Chapitre 46 - Olivia

MESSAGE IMPORTANT EN FIN DE CHAPITRE, VEUILLEZ LE LIRE, S'IL VOUS PLAIT.

C'EST IMPORTANT !!!

***

Comme depuis deux semaunes, je me présentai chez Graham, pour finalement, ne pas voir Cole. Depuis l'annonce du suicide de Piper, il s'était renfermé sur lui-même, séchant les cours et m'empêchant de l'approcher. Plus les jours passaient et plus je m'inquiétais. Il ne pouvait pas se douter combien sa froideur me blessait, puis m'agaçait à fois. On était déjà passé par des situations similaires, il devrait savoir depuis le temps qu'il pouvait compter sur moi quoi qu'il advienne.

Mais apparemment, non. Cette information n'était pas remontée jusqu'à son petit cerveau.

Le brillant avocat me laissait entrer, passer du temps chez lui, en attendant que Cole veuille bien se daigner à sortir de sa chambre de son propre chef... mais rien à faire. Cette pièce était devenue sa muraille impénétrable. Il ne sortait que lorsque Graham était au boulot ou dormait. Il le savait, parce qu'il avait installé une caméra dans le couloir pour plus de précautions. En un premier temps, il ne voulait pas traumatiser Cole, mais il n'avait vu aucun autre moyen pour garder un œil sur lui.

Replié sur lui-même, mon copain ne nous rendait pas les choses faciles. À vrai dire, tout sauf faciles. Il y avait des jours, comme lors de son départ en mai dernier, où j'étais à deux doigts de craquer et de laisser tomber. Pourquoi se leurrer ? Maintenir une relation avec Cole était tout sauf simple ! Il compliquait toujours les choses, au lieu de dire ce qu'il avait sur le cœur. Je savais que ce ne serait pas un jeu d'enfants lorsque je l'avais accepté dans ma vie, mais ces derniers mois avaient été relativement éprouvants pour moi. Je l'avais cherché pendant tout l'été, avec l'aide d'Elijah, Jake, Alex et Ivy. Avec lui, rien n'était simple et il y avait des jours où moi aussi j'étais sur le point de rupture, comme aujourd'hui.

La façon dont il se comportait me donnait de l'urticaire. Au lieu de laisser ses proches lui venir en aide, il se renfermait et entrait dans un parfait mutisme. Selon Graham, il n'avait parlé à personne depuis qu'ils étaient revenus du poste de police, ce qui remonte maintenant à quinze jours.

— Ta mère m'a raconté pour Ivy et Jake, commença Graham en venant s'asseoir sur le canapé en face de moi.

En effet, depuis quelques jours, ils vivaient tous les deux chez moi. Clara se retrouvait entourée de jeunes adultes, ce qui avait pour conséquence de lui donner des douleurs de crâne. Toutefois, elle était heureuse d'avoir accueilli le petit couple, qui n'avait pas d'autre endroit où aller. Je partageai ma chambre avec mon amie, parce qu'il était hors de question qu'elle dorme avec Jake. Il m'avait lui-même demandé de la prendre avec moi. En bon petit ami respectueux, je m'étais très mal vu refuser sa demande.

En attendant, Ivy n'avait plus été contactée par sa famille, et elle s'était vue dans l'obligation de me parler de sa sœur ainsi que de tous les problèmes qu'elle traînait derrière elle. Toute cette affaire de drogue, de grosses interrompue par la force et j'en passe, m'avaient pas mal secouée. Elle avait gardé tout ça pour elle pendant si longtemps, que j'étais très heureuse qu'elle se soit confiée à Jake à ce sujet. Il avait pu ainsi alléger son poids d'une certaine manière.

En tout cas, c'était affreux ce qu'était arrivé à Kelly et tout ce que cela avait entraîné. Le pire, c'était que ses géniteurs en ignoraient tout. Selon moi, elle devrait leur en parler, parce qu'elle ne pourrait pas continuer ainsi bien longtemps. D'accord, son anniversaire était au tournant, elle aurait 18 ans, n'aurait plus besoin de la permission de ses parents pour vivre sa vie comme elle l'entendait, mais ce serait vraiment dommage que tout lien se brise. D'accord, son père n'était juste pour un sou envers Jake, mais je me disais qu'il avait besoin de temps. Son comportement laissait beaucoup à désirer, mais je savais qu'il aimait avec dévotion sa fille. S'il se fichait d'elle et de ce qu'il pourrait lui arriver, jamais il n'aurait réagi d'une façon aussi extrême.

