La journée a ensuite filé. J'ai commencé par nettoyer les débris que le feu a causés, j'ai ensuite aidé Raven et Monty a récupéré de quoi faire des talkies-walkies, ce qui s'avère être plutôt une bonne idée. Maintenant, alors que je continue d'éviter Bellamy, il se trouve que Murphy semble m'éviter à son tour. Je ne me souviens plus depuis combien de temps exactement nous sommes arrivés sur cette Terre. A vrai dire, j'ai fini par arrêter de compter les jours. Mais les choses ont tellement changé. J'ai passé cinq ans enfermée dans une cellule, et pourtant, j'ai l'impression que ça fait une éternité que nous sommes sur Terre. Il s'est passé tellement de choses, et j'ai été obligé de changer malgré moi. La vie ici est difficile, et parfois, j'aimerais juste m'enfermer quelque part de nouveau, pour ne plus sentir ce poid sur mes épaules. La peur de mourir, de voir ceux que j'aime mourir. La peur d'échouer, de faire souffrir quelqu'un. Je ne vois pas le bout du tunnel, et c'est si fatiguant.

Raven vient de débrancher la radio, pour utiliser les pièces et finir ses talkies-walkies... Nous n'avons plus de nouvelles de l'Arche, de toute façon, alors je partage son point de vu, mais Monty, lui, semble abattu. Nous sommes à l'intérieur du vaisseau, j'ai ramené les derniers morceaux de cuivre que j'ai pu trouver dans le camp, pour faire les soudures, et maintenant, je me sens assez inutile. Je pourrais aller commencer à trier la nourriture que certains chasseurs ont déjà ramené, mais ça voudrait dire faire équipe avec Murphy, et je ne suis pas sûr que ma présence soit la bienvenue. "Il fait déjà nuit dehors..." souffle Monty alors qu'il commence à rassembler des matériaux pour les talkies. Je remarque que Raven a disparu, mais cette information est bien vite balayée par une autre. "Mais... Clarke n'est pas encore rentrée, non ?" dis-je, soudainement inquiète. Je croise le regard de Monty, et je comprends aux traits tirés de son regard que j'ai raison. Pourtant, Bellamy avait bien dit qu'ils devaient être rentrés avant la nuit.

Oh non. Ça ne peut pas arriver une nouvelle fois, ce n'est pas possible. Je sors du vaisseau en trombe. Il fait nuit noire, en réalité, et je commence à arpenter le camp. Il n'y a aucune trace de Clarke, ni de Finn ou de celui parti avec eux. Il n'y a eu aucun signe des Grounders, mais auraient-ils pu avoir une altercation avec eux ? Rapidement, je questionne la plupart de ceux qui étaient partis chasser, leur demandant s'ils ne les auraient pas croiser, ou s'ils ont eu le moindre problème pendant leur sortie du camp. Mais il semblerait que tout ce soit bien passé pour les autres. Alors pourquoi Clarke et Finn ? Ils auraient pu s'arrêter quelque part pour discuter, peut-être, de leur problème. Je sais bien que Clarke en veut à Finn parce qu'il lui a menti, qu'il ne lui a pas parlé de Raven, mais peut-être a-t-elle envie de lui pardonner ? Mais en même temps, ils étaient accompagnés avec Myles. Ils n'auraient pas laisser Myles tout seul. Et Clarke était parfaitement au courant des ordres de Bellamy, sur le fait de rentrer avant la nuit, alors elle serait fortement rentrée si elle avait pu, parce qu'elle aurait su que je me serais inquiétée.

