux. J'arrive dès que je l'ai endormis."
Au bout de plusieurs très longues minutes je rejoint Lucile qui a étalé toutes ses peluches dans le salon ainsi que son beau service de dînette qu'on lui a offert à Noël.
" - Papa, tu viens dans mon café.
- Bien sur madame, dit-je en m'asseyant, le sourire au lèvre.
- Qu'est ce qu'il y a à manger ?
- Euh ... Des pâtes.
- Des pâtes ? Très bien. Il te faut un fournisseur je suppose ?"
Je me lève et vais fouiller dans le placard et sort un paquet de pâtes que je lui donne en souriant. Elle me regarde comme si je venais de lui donner la lune,c'est trop.
" - Je peut ?
- Oui,va y joue. Ensuite si tu veut on fera des trucs sympas avec.
- Ouais !
- Bon, madame, moi j'attends mon repas avec un petit café."
On joue à la dînette et je"discute" avec mon voisin de table Pabra pendant une bonne heure. Puis je remarque l'état du salon et arrête le jeu.
" - Princesse. Ce n'est pas pour casser l'ambiance mais je crois qu'il va falloir que je fasse le ménage et la cuisine pour le retours de papa. Tu range et tu vas jouer dans ta chambre ?
Oooh, papaaaaa !
Non, pas de papa qui tienne. Tu range s'il te plait.
Et les pâtes ?
Tient, mes les la dedans, dis-je en lui tendant une boite. Tu va m'aider ?
Je vais joué !
C'est ça aller file, soupirais-je."
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