Comme d'habitude, ce salopard d'Aiden avait dû ajouter son petit grain de sel. Il ne pouvait pas s'en empêcher, cette pourriture. Des raclures, j'en avais rencontré, mais ce type, j'espérais qu'il aurait un retour de bâton sous peu. Il ne méritait rien d'autre.

— J'espère que ça se calmera avec l'inspecteur Keller, soupira l'avocat. C'est un chic type, mais apparemment il a un sale caractère.

— C'est ce que j'ai entendu dire, marmonnai-je, avant de soupirer un grand coup.

À force de rester assise sur ce canapé, je ne cessai de titiller mes jambes. J'avais qu'une envie : faire irruption dans la chambre de Cole et le secouer une bonne fois pour toutes. D'accord, cette salope était morte, mais en un sens, ça nous enlevait aussi un certain poids des épaules. Je comprenais cette reconnaissance qu'il voulait tellement, mais il n'allait pas la laisser gagner ! Il ne le pouvait pas.

Mon dieu, que cette situation m'énervait !

— Je lui laisse un plateau repas tous les midis et tous les soirs, il ne mange pratiquement pas. Mais au moins, il avale quelque chose.

— Il ne peut plus continuer comme ça, assurai-je. À broyer du noir, ça va le consumer tout entier.

— J'ai essayé de lui parler, Olivia, mais cette fois, il ne semble rien vouloir entendre. Pas même si ça vient de toi. L'acte que Piper a commis était ce qu'il fallait pour le réduire à néant. Il s'accrochait à l'idée qu'elle paierait pour ses crimes.

— Elle a déjà payé d'une certaine façon, raisonnai-je. Elle est morte.

— Oui, mais selon lui, c'était trop simple.

Oui, je ne dirais jamais le contraire. C'était une chose qu'elle soit morte aux mains de quelqu'un d'autre, une autre que ça ait été sa décision. Ça changeait la donne. Elle lui avait enlevé cette lueur d'espoir, je n'avais aucun doute qu'elle en était pleinement conscience.

— Selon les psychologues qui l'ont interrogée, elle était une perverse narcissique.

— Et elle l'a été jusqu'au bout, on ne pourra pas dire le contraire.

— Il a besoin de temps, Olivia. Donne-lui de l'espace. Il sait que tu es ici, tu ne passes pas inaperçue.

— Je peux être très patiente, Graham, mais là, j'atteins franchement ma limite.

Je ne voudrais pas que ce soit le cas, mais c'était la vérité. Il n'était pas le seul à subir les conséquences de ce que cette folle avait fait. Ça me tuait à petit feu de le savoir dans cet état, seul dans sa chambre. J'avais l'impression qu'il s'agissait d'une boucle de laquelle il ne sortait jamais. Elle n'était plus de ce monde, alors tant mieux. Plus jamais elle ne pourrait lui fait du mal. N'était-ce donc pas ça l'essentiel après tout ?

— En ce moment, tu perds juste ton temps, gamine. Retourne chez toi, sinon, je te promets que j'appelle ma mère.

— Vous pouvez l'appeler pour prendre de ses nouvelles sans avoir à cafter à mon sujet, lui proposai-je.

Ils étaient « sortis » ensemble une ou deux fois, mais Clara était vraiment cachottière. Je ne savais vraiment pas quelle était la nature de leur relation, s'il y avait eu quelque chose d'autre que des rendez-vous... j'étais vraiment curieuse à ce propos. Après tout, ma mère n'était jamais sortie avec un homme, d'aussi loin que je m'en souvienne.

— Comment ça se passe entre vous, d'ailleurs ?

Il fronça les sourcils, puis se racla la gorge, alors que ses joues s'empourprèrent légèrement. Se pourrait-il que ce coureur de jupons invétéré ressente une véritable affection envers ma génitrice ? Sa réaction me faisait supposer que c'était bien le cas.