Paniquée, je me dirige vers la tente de Bellamy. Je crois que je n'ai pas d'autres choix, et sur le moment, il est seul que je puisse voir. Je sais qu'il comprendra, et il m'aidera sûrement. Ou sûrement pas. Je ne lui ai pas parlé depuis la dernière fois, je n'ai aucune idée de ce qu'il ressent maintenant. Je m'arrête alors devant sa tente. Et s'il me rejette ? S'il ne veut pas m'aider ? Peu importe, s'il ne m'aide pas, j'irai la chercher seule. Alors pourquoi lui demander tout court ? C'est vrai, je pourrais simplement aller me chercher un fusil et sortir du camp. Mon cœur accélère ses battements alors que je me trouve devant la tente de Bellamy, hésitante. Je me mords la lèvre. Je pourrais lui expliquer. Lui expliquer pourquoi je ne veux pas qu'il se passe quelque chose entre nous... Peut-être qu'il comprendra, et alors on pourrait reprendre notre relation d'avant ? Non, parce que ce serait avoué mes sentiments à voix haute et rendre les choses trop réelles. Je ne pourrai plus faire marche arrière. Pour l'instant, rien n'a commencé, et c'est plus facile comme ça. Mais il me manque tellement... Je serre les dents et ferme les yeux, inspirant profondément. Puis j'ouvre la tente, pénétrant à l'intérieur d'un coup, histoire de ne pas me dégonfler. "Bellamy, il faut que je te..." dis-je en ouvrant les yeux. Mais alors, je m'arrête.

Je découvre Raven et Bellamy, allongés sur le lit, clairement nus sous le drap. Je vois leurs visages se tourner vers moi. Soudainement, je prends conscience que j'avais cessé de respirer. Le stresse d'entrer dans la tente, d'avoir peur de ne pas obtenir l'aide de Bellamy pour retrouver Clarke, la peur qu'il me rejette. Tout ça s'est envolé en une fraction de seconde. Tout s'est envolé, c'est comme si on venait de mettre en miettes mon cœur et qu'un coup de vent venait d'en balayer ce qu'il en restait. Je n'ai pas du tout imaginé qu'une telle chose pouvait se passer. J'ai été si naïve. Il n'y a jamais rien eu entre Bellamy et moi. J'ai comme l'impression d'avoir imaginer tous les moments que nous avons passé ensemble jusqu'ici. J'ai même honte d'avoir pu penser une fraction de seconde que j'avais des sentiments pour lui. Quelle idiote, je l'ai repoussé en pensant fuir, en pensant lui faire du mal pour me préserver, je pensais être égoïste. Alors que je n'ai été qu'une pauvre gamine idiote. J'ai sûrement été la seule à souffrir la dedans, à me poser des questions, à savoir qu'est-ce qui était le mieux pour nous.

Raven me dévisage sans comprendre, cachant sa nudité avec le drap. Elle finit par se redresser sur son coude et hausser un sourcil. "T'as pas l'impression de déranger, là, Iso ?" me dit-elle alors froidement en jetant un regard vers la sortie. Je ne regarde pas le visage de Bellamy, je ne veux rien savoir, je ne veux pas voir son expression. Sans rien dire, je fais volte-face et sors en trombe de la tente. Je me mords alors l'intérieur de la joue. Je ne dois pas pleurer, je ne dois pas pleurer. Ce n'est rien d'important. Oui, tout va bien, ce n'est pas grave. Ça va passer. Ne pleure pas Iso. "Iso !" m'appelle une voix dans mon dos, me glaçant le sang. J'aimerais ne pas me retourner, continuer à marcher, aller chercher une arme et simplement partir à la recherche de Clarke. C'est la seule personne que j'ai envie de voir à ce moment là. Mais je sais que je dois aussi me montrer forte. Je dois effacer ce sentiment de trahison, de naïveté que j'ai en moi. Alors je me retourne subitement.

