Chapitre 13

On est actuellement dans mon appartement à fêter notre passage des examens.

Ichinose : "Je n'en reviens pas que tu ais sauvé 5 des membres de ta classe toi compris pour annuler une expulsion."

Douma : "Hyaaaaa...même si tu dis ça Horikita m'a énormément aidé pour négocier."

Sudo : "Trop forte merci."

Kikyo : "Merci Horikita."

Horikita : "Hum...de rien..."

Hiyori : "Mais vous avez payé combien au juste?"

Douma : "Je peux ne pas en parler? Ça fait encore mal de penser à tous ces idiots qui nous ont trahis."

Hiyori : "Wah! Désolé Douma!"

Douma : "Mais non c'est rien. C'est la faute de ces idiots. Si seulement nous étions au minimum soudé comme la classe B."

Horikita : "C'est vrai. Unis comme vous êtes je n'ai aucun doute que vous auriez pu utiliser de manière plus fiable cette stratégie. C'est impressionnant que tu sois capable d'une telle chose Ichinose."

Ichinose : "Hahaha...je n'ai aucun mérite. C'est la classe au final qui coopère."

Douma : "Oui mais une telle coopération nécessite de bonne compétence de leader."

Ichinose : "Merci."

Hiyori : "Maintenant que c'est fait...Douma tu as vu ce livre?"

Douma : "Avec une couverture, une 4ème de couverture et du papier?"

Hiyori : "Non celui-là tu l'as surement déjà vu."

Douma : "Ah alors montre moi."

Horikita : "Ouah il a trouvé son alter égo littéraire."

Kushida : "Mais ils sont si adorable. Remarque on comprend qu'ils soient premier au classement des couples."

Ichinose : "Il m'impressionne vraiment. Il a même forcé l'arrêt de l'agression de Sudo."

Horikita : "Agression?"

Sudo : "Oh ouais des connards de la classe C qui s'en prenaient à moi pour que je leur casse la gueule et fassent je sais pas trop quoi après."

Hiyori : "Ryuuen est d'ailleurs en colère à ce sujet."

Douma : "Ala ala. Et il va faire quoi me frapper? Humph. Même si j'ai des tendances masochistes je ne laisse personne me frapper sans que je lui permette."

Ichinose : "Ah donc Horikita est spéciale?"

Douma : "Ben ouais puisque Tsundere elle est violente et c'est charmant."

PUNCH!!!!!!

Douma : "Hourra ça fait mal!!!!"

Kushida : "On dit pas aïe?"

Douma : "Hourra ça fait aïe!!!!"

PUNCH!!!!!

Horikita : "C'est pour avoir encore dit de la merde."

Douma : "Merci beauté."

Horikita : "Ne m'appelles pas comme ça!"

Douma : "Pourquoi tu veux que je revienne à chéri?"

Horikita m'attrape par le col.

Horikita : "Est-ce que tu veux essayer la mort par strangulation?"

Douma : "Je suis curieux de ce que ça donnerai."

Elle m'étrangle vraiment maintenant.

Ichinose : "Donc il t'a déjà appelé chéri?"

Kikyo : "Horikita pourquoi tu nous as rien dit sur vous 2?!"

Horikita : "Il n'y a rien!!!!!"

Hiyori : "Vraiment rien? Pourquoi tu rougis dans ce cas?"

Horikita : "Il n'y a rien et je ne rougis pas! C'est toi qui rougit!"

Hiyori : "Kya! Vraiment?"

On s'amuse durant cette soirée.

Après quoi je commence à nettoyer.

Ichinose : "Tu veux de l'aide?"

Douma : "Non c'est bon je m'en occupe. Rentrez bien et faites attention."

Hiyori : "D'accord. À demain."

Horikita : "Pareil."

Sudo : "Salut."

Ils y vont sauf Kushida.

Kikyo : "Laisses moi aider s'il te plait."

Douma : "Si tu insistes vraiment pour alors d'accord."

On a tout rangé ensemble et discuté de tout et rien.

Kikyo : "Bien merci pour la soirée et l'accueil Douma."

Douma : "Ce fut un plaisir."

Elle part.

Ce fut pas mauvais...

Oh.

Je vois le terminal de Kikyo.

Je le prend et sors pour le lui rendre.

Mais je la vois monter sur le toit avec l'ascenseur.

Où va-t-elle?

Je prends les escaliers et la rejoins.

Kikyo : "Haaaaa..."

Oh?

C'est sa voix mais pas son ton habituel.

Kikyo : "Ça me fait chier."

En plus elle tape la barre de sécurité.

Oups je crois que je vais enregistrer comme une sécurité.

Kikyo : "Qu'elle crève. Qu'elle crève. Crèves Horikita!!! Crèves!!!!!!!! Tu te crois tellement belle hein? Si fabuleuse parce que l'autre batard te soutient?! Crèves crèves crèèèèèèves!!!!!!!!!!!"