— Je ne pense pas que cela soit de ton ressort, jeune fille.

— Oh allez, Graham ! Je veux savoir ! La vie sentimentale de ma mère m'affecte directement, je vous rappelle.

— J'en conviens, mais si tu as des questions à poser, va la voir directement. Je ne suis pas ton homme.

— Seriez-vous celui de ma chère et tendre maman ? ironisai-je.

Ça me valut un regard noir de sa part. Visiblement, j'étais en train de lui faire prendre patience. Quoi qu'il en fut, je n'allais pas laisser tomber aussi facilement. Je voulais voir Cole, mais je ne le pouvais pas, alors j'embêtais ce pauvre Graham parce que je m'ennuyais ferme. Il ne me manquait plus qu'à faire le cochon pendu sur le canapé pour devenir réellement insupportable.

— Rentre chez toi, Olivia, reprit-il, de plus en plus agacé.

Il se leva et se dirigea vers son bureau, avant de refermer la porte. J'avais le choix, soit rester toute la soirée à attendre que Cole veuille bien foutre le nez en-dehors de sa chambre pour enfin me faire face, soit retourner chez moi.

Je soupirai, ne sachant vraiment pas quoi faire. J'avais l'impression que plus le temps passait, plus il s'éloignait de moi en plongeant dans les abysses de sa rancœur. Je comprenais sa colère, mais il devait s'en libérer afin de vivre sa vie. Il ne pouvait pas vivre dans la passé, ça ne servait à rien. Puis, il fallait regarder le côté positif de la chose : Piper n'existait pas. Alors oui, ni lui ni Ronnie n'obtiendraient la justice qui leur était due, néanmoins, il aurait la paix à partir de maintenant. De ce que je savais, même son paternel le croyait désormais, Piper avait avoué, à sa façon.

Mais peut-être que Graham avait raison et qu'il lui fallait du temps. Cependant, je ne savais pas si je tiendrais encore longtemps dans cette situation. Je l'aimais de tout mon cœur, mais son comportement ne me plaisait pas. Cette manière qu'il avait de se renfermer sur lui-même, puis d'éloigner son entourage... ça me dépassait. Je pensais qu'il me faisait confiance, que l'on pouvait surmonter absolument tout ensemble, mais peut-être que je m'étais trompée après tout.

***

De retour chez moi, je ne cessai de me demander ce que je pouvais faire pour aider Cole, mais rien ne me venait à l'esprit. J'étais totalement en blanc, impuissante face à la situation. Je pourrais bien escalader la façade de l'immeuble et cogner à sa fenêtre comme dans le temps, mais je risquerais de me briser la nuque pendant le processus.

J'en étais même venue à me dire qu'entre nous d'eux, c'était fini. Il y avait tellement de questions qui m'assaillaient qu'il était difficile d'en diminuer le flux. En tout cas, j'étais fatiguée de lui courir après. Ce soir, il se pourrait bien que j'aie atteint ma limite. Je ne comptais plus retourner chez Graham, si Cole voulait me voir, il savait sciemment où je vivais. Mais une chose était plus que certaine : je ne l'attendrais pas indéfiniment.

J'insérai la clé dans la serrure de chez moi et entrai. Je retrouvai les gars dans le salon, en train de regarder un film. Un d'horreur apparemment, car Ivy se cachait les yeux en enfouissant son visage dans le cou de Jake, au plus grand bonheur de ce dernier.

— Salut ! me saluèrent-ils à l'unisson en me voyant débarquer.

Je leur servis un faible sourire, puis me rendis jusqu'à la cuisine dans le but de manger quelque chose. Si je ne le faisais pas dans les minutes qui suivaient, j'allais m'évanouir. Contrairement à Alex et Jake, Ivy vint à mon encontre, à me demander comment je m'en sortais avec Cole. Ce fut à cet instant-là que je craquais, et vidai mon sac en lui racontant tout ce que j'avais sur le cœur. Je m'en voulais d'avoir ce genre de pensées, mais je ne pouvais m'empêcher de me questionner : étions-nous vraiment bons l'un pour l'autre ?

— Vous passez un mauvais moment, répondit-elle d'une voix très réconfortante. Tous les couples vivent des épreuves.