Il est là, face à moi. Ma première pensée est pour les vêtements qu'il a enfilé en vitesse avant de sortir, son pantalon et sa veste sur son torse nu. Torse qu'elle a touché. Je sens naître en moi autre chose que cette impression d'avoir été une gamine aveuglée par une chose aussi futile que ce que je pensais être de l'amour, et je comprends que ce nouveau sentiment, c'est de la colère. De la haine, et une envie frappante de retourner dans cette fichue tente, de tout mettre à sac, de dire ses quatre vérités à Raven Reyes et mettre mon poing dans la figure de Bellamy Blake. Mais à la place, je suis simplement là, avec ce sentiment qui me brûle de l'intérieur, toute entière. Je finis par croiser son regard, parce que je ne peux pas me contenter de regarder le sol. Il se tient à quelques mètres de moi, le souffle court et l'air un peu perdu. "Pourquoi t'es là, Bellamy ? Tu t'es pas déjà assez amusé ?" demandé-je alors en levant les bras vers le ciel, un petit air provocateur dans la voix. C'est malheureusement plus fort que moi, comme toujours, je me laisse envahir par mes sentiments du moment. Hier c'était la peur, et là maintenant, c'est ce sentiment nouveau pour moi, la jalousie. Bellamy se pince les lèvres et m'observe pendant plusieurs secondes, les sourcils froncés. Je crois qu'il essaye de me jauger, de savoir où je veux en venir, et surtout, comment me répondre. Je continue de le dévisager, alors que dans le fond, j'ai simplement l'impression de m'effondrer. Que se serait-il passé si je l'avais laissé m'embrasser la veille ? Serions-nous quand même au même endroit aujourd'hui ? Ou est-ce parce que justement, je l'ai repoussé ? Est-ce ma faute si je me sens si misérable à ce moment ?

Bellamy fait alors quelques pas vers moi, et je me redresse lentement, espérant me donner contenance. Son regard s'est assombri, son visage s'est voilé d'une colère que je ne connais que trop bien depuis quelques minutes. "Tu m'as repoussé pour Murphy ?" me demande-t-il soudain, et je le dévisage, sans comprendre. Il a l'air cependant très sérieux. Je n'aurais pas du tout pensé qu'il puisse utiliser ce genre d'argument contre moi maintenant. Je me tends immédiatement et recule d'un pas, mais il m'attrape alors soudainement par le bras. "Hein ? C'est ça ? Tu ne veux pas de moi mais tu veux bien de ce connard de Murphy ?" s'énerve-t-il un peu plus, alors que sa poigne sur mon bras se renforce, et il me tire soudainement vers lui. Je fronce les sourcils et essaye de me dégager, mais il n'en démord pas. "Quoi ? Mais non, pas du tout !" dis-je en essayant de retirer sa main me tenant le bras, cherchant à le faire lâcher prise. "Je vous ai vu tout à l'heure !" crache-t-il soudainement, son regard noir posé sur moi. Je me fige, le souffle court et, les yeux plongés dans les siens, comme un enfant pris la main dans le sac. Les secondes défilent lentement, je ne peux m'empêcher de me demander si quelqu'un est en train de nous observer. J'espère que non.

Je sens les larmes monter mais je me mords l'intérieur de la joue pour ne pas exploser. Les traits du visage de Bellamy s'affaissent alors, et il me lâche avec dédain, me repoussant presque en arrière. "Mais tu sais quoi, je n'ai pas de compte à te rendre, tout comme toi, hein ?" crache-t-il de nouveau en levant les yeux vers le ciel et en passant sa main dans ses cheveux furtivement. Je suis tellement perdue. J'ai tant d'émotions qui se bousculent en moi. J'aimerais apaiser sa colère, lui dire qu'il n'y a rien, strictement rien, entre Murphy et moi, si c'est bien à cause de ça qu'il est énervé. Mais, je ressens toujours cette horrible impression d'avoir été bernée, ce dégoût que je ressens de l'imaginer avec Raven. Cette dernière image ne peut sortir de mon esprit. "C'est sûr, je ne veux pas t'empêcher de t'envoyer en l'air, c'était pas la peine de me courir après, allez vas-y, retourne là-bas, et continue, ne te préoccupe pas de moi !" m'exclamè-je en lui montrant la tente du doigt, cet air provocateur de nouveau sur mon visage. Bellamy me dévisage en serrant les poings, j'ai l'impression qu'il est sur le point de dire quelque chose d'autre, mais qu'il abandonne, et après un dernier regard dédaigneux, il fait volte-face.

