Chapitre 8
La main douce d'Hermione s'était retrouvé dans celle de Draco par un fâcheux concours de circonstances. La paume du Serpentard était, selon, la journaliste, a l'image de l'homme qu'incarnait Malefoy. Rugueuse et froide.
- Dis donc, tu as les mains affreusement calleuse pour un aristocrate. Remarqua Hermione alors qu'elle marchait en direction de la sortie de Pré-au-Lard.
- Je te l'ai déjà dis Granger. On m'a mis dans une galère avec travaux forcés à la clef.
- N'exagère pas. Ce n'est pas si mal d'écrire des bouquins.
- Ca a certains avantages. Admit l'auteur.
- Elles sont aussi froides.
- De quoi? Demanda le Serpentard.
- T'es mains. Répondit-elle.
- Et alors?
- On dit souvent " mains froides, cœur chaud ".
- Jamais entendu parler. Maugréa Draco. Surement un stupide proverbe moldu.
- En tous cas, ta culture sur l'autre monde n'est pas négligeable. Concéda Hermione.
- Ce n'est pas toi qui disais que j'avais le cœur velu? S'étonna Draco.
- Il n'y a que les trolls qui ne changent pas d'avis. Dit-elle avec un sourire espiègle.
- Oui et bien le troll qui sommeil en moi est sur le point de te donner un coup de massue si tu ne te tais pas.
- Grognon Malefoy?
- Blasé Granger.
- Dis, quand Est-ce que tu sortiras ton prochain livre?
- Je n'en sais rien. Quand j'aurais trouvé un sujet d'inspiration. Mais je pensais plutôt en faire un du genre " La face cachée de Potter " avec plein d'immondices sur lui afin de le discréditer auprès de l'électorat. Malheureusement, je dois encore me tenir à carreaux. Mes libertés sont restreintes
- Pauvre de toi. Geignit Hermione.
- Ca tu peux le dire... Encore heureux que je n'ai pas à supporter du courriers de fan. Nargua Malefoy en la regardant en biais.
- Tais-toi. Ordonna la journaliste les joues prenant une légère teinte pivoine.
- Tu te sens visée Granger?
- Je devrai?
- A toi de me le dire.
Hermione s'arrêta et fit face à son interlocuteur:
- Disons que mon orgueil en pris un coup lorsque j'ai su que j'étais fon de meilleur ennemi.
- Quel délicieuse victoire. Murmura Draco .
Il ferma les yeux un fraction de secondes comme si il voulait grave cet instant à tout jamais dans sa mémoire.
- Bon, satisfait j'espère?
- Encore plus que ça Granger. C'est Noël avant l'heure pour moi.
- Malefoy?
- Paillasson?
- Arrête de m'appeler comme ça! Vociféra la Gryffondor.
- Bon, qu'Est-ce qu'il y a Granger?
- Je voulais revenir sur un sujet.
- Je t'écoute.
- Que sont devenus tes amis Serpentard après la guerre?
Draco semblait perdre pied comme si c'était lui qui avait reçu un de coup de massue dont il avait menacé Hermione précédemment.
- Pourquoi tu veux savoir ça?
- Je te ferai dire que tu ne t'es pas gêné pour parler de Ron et Harry à table toute à l'heure.
La mâchoire du Serpentard se contracta.
- Après les funérailles de Crabbe, on a décidé de repartir chacun de notre côté. Théodore Nott est parti en Nouvelle-Zélande étudier les vampires pour le compte du ministère. Blaise a hérité de la fortune colossale de sa mère et je crois que c'est un grand brocanteur pour le magasin Barjow et Beurk. Goyle, quant à lui, fait parti de la garde rapprochée du ministère moldu.
- Et Pansy Parkinson?
Draco émit une sorte de rire sans joie.
- Pansy, commença t-il laissant alors sa phrase en suspend.
