Chapitre 2, part 1

!! Attention, contenu un peu osé !! Âmes sensibles s'abstenir !


Allongé sur le ventre dans le cabiné de mon médecin, je tente de me détendre alors qu'un courant d'air désagréable passe sur la peau de mon malheureux derrière. Si gynécologue n'est pas agréable, urologue encore pire alors je vous laisse imaginer le travail du malheur occuper à inspecté l'état de mon fondement. Ce doit être franchement peu ragoutant.


" - Alors ? Ca pousse bien? Demande l'oryx du nom de Haris Solomon

- Quoi ?!

- La petite ? Elle grandit bien ?

- Ah. Oui, elle fait ses dents maintenant. Et ce matin elle a aboyé.

- Ca grandit très vite les enfants.

- Plus vite que les séquelles qu'ils laissent ne disparaissent.

- Allons allons, c'est très bel anus que vous avez là.

- Merci docteur, soufflais-je le visage dans le coussin, gêné.

- De rien, ria l'autre. Je suis sérieux Mike, votre anus est tonique, c'est très bien. La première fois que vous êtes venu il était très relâcher et vous aviez de graves soucis d'incontinence et ...

- MERCI ! Merci docteur, je me souvient bien. Ça ira.

- Mais je voulais juste vous rappeler à quel point vos progrès ont été rapide. Vous savez votre nature de serpent à beaucoup aidé mais c'est surtout votre capacité de régénération qui m'impressionne encore aujourd'hui. Vous n'avez même pas eu d'hémorragie, seulement une élongation des tissus et ...

- Merci docteur, mais je ne tient pas spécialement à me souvenir du fait que mon cul ressemblait à une Rose gallica merci ...

- Jolie métaphore.

- Je vous en pris taisez vous et finissez de vérifier tout ça, suppliais-je.

- Bien bien. Attention ça va être froid."


Je serre les dents quand son doigts ganté vient dans des endroits où il n'a pas vraiment sa place. Le docteur Solomon est très performant, il n'y a pas à dire il à fait un petit miracle, mais il est beaucoup trop bavard sur son travail !


" - L'intestin s'est bien restructurer, dit il en frottant son doigts sur la paroi. Mais ça reste assez insensible.

- Vous croyez que ça peut le redevenir ? M'inquiétais-je pour ma vie sexuelle.

- Vous pouvez le stimulé au chaud/froid pour faire revenir les influx nerveux. Bon, de ce côté là c'est presque entièrement rétablis. Passons maintenant à l'implant."


Au moment ou il pose le doigts sur la zone je pousse un gémissement à faire rougir n'importe qui,surtout moi. Haris est hilare :


" - De ce côté-ci c'est rapidement redevenu sensible on dirait.

- Je suis à jeun depuis six mois, râlais-je, évidemment que je suis réceptif. Qui ne le serais pas ?

- Vous n'avez plus du tout de vie sexuelle avec votre mari ?

- Il est hyper protecteur alors il refuse totalement de faire quoi que ce soit de ce côté là tant que je ne serais pas "comme neuf". Il croit vraiment que je pourrait récupérer mon cul de mes 17 ans alors que j'en ai 25 et que j'ai fait 2 gosses ?

- C'est tout à fait possible.

- QUOI ?! Me retournais-je vivement, regrettant immédiatement mon geste. Anh !

- Ne bougez pas n'importe comment. Je disais donc que c'était tout à fait possible avec votre capacité de régénération.

- Ce serait génial.

- Bientôt, bientôt, si j'en juge l'état de l'orifice de l'implant."


Il commence à faire des petits ronds dessus et malgré moi je part dans de longues plaintes étouffé.Jonathan ne m'a pas touché depuis vraiment trop longtemps !


" - Et donc, à quoi se résume votre vie sexuel si votre compagnon ne vous touche plus ?

- Mmmmmm .... Euh ... Soit c'est moi qui prends le rôle du Top soit on se contente de fellation ou de masturba-ANH !

- Excusez moi mais il faut bien que j'aille vérifier l'intérieur aussi."