Ala ala.

C'est très méchant Kikyo.

Kikyo : "Et cet enfoiré d'ailleurs toujours à prendre les projecteurs, toujours à sourire si honnêtement, toujours si parfait, comment il a pu payer l'annulation de l'expulsion! Cette salope aurait dégagé si il n'avait rien fait! Comment il a fait! Comment il a fait!!!!! Maintenant c'est lui qui contrôle la classe et en plus il traine avec ces 2 autres salopes des autres classes comme si cette chienne lui suffisait pas ce pervers!!!!"

Pervers?

Je pourrais faire chier les gens et m'amuser avec ceux qui me frappent tout particulièrement mais je n'ai rien fait qui mérite qu'elle me traite de pervers.

Bon après tout le monde l'est techniquement considérant que c'est ce qui dirige l'homme et la femme l'un vers l'autre mais au minimum je suis respectueux de la pudeur des femmes.

Oh Akaza serait fier de moi de savoir que je suis enfin respectueux des femmes non?

Soudainement le portable de Kikyo sonne.

Kikyo : "Qui est là!"

Je range mon portable dans ma poche avant par sécurité pour continuer l'enregistrement.

Douma : "Kikyo tu avais oublié ton portable chez moi."

Kikyo : "Tu as entendu?"

Douma : "Oui tout. Tu râlais fort et frappais la barre donc je m'inquiétais de te déranger."

Kikyo : "Donc tu as bien tout entendu."

Douma : "Tout va bien? Tu veux en parler? Tu semblais frustré de quelque chose me concernant. Ai-je fait quelque chose qui t'as mise mal à l'aise pour me traiter de pervers?"

Kikyo : "Toi...je jure t'as intérêt à te taire."

Douma : "D'accord."

Kikyo : "Je jure que si tu dis quoi que ce soit je vais dire à tout le monde que tu as tenté violé."

Douma : "Premièrement j'ai déjà dit que je me tairai. Deuxièmement c'est une accusation mensongère. Et troisièmement pourquoi en venir aux menaces? N'as tu pas confiance? Je croyais qu'on était amis."

Kikyo : "Très drôle. Tu serais ami avec une garce comme moi? Me fais pas rire."

Douma : "Ben quoi? Je ne suis pas non plus parfait après tout. Pourquoi devrais-je te rejeter parce que j'ai vu une facette de toi que tu ne montres pas? D'autant que...j'ai toujours vu au travers de ton faux sourire. C'est pas à un singe qu'on apprend à faire la grimace tu sais?"

Kikyo : "Hein? Toi un faux sourire? Me fais pas rire. De toute façon je m'en fous si c'est un mensonge."

Elle m'attrape la main.

Kikyo : "À la fin c'est moi qu'on croira...mais c'est quoi cette force absurde?!!!!"

Je ne la laisse pas faire.

Douma : "Ah...donc on est pas amis?"

Kikyo : "T'as toujours pas compris? Depuis le début je me servais de ta foutu popularité pour améliorer un peu mon image. Rien d'autre!"

Douma : "Ha...haaaa...Kikyo...Kushida san...c'est merveilleux...je ressens...en cet instant...une si forte émotion..."

Kushida : "Quoi?"

Je tire mon portable de ma poche et stoppe l'enregistrement ce qui la terrifie.

Douma : "Si tu avais juste accepté ma sincère amitié j'aurai effacé cette vidéo et on en serait resté là...mais tu as fait ton choix...et maintenant...je ressens...de la trahison...et de la haine à cette trahison."

Je lui attrape d'un coup la gorge la soulevant les pied au delà du sol avec la main qu'elle tient.

Kushida : "Kh...kuh...kh..."

Et mon visage cesse de sourire.

Non pour elle maintenant que nous sommes tous les 2 je lui offrirai la vérité.

Un visage apathique et sans émotion.

Douma : "Je pensais qu'on serait de bons amis. Qu'entre simulateur on se comprendrait. J'ai vraiment essayé de passer au delà de mon manque d'émotion et d'être bien amical avec toi pour vraiment ressentir un sentiment de joie d'être en ta compagnie...mais au final non seulement tu ne m'as pas montré volontairement le vrai toi mais en plus tu ne m'as pas offert ta confiance, m'a menacé avec un mensonge, basiquement tu allais me mettre un couteau sous la gorge. Tu sais combien c'est désagréable? Je pourrais être masochiste mais je n'aime pas qu'on me menace de cette manière. Mais apparemment...j'avais totalement tord. Toi et moi nous ne sommes rien l'un à l'autre."

Elle s'accroche à mon bras et me donne des coups de pieds mais n'arrive à rien.