Je reste un petit moment interdite, et alors que Bellamy rentre dans la tente, Raven en sort, décoiffée mais habillée. Je sens cette horrible colère monter de nouveau en moi et tout mon corps se crispe alors qu'elle s'approche de moi. Elle me regarde avec un petit air hautain avant de hausser les épaules. "Ta copine m'a piqué mon copain, alors..." dit-elle simplement en passant à côté de moi. Je me retiens de me jeter sur elle, ça serait montrer trop clairement mes sentiments, et c'est une chose que je ne sais que trop bien éviter. Je ferme alors les yeux et les larmes dévalent mes joues. Ça y est, je n'en peux plus. Sans réfléchir, je me dirige vers un coin du camp complètement dans la pénombre, et je me laisse glisser contre le mur. Je passe mes bras autour de mes jambes recroquevillées contre moi et je laisse sortir toute ma peine, toute ma colère. J'ai été si idiote. Tremblante de la tête aux pieds, je me balance d'avant en arrière, me répétant encore et encore que ça va passer, jusqu'à ce que les larmes se tarissent. Le froid de la nuit commence à me faire frissonner de partout, mais les heures défilent sans que je n'ai la force de bouger.

Soudain, une ombre se matérialise devant moi. "Iso ?" Je reconnais la voix d'Octavia, alors je relève la tête. Étrangement, je sais d'avance qu'elle ne dira rien, peu importe l'état dans lequel je me trouve. Elle s'approche de moi, je distingue à peine sa silhouette dans la pénombre, mais je vois distinctement l'objet qu'elle me tend. Un fusil. Je lève un regard interrogateur vers elle. "Clarke, Finn et Myles sont les seuls à ne pas être rentrés, on part à leur recherche." me dit-elle simplement, et sans plus réfléchir, je me redresse et attrape le fusil. Nous arrivons à la porte du camp, mais dès que Bellamy me voit arriver, il part, sans même dire quoi que ce soit. Monty le suit, et alors Octavia et moi nous dirigeons vers Raven. Merde, c'est bien la dernière personne avec qui j'ai envie de faire équipe maintenant. Raven tend alors quelque chose à Octavia et moi, et je reconnais des talkies-walkies. Elle a fini par les construire, je me demande bien quand a-t-elle trouvé le temps. Sans un regard pour elle, je sors du camp, et, le fusil à la main, je m'enfonce dans la forêt.

Nous ratissons le moindre centimètre carré en formant une ligne, chacun d'entre nous éloignés d'une cinquantaine de mètres les uns à des autres. Monty est à ma gauche, tout comme la lune, qui est notre point de repère dans cette nuit noire. Bellamy est à ma droite, et ensuite Raven et Octavia. Je préfère être seule que mal accompagnée. Mais j'ai très peu d'espoirs de retrouver Clarke. Avec ce qui s'est passé ces dernières heures, je n'arrive pas à croire que je l'ai sortie de mon esprit. J'aurais dû partir à sa recherche bien plus tôt. "Quelqu'un d'autre entend le signal ?" demande alors Monty au talkie. Je tends l'oreille, mais je n'entends rien d'autre que des bruits d'animaux ou le vent faisant s'entrechoquer les branches au dessus de nos têtes. "Garde les yeux ouverts." lui répond Raven, et je sens mon cœur se serrer. J'aimerais tellement pouvoir me sortir toute cette histoire de la tête... J'avance doucement, dans un sens, je me sens mieux dans la forêt qu'au camp, même dans le noir complet. Et puis, la forêt est si paisible, à ce moment là, que j'en oublie presque que les Grounders veulent notre peau. "Je crois que c'est la même chose qu'on entendu sur la boîte noire." explique alors Monty. Je me souviens que tout à l'heure, Monty disait quelque chose à propos de la boîte noire du vaisseau qui s'est écrasé quelques jours plus tôt, dans lequel la mère de Clarke aurait dû se trouver. Et Monty avait l'air de dire que la boîte noire émettait un son étrange. Comment un tel son pourrait-il se retrouver au milieu de la forêt ? "Monty, ne fais rien d'idiot..." dis-je au talkie, tout en regardant sur ma gauche, cherchant si je peux distinguer sa silhouette parmi les arbres. Mais il fait bien trop noir, et il se trouve trop éloigné de moi. "Putain, Monty, reste concentré." lui ordonne Bellamy juste après moi, d'un ton sec. Malgré moi, je tourne mon regard vers la droite, mais je ne distingue pas non plus Bellamy. Je prends alors une grande inspiration, je dois me le sortir de la tête.