Draco repensa au dernier jour où il avait vue Pansy, la femme qui lui était destiné depuis sa naissance. Ils étaient tous les deux dans une chambre miteuse du Chaudron Baveur où Draco avait trouvé refuge provisoirement. Il se tenait près de le fenêtre et écarta à l'aide de sa baguette magique les rideaux rongés aux mites et infestés de Doxys. Au dehors, de nombreux sorciers sautaient de joie exprimant leur euphorie la plus profonde, en projetant des étincelles colorées vers le ciel. Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pa-Prononcer-Le-Nom vient d'être terrassé par Potter, l'élu! Beaucoup serraient la main à des personnes qu'ils ne connaissaient pas, croisées dans la rue ignorant qu'un des responsables de leur malheur d'antan les observait par cette fenêtre.
- Les aurors ne vont pas tarder à arriver. Finit pas dire Draco.
Pansy sursauta comme si elle venait de se rendre compte qu'elle n'était pas seule dans cette chambre d'hôtel.
- Tu es sûr qu'il n'y a plus rien à faire Draco?
- Certain. Répondit-il en s'écartant de la fenêtre.
Le Serpentard regarda Pansy se rhabiller en vitesse en repensant à ses prouesses d'échos d'alcôves.
- Tu te rends compte qu'à présent on ne se reverra plus avant un certain moment. Reprit l'ancien préfet tout en s'asseyant au bord du lit où Pansy reboutonnant fébrilement son chemisier entre deux sanglots.
- J'ai juste du mal à m'y faire. Tu ne peux pas simplement t'enfuir?
- Cela ne ferait qu'alourdir ma peine. Conclu Draco. La guerre m'a rendue moins lâche qu'auparavant et j'assumerai les charges qui me sont dues.
-On avait tellement de projets. Dit la jeune femme.
- Je sais. Mais ça n'y met pas un terme pour autant. Ce n'est que parti remise. Une fois sorti de prison nous pourrons alors envisager de fonder notre propre...
CRACK
- EXPELLIARMUS! Crièrent sept aurors à l'unisson.
Draco fut projeté à l'autre bout de la chambre d'hôtel et tomba dans un bruit sourd, sa baguette magiques gisant à deux mètres de lui. Un auror barbu aux cheveux drus se baissa pour la ramasser et l'enfouit dans la poche de sa cape.
- Monsieur Malefoy, prononça un auror connu sous le nom de Dawlish, nous vous arrêtons au nom du ministère. Vous serez transférer à Azkaban en attendant votre procès.
Un autre auror, beaucoup plus grand que les autres, remis Draco debout et fit apparaître des liens autour du tronc de son corps grâce à la formule " Incarcerem ". Draco fit difficilement face à Pansy et soutint son regard.
- Tu m'attendras? Demanda le Serpentard sa voix enrouée.
- Draco, je ne sais pas combien de temps tu... Ecoute, je suis encore jeune et j'espérais faire ma vie rapidement.
- Pas la peine de gaspiller ta salive Pansy. Je comprends tout à fait ce que veux dire. Trancha Draco. On peut y aller. Dit-il en s'adressant à la brigade de police magique.
Dans un nouveau crack sonore, les sept aurors et Draco Malefoy disparurent dans un tourbillon d'images...
- Malefoy?
Peu à peu , Draco revenait à l'instant présent: Granger.
- Tu es devenue tout drôle quand on a évoqué le nom de Pansy. Déduis la Gryffondor.
- Pansy appartient au passé. Prononça l'écrivain d'une voix ferme.
- Je suis navrée. Je sais qu'elle comptait pour toi.
Silver Serpentis ne répondit rien et se contenta d'observer la végétation environnante comme si il avait trouvé fascinant de voir deux gnomes de jardin se battre pour un lombric.
- C'es de la compassion ou de la pitié?
Hermione fut surprise par la question et avant même de pouvoir objecter, et reprit:
- Que se soit l'un ou l'autre, je n'en veux pas.
- A quoi bon nier ta nature d'être humain, Malefoy? Tout le monde à besoin de sentir quelqu'un être emphatique à ses problèmes.
- Si ça te fais plaisir. Grommela le Serpentard.
Un nouveau silence retomba, plus long encore que les précédents.