Douma : "Tu disais un truc comme quoi tu allais m'accuser hein? Mais tu as vu toute ton attitude? Maintenant je pourrais te faire tout ce que je veux. Je pourrais te tuer, te découper en petits morceaux et te balancer un morceau à la fois dans les chiottes pour débarrasser les preuves. Oh mais ça peut flotter. Oh je sais! Te dévorer! Une fois digéré personne ne trouvera plus rien non? Né Kushida...de quelle manière tu voudrais mourir?"

Kushida me regarde morte de peur et en pleur.

Ah et vu l'odeur et le liquide au sol elle s'est souillé.

Douma : "Kushida si tu veux continuer à vivre ta vie comme l'habituelle je t'explique les règles. Désormais toi et moi nous sommes en froid. Je suis Hashibira et toi Kushida. Si tu tentes quoi que ce soit contre Horikita, si il y a une seule information de la classe relâché à une autre, si tu tentes quoi que ce soit pour nous expulsé, si j'ai même un soupçon que tu nous trahis...je diffuse la vidéo sur le forum et toutes tes 3 années ici seront gâchés. Si tu t'en tiens à ces règles promis tu n'auras jamais à me craindre ni rien. Tu pourras m'ignorer, passer ton temps ici avec tes "amis" si on peut vraiment les appeler ainsi, et tu seras en pleine sécurité. Mais je t'ai prévenu. Je suis un monstre sans émotion. Que ce soit te virer ou te tuer je le ferai sans même pas un soupçon d'émotion. Donc sois toujours bien consciente du risque que tu prendras si tu oses avoir la moindre pensée de trahison. C'est bien compris?"

Kushida : "O-O-Oui..."

Douma : "Ah et montre moi un instant ton terminal. Ce sera pas long je promets."

Je lui montre son terminal et elle le déverrouille pour que je vérifie.

Pas de vidéo de moi ni rien sur Horikita.

Douma : "Bien je n'ai aucune information à mon sujet à détruire. Va savoir ce que tu peux créer avec tes mensonges."

Je la repose lentement.

Elle tousse fortement parvenant enfin à respirer.

Douma : "Bon et bien...à demain Kushida. Prends bien soin de toi. Ha et bien sûr n'essais pas de dire quoi que ce soit sur la trace que j'ai laissé à ta gorge. Sinon je préciserai que je me suis seulement défendu quand tu as tenté de me violer pour ensuite m'accuser à tord."

Je la laisse là.

Après 3 minutes elle hurle de rage folle.

Visiblement la peur lui est passé.

En plus j'ai laissé une horrible marque.

Mais au final elle ne pourra rien tenter contre moi sans en payer le prix.

Mais toute assurance est nécessaire.

Douma : "(Horikita j'ai 2 demandes.)"

Horikita : "(Je te jure que si tu cherches encore à me faire chier à une telle heure je vais te jeter depuis le 3ème étage.)"

Douma : "(J'y survivrai. Et pour ma première demande puisqu'on est amis n'est-il pas temps que je t'appelle Suzune chan ou dono?)"

Suzune : "(...ça me change tellement de tes conneries habituelles. Ok fais donc avec le dono. Et attends tu survivrais vraiment?)"

Douma : "(Même en sautant depuis le toit je survivrai. Et ensuite pour ma seconde demande je vais t'envoyer une vidéo. N'en fais rien. Juste enregistres là et gardes là à l'abri bien caché avant de supprimer toute cette conversation puis on la rejouera pour la partie avec ma demande de t'appeler par ton prénom.)"

Suzune : "(Je te jure que si tu fais une merde du style que m'envoyer du porno pour dire qu'on verra jamais ma poitrine rebondir comme ça comme la dernière fois tu es vraiment un homme mort.)"

Douma : "(Oh aller c'était marrant non?)"

Suzune : "(Non.)"

Douma : "(De toute façon cette fois-ci la vidéo c'est une tentative de viol.)"

Suzune : "(De quoi?)"

Je lui envoie la vidéo et Suzune met un moment à répondre.

Suzune : "(Oh...il t'arrive des fois où tu penses droit. En tout cas compte sur moi je la garderai en lieu sûr.)"

Douma : "(Tu noteras que Kushida aimes que les hommes lui touchent les seins. Toi tu ne ferais jamais ça je suppose...t'as pas ce qu'il faut pour.)"

Suzune : "(Et tu es de retour. Je vais dormir. Meurs dans ton sommeil Douma.)"

Douma : "(Ala ala. Suzune tu me demande de crever mais m'appelles Douma juste après pour la première fois. Je suppose que je vais m'arrêter là alors bonne nuit Tsun Tsun.)"

Je n'ai eu aucune réponse donc je suppose que je l'aurai demain matin.

On doit après tout effacer les messages et les rejouer.

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