Le silence revient hanter la forêt, mais Bellamy le brise. "Tu vois quelque chose ?" demande-t-il à l'intention de Monty, mais c'est le silence qui lui répond. Je m'arrête alors, et cette fois, je cherche avec plus de conviction la silhouette de Monty dans la nuit. Les secondes défilent, mais Monty ne répond toujours pas. "Je vais voir." dis-je au talkie, tout en me mettant en marche vers la position que devrait avoir Monty. J'entends Bellamy m'ordonner de garder ma position, mais je l'ignore et m'enfonce dans la forêt. Soudain, le talkie fait un bruit étrange, et je m'arrête net, m'accroupissant dans les buissons, scrutant les alentours. Mais rien ne se passe. "Il y a quelqu'un dans les buissons." informe alors Raven de son côté. J'attends toujours, je ne devrais pas être très loin de Monty, il devrait être simplement à une dizaine de mètres, mais je ne le vois pas. Il n'y a d'ailleurs aucun mouvement, alors je finis par me remettre debout, et je m'avance à petits pas, appelant Monty à voix basse. "Iso, Monty, on a trouvé Myles, on rentre. Vous me recevez ?" demande la voix de Bellamy, mais, étrangement, elle me parvient en écho. Fronçant les sourcils, je coupe alors mon talkie, et je me guide au son de la voix désincarnée de Bellamy filtrée par le talkie. Parce que oui, j'entends le talkie de Monty. Il ne doit pas être loin. Je continue de l'appeler, mais toujours pas de réponse. Le cœur battant, je marche en me faisant le plus discrète possible. "Monty, Iso, vous m'entendez ?" demande de nouveau la voix de Bellamy, cette fois plus tendue. Je peux clairement voir qu'il n'y  pas âme qui vive autour de moi, et pourtant, j'entends Bellamy distinctement maintenant. Je baisse alors les yeux et scrute le sol. "Monty..." dit Bellamy, il doit être tout prêt. Et alors, je le vois, le talkie de Monty, sur le sol. Mais pas de trace de Monty. "Iso, où t'es ? Réponds-moi tout de suite, bordel !" s'énerve Bellamy, et j'attrape alors le talkie. "Je viens de trouver le talkie de Monty, mais... Mais, il n'est pas là." dis-je simplement, la voix tremblante.

Je regarde autour de moi. Je ne peux pas croire qu'on ait perdu Monty. "Iso, tu rentres tout de suite au camp." m'ordonne alors Bellamy, mais je reste quelques minutes de plus, regardant aux alentours. Je ne peux pas partir, il ne peut pas avoir disparu comme ça. Mais au bout d'un moment, je dois me rendre à l'évidence, Clarke et Monty ont bien disparu, et ce n'est pas par erreur.

____________________

(re)Bonjour tout le monde !

Et voilà donc un autre chapitre, eh oui ! Alors, petite précision, pour cet épisode, qui est donc l'épisode 11 de la première saison, il n'y aura que deux parties ! Cette partie est donc la dernière pour cet épisode ! Il y a moins d'action au niveau des 100 dans cet épisode ! Par contre, dans le prochain, ça risque d'être mouvementé !

Enfin, j'espère que ce chapitre vous a plu, il n'était pas très gai, et je ne suis pas vraiment contente de ce que j'ai écris, mais je ne vois pas comment amener les choses autrement, c'est qu'ils sont compliqués tous les deux ahah

En tout cas, merci aux personnes qui me suivent, qui votent et qui commentent cette fiction !

Enfin voilà, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et à bientôt pour la suite !