- Tu sais quand ma liaison avec Ron s'est achevée, j'ai été anéantie bien que se soit moi qui ai décidé d'y mettre un terme.
- Je croyais que vous étiez fait l'un pour l'autre.
- Moi aussi. mais je me suis lourdement trompée...
Par le philtre du souvenir, Hermione revécut la journée qui avait disloqué le trio d'or. Elle se revoyait entrer dans l'ascenseur du ministère encadrée par Harry et Ronald. Tout les trois portaient l'uniforme des apprenties chasseurs de mage noir qui était violet, au grand damnes de Ron.
- J'ai horreur de ces robes. Dit le rouquin en regardant sa tenue d'un aire dégouté.
- Combien de fois je devrais te répéter qu'aucun étudiant ne doit déroger à la règle. On doit porter nos robes! S'exclama Hermione.
- Et puis, aujourd'hui c'est une cérémonie officielle. Continua Harry. On va enfin savoir si nous avons réussis nos examens pour entrer au bureau des aurors.
- Je me demande si j'ai réussis toutes mes épreuves. J'ai été lamentable en métamorphose: je n'ai pas réussis à me transformer entièrement en rapace. J'avais encore du vernis à ongles sur mes serres. En plus, mon sortilège de duplication était épouvantable. Le sosie de Harry avait un poil disgracieux sur le menton et si vous aviez la catastrophe que j'ai produit à l'épreuve de potion vous...
- Hermione, on était dans la même salle d'examen! S'emporta Ron. Et je peux te jurer sur la barbe de Merlin que tu as été parfaite.
- Ron a raison. Le sosie que j'avais fait de toi ressemblait de loin à une veille chouette sur un corps de femme.
- Et mon Véritaserum faisait dire des jurons! Renchérit Ronald.
La prote de l'ascenseur s'ouvrit avec un grand fracas et une voix de femme et distante s'éleva de la cabine:
- Niveau deux: département de la justice magique et bureau des aurors.
- Par ici. Indiqua Harry.
Les trois jeunes se pressèrent dans les dédales du couloir ministériel afin de ne pas arriver en retard à la remise des diplômes. Une salle entière avait été aménagée par le service d'entretient pour l'occasion. Harry tourna la poignée d'une porte ouvragée et massive sur laquelle était écrit " Salle de réception ". Il ignorait encore que dans quelque année il franchirait de nouveau cette même porte mais en tant que candidat au poste de ministre de la magie.
- Avant de rentrer je voulais vous remercier de vos encouragements et que même si on est pas tous pris on restera amis à jamais. Débita Hermione.
Après une dernière étreinte, les trois amis poussèrent le pas de la porte, le cœur cognant contre leur poitrine. Au milieu de le pièce se trouvait un pupitre avec un écriteau qui indiquait " Ministre de la magie, Kingsley Shacklebot ". Un épais tapis conduisait à une estrade qui le surélevait. De chaque côté du pupitre, on avait disposé une dizaine de chaises où différent membres du ministère siégeaient. Dolores Ombrage papotait avec Cornelius Fudge, consultant auprès du ministre. A sa droite se trouvait Percy Weasley l'air fière et concentré sous ses lunettes en écailles alors que son voisin, Stu Anderson, un jeune blond à la carrure filiforme, arborait une attitude désinvolte. A ses côté se trouvait Mafalda Hopcrick du service abusif de la magie. A sa gauche, Walner Shepard, nouveau directeur du bureau des aurors, caressait sa barbe l'air plutôt songeur. En revanche, la directrice des apprentis chasseurs de magie noir, Kristin Jones, toisait la promotion des nouveaux aurors avec un œil critique s'arrêtant de temps à autre sur un ou deux élèves dont la tenue était à désirer. Au bout de la rangée s'alignait les trois professeurs chargées de la formations des aurors. Marcus Frindler était le professeur des maléfices et contre maléfices de la magie blanche. Barbara Fletman inculquait la protection et la défense contre les forces obscures et Gena Boxam, une très vieille femme encadrait les subterfuges de dissimulation et d'attaque. Hermione balaya la salle d'un regard d'épervier et s'assit au quatrième rang avec ses deux amis de toujours.