J'enfonce ma tête dans le coussin, rouge jusqu'au oreille. Son examen terminé le docteur jette ses gants et se lave les mains en donnant le verdict :


" - Plus besoin de venir me voir monsieur Taylor-White, aujourd'hui on ne va même pas faire de musculation du périnée. Tout se tient très bien. Vous pourrez même reprendre les rapports sexuels très doucement.

- Oh génial ! Lâchais-je en remontant mon bas. J'en pouvais plus !

- Je vois ça. J'en connais un autre qui va être content. Mais pas ce soir, hein, laissez vous encore une bonne semaine.

- D'accord.

- Au fait, maintenant votre mari ne vous feras plus de crises de jalousies n'est ce pas ?

- Effectivement, il va être content."


On discute encore un peu et comme toujours Haris en dit plus qu'on ne voudrait entendre. Cela dis je ne l'écoute que d'une oreille car je repense à toutes les scène que m'a fait mon mari pendant les soins intensifs. J'étais physiquement détruit, et le traitement par stimulation est ce qu'il y a de plus efficace pour réparer le corps. Il n'avais pas à faire un scandale. Mais je comprends qu'un mâle dominant ai parfois du mal à accepté que quelqu'un mette un vibro dans son mec. C'est même tout à fait logique et je suis plutôt content que contrairement à beaucoup il ne m'ait pas interdit d'y aller ou qu'il n'ai pas fracassé le médecin. Certains l'auraient fait. Il est vraiment conciliant mon amour de canidé. Et très compréhensif. En plus il n'y avait pas de mal, pendant les séances, avant aujourd'hui,j'étais si amoché que bien souvent je n'avais aucun plaisir et même plutôt mal. Alors aujourd'hui une grande première, j'ai eu envie.Ce soir je me jette sur mon mari. Il va voir ce que c'est que la libido d'un serpent qu'on à trop privé.



Je redescend rapidement sur terre une fois sorti du cabiné, après un déjeuné sur le pouce à la maison je retourne à l'école. Il faut que je récupère ma petiote et que j'aille à la réunions des profs, sinon je vais vraiment me faire taper sur les doigts par mes supérieurs.

Je me gare au parking des professeurs du lycée qui est à l'opposé des maternelles et vérifie rapidement ma queue de cheval avant de récupérer le cosy d' Abby et d'attraper à la volé ma mallette dans le coffre. Heureusement que j'ai pensé à l'y mettre hier. Ah ! Il ne faut pas que j'oublis le sac de la petite. Du coup c'est chargé comme une mule que j'arrive dans le bâtiment désert. Et puis j'arrive devant le grand escalier.C'est vrai que la salle des profs est au premier étage !

" - Raaaannnnnh noooonn..."

C'est une carcasse essoufflé qui débarque dans la salle des professeurs. Faut vraiment que je me remette au sport !

" - Excusez moi de mon retards, soufflais-je comme un bœuf."

Tout mes collègue me regardent alors que j'essaie de me redonné une contenance dans un sourire gêné.

" - Monsieur le directeur.

- Monsieur Taylor-White, vous avez exactement 5 heures et 18 minutes de retards.

- Excusez moi. Répondit-je platement en m'installant sur ma chaise désigné sous les regards pesant des autres professeurs.

- Reprenons. Madame Naess, faite un résumé à monsieur Taylor-White pendant que nous finissons les mises au points des Terminales."

Les discutions reprennent avec les quelques demandes d'ajustement en brouhaha de fond pendant que je salut ma collègue d'Histoire-Géographie.

" - Bonjour Karla, je suis désolé du retards.

- Pas important. Regardez moi cet ange, s'exclame-t-elle en tombant complètement fana d'Abby. Oh c'est un amour ! Elle ne te ressemble pas du tout Mike, elle tient tout du père.

- Je sais.

- Oh elle est trop mignonne.

- BOUAH ! Fait la petite en voyant une civette pour la première fois avec curiosité.

- C'est une petite canidé.

- Berger australiens, comme mon mari.

- L'inverse m'aurais étonné, rit-elle. Qu'est ce qu'elle est sage.

