Un regard brun,

Sans imperfection,

Me laissant tombé de chagrin,

Je me rappellerais toujours de ton affection.

Si un jour on se retrouve,

Sache que tu es le meilleur petit frère,

Jamais oublier dans les douves*,

Oui, le meilleur de la Terre.

Quand ce camion t'a emmené,

J'ai espérer te revoir après cette promenade de santé,

Chez un vétérinaire,

Sans pensé au pire cauchemar de la Terre. 

En pensant à tous nos souvenirs,

Je repense à tes yeux, si brun,

A t'es oreilles, tombantes,

Sur ton crâne noir et feu,

De beauceron heureux

Mon chien, je t'aime, tu n'imagine pas à quel points. En composant se poème, ma gorge se noua mais en repensant à nos souvenir heureux, des larmes de joies coule en silence vers le sol de ma chambre. Aujourd'hui, un autre chien à prit ta place, mais pas dans mon cœur, vous êtes à exæquo.

Tu as remplis ta mission de chien fidèle mais tu as aussi fait plus que ça : tu m'as prouvé que, derrière mon âme têtu, se cachais une âme sensible. Tu était un frère plus que génial, je t'aime mais dans l'au-delà.

Mon chien, si précieux, je ne pensais pas que ces jours si beau se terminerais, dit moi si je te manque et si oui, c'est plus que réciproque.

Des fois, je sens ta présence. Mais, tandis que les fantômes m'effraie, le tiens me rend plus heureuse.

J'attends que, un jour, ton âme fidèle m'apporte aux cieux, je n'accepterais que toi.

Mon chien...

Mon amour dépassera toujours la barrière mort/vivant et te poursuivra où que tu aille.

Mon chien, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais toujours

* = un jour, ce chien fidèle est tombé dans notre canal à côtés de chez nous et heureusement, il en ai sortit indemne.