Au bout de cinq minutes, Kingsley entre et fit un bref discours relatant alors la complexité des épreuves qu'avait dû affronter les candidats et les difficultés qui les attendraient au fur et à mesure de leur carrière.
- Masi trêve de discours, déclara le ministre d'une voix grave et lente en s'adressant à la trentaine d'élèves qui lui faisaient face. Je rappelle à ceux et à celles qui ont raté leur année qui leur est possible de retenter leur examen dans sept mois. Je vais maintenant appeler Josh Bulby.
Un homme qui devait être de loin le plus âgé de tous monta sur l'estrade et pris le diplôme que lui tendait Kingsley. On l'entendit alors s'exclamer:
- La troisième fois était surement la bonne!
Fou de joie il alla s'asseoir au premier rang où une ovation chaleureuse lui était destinée. Puis se fut au tour de Gallgary avant qu'Hermione ne soit appelée. Resplendissante, elle alla saisir son diplôme en serrant la main de tous les représentants du ministère et évitant soigneusement Dolores Ombrage. Bien sûr, Harry et Ronald l'obtinrent également non sans mal mais le résultat était là: ils étaient tout les trois aurors! Mais rien ne se passa comme prévus. Ron, le dernier de la liste alphabétique, était resté au pupitre bien décidé à faire un discours:
- Je voulais remercier ma famille et mes amis pour leur soutient durant toutes ces années. Plus particulièrement, Hermione Jane Granger ici présente, la plus grande sorcière que je n'ai jamais connus. Je tiens à profiter de cette occasion pour... euh... lui montrer à quel point elle compte pour moi. Hermione, tu n'es pas seulement une amie indispensable, tu es aussi la femme de ma vie.
Ron avait posé le genou droit à terre avec le regard larmoyant. Il tenait entre ses doigts une bagues grotesque issus du magasin Weasley, farces pour sorciers facétieux qui hurlait d'une voix suraigüe : "Epouse-moi! Epouse-moi, je suis prêt à partager ma cheminée avec toi! ". Jamais Hermione n'avait trouvé un homme aussi ridicule et médiocre dans une telle situation. Elle ne s'était pas imaginé les choses ainsi, exposée aux yeux de tous. L'apprenti auror tourna lentement la tête vers son voisin. Harry Potter était encore bouche bée par la déclaration de son meilleur ami. Un silence de plomb s'abattit sur la salle de réception. Même ceux qui jusqu'alors sanglotait parce que leur années d'études s'étaient clôturée sur un échec s'étaient tus. Tout le monde attendait la réponse d'Hermione. Certains optimistes souriaient déjà car ils pensaient que tout finirait bien dans le meilleur des mondes. Or, Hermione fit tout le contraire de ce qu'espéraient les autres dans leur fort intérieur. Tétanisée, elle se leva toute tremblotante et déclara :
- Je suis désolée Ronald.
Sans crier gare, elle fit volte-face et sortit de la salle sous les regards ahuris de l'assistance. Une fois dans le couloir, elle se précipita dans un des ascenseurs mais une main puissante se referma sur le battant de la porte.
- Où vas-tu? Demanda Ron.
- Je ne sais pas.
- Tu ne m'as pas répondu. Mais je crois que c'est non, n'Est-ce pas? Dit ironiquement le rouquin.
- Ronald, si tu savais comme je regrette que cela ne soit pas réciproque. Geignit Hermione.
- Ouais c'est ça... Maintenant que les choses sont claires tu peux t'empresser d'aller voir Krum. J'en suis sûr qu'il sera heureux de te revoir ce bon vieux Vicky.
- Comment oses-tu? S'insurgea Hermione.
- Tu t'es bien moquée de moi. Tu m'as ridiculisé devant tout le monde. Sache que je ne l'oublierais et ne te le pardonnerait pas. Adieu.
Ron laissa repartir l'ascenseur et Hermione laissa échapper une languissante plainte avant que les portes du ministère ne se referment derrière elle, la laissant seule dans l'obscurité...