- J'ai peur que ça ne dure pas. Dépêchons dépêchons. Alors ?

- Tient, je t'ai pris ton emplois du temps. Cette années non plus ont ne t'a pas confier de premières, que des secondes pour les cours de français mais tu es le professeur principale d'une classe de Terminale et ...

- Quoi ?! Monsieur le directeur ?!

- Monsieur Taylor ?

- Vous m'avez mit en professeur principale des premières L2 ?!

- Oui, nous avons besoins de professeurs de lettres pour les premières littéraires.

- Je ne peut pas. Je vous l'avez dit pourtant monsieur, avec mon emplois du temps je ne peut pas gérer une classe comme professeur principale. Sans Abby peut être mais ...

- Ecoutez monsieur Taylor, vous avez énormément de chance d'avoir un poste ici. De plus vous êtes très qualifié, alors si l'équipe estime avoir besoin de vous en tant que professeur principale vous ...

- Monsieur le directeur ! Intervient Shahid, un de mes amis proche dans le milieu. Vous n'avez pas d'enfants, je doute que vous réalisiez la charge de travail. Il reste plus de deux semaines avant la rentré, on peut peut-être encore faire un changement.

- Mais si monsieur Taylor-White ne s'occupe pas d'une classe ? Que fait il ?

- Je ... Vous voulez que je prenne le post pour mes validations en lettres classiques et lettres modernes n'est ce pas ? Demandais-je en fouillant dans les documents de l'année dernière. Je pourrais prendre les options qui vont avec."

Je griffonne un rapide emplois du temps sur le papier et le remplis avec les horaires d'options ainsi que de mes classes de secondes. Ca coince à certaines endroits... Aïe ...

" - Et à la place des 3 secondes vous m'en retirez une. Ca donne ça. Dit-je en complétant mon brouillons.

- Mais qui prends la seconde que vous nous lâchez ?

- Et bien puisque je soulage Nadine des options lettres elle peut peu être la prendre ? Ca te dérange, suppliais-je en me tournant vers ma collègue.

- Mmmmh ... Je veut bien mais ça coince sur une de mes heures. Est ce qu'on pourrait la déplacer ? Je vois que cette classe à plus de deux heures pour manger le mardi. C'est faisable ?

- Ca se tient."

Le reste de la réunion se suit pendant plusieurs heures entre tous les réajustement afin que personne ne soit surchargé et que les emplois du temps ne se croisent pas. D'un coup Abby commence à pleurer et un regards noir me fait comprendre de sortir pour aller la faire taire dehors. Le problème c'est que j'ai beau la bercé elle à mal au dents et je n'y peut rien. Je sort son anneau et l'enduit d'un gel qu'on m'a conseiller pour apaiser les douleurs. Hélas je ne parvient pas à l'endormir avant la fin de la réunion. Lorsque mon supérieur sort un me lance un regards noir mais me sert tout de même la main,quelques professeurs s'en vont eux aussi alors je retourne dans la salle pour récupérer les affaires de la petite. C'est là qu'ils me tombent tous dessus !

" - Félicitation Mike !

- Bravo pour ta petite.

- Chuuuuuuut ! Je vient de l'endormir ! Les stoppais-je. Mais qu'est ce que vous faites ?

- On fait un pot, répond tout bonnement Shahid.

- Bah oui, c'est pas tous les jours qu'un collègue revient d'un congé maternité.

- Au fait, oublis ce vieux grincheux de directeur. Il est jaloux qu'à ton âge tu soit déjà marié et papa de deux enfant alors qu'il macère dans le célibat.

- Ah ...

- On été tous d'accord qu'on n'allais pas t'offrir un doudou par personne alors ont à cotisé. Donc voilà, ça c'est pour la petite que tu va bien sur nous présenté, me dit Victor, collègue de Physique en tendant un gros ours en peluche brodé du doux nom de Darwin.

- Fallait pas, les remerciais-je en voyant la jolie peluche.

- Mais de rien.

- Qui veut du cidre ?!

- Désolé j'évite de boire encore, dit-je.