Peu à peu, la journaliste refit surface et fut surprise de voir deux orbes métalliques l'observer. Les yeux de Malefoy.
- Je pense qu'on devrait investir dans une Pensine. Finit par dire le Serpentard.
- Je suis tout à d'accord. Confirma la Gryffondor.
- Et bien on s'est trouvé un deuxième point commun après l'écriture Granger.
- Apparemment. Concéda Hermione.
- Si on continue dans cette direction, on risque d'arriver chez moi dans quelque centaines de mètres. Informa Malefoy.
- Je suis curieuse de voir où réside le jeune Lord. Proclama la jeune femme sur un ton pompeux.
- Très drôle Granger. Je vis dans un petit village appelé Burbington Valley. Ma propriété, la Chaumière aux citrouilles, se situes sur la rue Ferview Cross Road.
- Intéressant. Répliqua la lionne dans un parfaite imitation de son ennemi d'antan.
- Fiche moi la paix, tu veux. Grogna Malefoy.
- Je plaisantais. Autant parler de la météo si ça te gène tant que ça... Répéta Hermione.
- C'est ça : payes toi ma chocogrenouille pendant que tu y es?
- Donnes moi une seule raison de ne pas le faire?
- Je t'ai sauvé la vie à moins que tu ne l'ais oublié.
- C'est vrai. Tu nous as sauvé la vie lorsque nous étions coincés dans ton manoir et je me demande encore pourquoi tu l'as fais étant donné que tu nous exécrait.
- Mais je déteste encore qu'on me manipule. Mon amour propre en a pris un coup lorsque je me suis rendus compte que je n'étais qu'un pion dans la guerre féroce que livrait le Seigneur des Ténèbres...
- Paix à ses sept âmes. Singea Hermione.
- Je me suis sentis souillé et mal mené. Quand j'ai voulu protester il m'a soumit à un puissant sortilège similaire à l'Imperium. Je n'avais pas mon mot à dire mais j'ai lutté de toutes mes forces pour faillir à cet enchantement. Lorsque je vous ai vue tout les trois, sur le banc des condamnés, j'ai réalisé que je ne faisais pas forcément le bien et j'ai pris la décision de vous sortir de cette impasse. J'ignore si cela me rends moins mauvais dans mon essence même, mais cela me réconforte sur un point. Je n'ai pas encore perdu ma conscience comme semble le croire Potter. Elle est encore là, quelques parts. J'en suis certain.
Près de lui, Hermione avait bu ses paroles. Au bout d'un moment, il finit par annoncer:
- Voilà mon chez moi Granger.
En regardant dans la direction qui lui indiquait Malefoy, Hermione aperçut une maison charmante exposée plein sud avec nombreuses citrouilles dans son potager et un verger regorgeant de ressources diverses.
- A présent, tu n'as plus d'excuses valable pour ne pas me rendre visite. Tu sais où j'habite et tu as l'adresse. Je t'attend jeudi prochain pour notre première leçon.
- Je ne savais pas que j'avais cours avec toi Malefoy. Et puis, je sais déjà tout ce qu'il faut savoir. Répliqua la lionne.
- Il y a des choses qui ne s'apprennent pas dans les livres. Je sais que ce support semble sécurisant pour toi mais il faudrait savoir détacher de temps à autres pour mieux affronter la réalité. Je te l'ai dis moi-même: Silver Serpentis à tant à te montrer.
- Malefoy, je veux bien pactiser avec l'ennemi mais ne pense pas que je sois suicidaire au point de vouloir entrer dans l'antre du diable! S'écrie Hermione d'un ton farouche.
- On verra bien... A la semaine prochaine Granger!
Dans une détonation, Draco disparut. En plissant les yeux, Hermione l'aperçut près de la fenêtre de la Chaumière aux citrouilles lui adresser un sourire goguenard. D'un air rageur, Hermione agita sa baguette magique afin d'appeler la Magicobus qui arriva en trombe sur Ferview Cross Road pour la ramener chez elle après cette journée mouvementée...
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