- Tu n'es plus enceinte Mike ! Et puis t'allaite pas à ce que je sache, t'es un androgynus.

- Bon alors un fond, cédais-je alors qu'ils faisaient sauté le bouchons. Mais parlez moins fort vous allez la réveiller."

Nous passons encore quelques heures à bavarder. Les bébés rendent les gens fou je crois, ils se sont tous relayer pour regarder Abby et moi en parent ultra-fier j'ai déballer toute la sauce. Comme quoi elle faisait déjà ses nuit,qu'à seulement six mois elle était déjà sur le point de se transformé et qu'elle se faisait très bien comprendre en langage Soul en plus de commencé à prononcé des syllabes intelligible.Vous connaissez ce sketch des deux minutes du peuple sur la fierté des pères ? Bah j'étais un peu pareil. Puis quand l' allégresse est retombé je me suis souvenu que j'avais une autre fille et un mari qui m'attendaient alors j'ai fait la bise à tout le monde et leur ai dit à demain pour la concertation sur les manuels à commandé cette années. C'est officielle, l'année scolaire approche et il va falloir reprendre le boulot activement.




Dans la voiture Lucile me raconte tout ce qu'elle à fait de la journée entre coloriage, marelle, lecture, etc ... Oui, Lucile sait lire, un petit peu,seulement les livres les plus facile pour jeunes enfants mais elle à appris très tôt. En parti grâce au fait surement qu'elle à été bercé à coup de livre H24 pendant les premières années de sa vie.

Arrivé à la maison je laisse mon mari travailler pour ses épreuves pendant que je boucle les tâches quotidiennes : donner le bain à la petite, la douche à la grande, faire le biberons d' Abby qui vient de finir de digérer son précédent ainsi que changer sa couche, vérifier que Lucile arrête de gratter ses écailles qui commence à mué (avec du retards) et soutenir avec un café et un petit bisous un Jonathan qui s'échine sur ses devoir. Finir de travailler moi même, surveillé la plus jeune et la coucher, faire le repas et ENFIN installer tout le monde à table. Après le dîner envoyer la plus vieille se coucher non sans s'être laver les dents et avoir embrasser ses parents, empêcher Abby de pleurer, venir pour le verre d'eau, venir pour le pipi. Et enfin, quand la maison est silencieuse, s'écrouler dans le canapé complètement lessivé.

" - Je suis désolé mon amour de ne pas t'avoir aidé aujourd'hui, me murmure Jonathan en s'asseyant à côté de moi.

- C'est pas grave tu sais. Tu fais de ton mieux.

- Comment s'est passé ta journée ? Demande-t-il en posant un baisé sur mes lèvres et un bras sur mon épaule.

- Bien, fatigante mais bien.

- Et le gynéco.

- Compte à rebours du sexe J-7 jours, souriais-je.

- Mmm, grogne son Soul de bonheur. J'ai hâte d'y être.

- Mais tu ne pourras pas me démonter le cul brutalement comme j'en rêve avant encore un mois, dis-je dépiter.

- Un mois ça passe tellement vite.

- Dans une semaine, à l'instant où tu posera les pieds sur le tapis de l'entré je veut que tu sois complètement nu OK ?

- Oui oui. Je sais que tu es affamé.

- Ouais, dis-je avec d'un coup moins d'entrain.

- Fatigué ?"

Je hoche la tête, assis face à lui sur ses cuisses. Je caresse son visage avec sa barbe qui pique,ses cheveux brun, ses beaux yeux chocolat, ses lèvres délicieuses.Je le regarde comme on regarde un acteur en couverture de magazine,où l'une des sept merveilles du monde. Ma merveille du monde ...L'une de ses mains sur mes hanches remonte à mon visage et répond à ma caresse sur la joue en miroir. Nos lèvres se retrouve pour un tendre baisé amoureux et je m'allonge sur lui. La tête perdu dans son cou. "Je t'aime". Il me serre dans ses bras et comme moi je respire le sien, il hume mon parfum. "Je t'aime aussi". Et je m'endors comme ça dans ses bras, juste heureux et épuisé.

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