— Mais nous, on les vit depuis le premier moment, m'égosillai-je.

C'était la vérité. Dès le moment où nous avions décidé de nous voir en secret, ensuite, lorsque j'avais surpris Piper dans sa chambre, sans parler de son histoire qui m'avait chamboulée, et finalement, son prompt départ, sans plus d'explications que ça. C'étaient trop de difficultés. Et oui, je commençais à saturer.

C'était peut-être égoïste de ma part, mais je me sentais de cette façon. Il ne s'en rendait sans doute pas compte, mais ses rejets me brisaient le cœur. En réalité, il n'avait cessé de me le briser depuis le tout début. Par conséquent, une autre question très importante s'imposait à moi : notre relation était-elle saine ? En valait-elle le coup ? J'étais vraiment perdue, et il n'aidait pas à ce que la situation s'arrange.

— Ça va s'arranger, j'en suis certaine, tenta-t-elle de me consoler.

Je n'en étais pas très sûre. Même elle et Jake, qui pourtant avaient des problèmes, ne se tournaient pas le dos. Ils se parlaient, se soutenaient. Cole me laissait de côté, comme toujours. Je m'étais tellement battue pour nous deux, que là, j'étais fatiguée. Exténuée. Cette situation me consumait et je n'étais plus du tout certaine de ce que je désirais. Mais je voulais cesser de souffrir, j'en avais marre de rester à l'écart.

— Je crois que c'est fini, Ivy.

Elle se figea, tandis que mon sang se glaça en prononçant ces paroles. Je n'arrivais pas à les croire, pourtant, je me demandais si ce ne serait pas la meilleure solution pour tout le monde. Après tout, je doutais beaucoup que cela affecte d'une quelconque façon Cole. J'avais beau eu lui supplier pendant des journées entières de m'ouvrir la porte et de me parler, il n'avait pas bougé le petit doigt. Il veut de l'espace ? D'accord, je le lui donnerai.

— Mais qu'est-ce que tu racontes, Liv ? Tu l'aimes, tu ne peux pas rompre avec lui.

— Je l'aime de tout mon cœur, avouai-je. Mais parfois, l'amour n'est pas suffisant pour empêcher une relation de se briser. Il préfère vivre dans la rancœur, le passé. Moi, je veux marcher vers l'avenir et laisser les mauvais souvenirs derrière moi. J'en ai marre d'être la seule à me battre.

— Liv, continua-t-elle, peinée. Ça va te faire beaucoup de mal, ce n'est pas vraiment ce que tu souhaites.

— Je fais ce qu'il y a de mieux pour moi, Ivy. Je veux bien lui donner tout l'espace qu'il voudra, mais refuser de me parler... ça, je ne le supporte plus. Je crois que j'ai atteint ma limite.

— Qu'est-ce qu'il se passe ? dit la voix de Jake depuis l'encadrement de la porte.

Mon frère était également là, à m'observer, alors que les larmes arboraient le coin de mes yeux. Alex fronça les sourcils, l'air de sentir la détresse qui me submergeait. Il n'avait aucun mal à la détecter, d'ailleurs.

— Olivia veut mettre fin à son histoire avec Cole, dévoila Ivy. Je lui dis de se montrer patiente, qu'il ne s'agit que d'une mauvaise passe.

— Leur relation entière est une mauvaise passe, rétorqua mon jumeau. Franchement, si elle veut le faire, ce n'est pas moi qui l'en empêcherai. Elle s'est pliée en quatre pour lui, si la relation a marché à un moment donné, c'est grâce à elle. Tu sais quoi, Liv, tu as tout mon soutien.

Je lui avais raconté son comportement, alors sa bénédiction ne m'étonnait pas. Il avait été le premier à me dire que je méritais mieux, et que je n'avais pas à lui courir après. Que s'il avait des soucis, il devrait venir m'en parler sans que je n'aie à le supplier.

— Je dois avouer que je suis d'accord avec Alex, poursuivit Jake. S'il lui faut du temps ? Très bien, mais tu n'as pas à l'attendre. Tu as ta vie, tu ne peux pas la vivre à ses dépens.

Oui, j'en étais parfaitement consciente. Même si cette décision me déchirait l'âme, elle me paraissait la meilleure dans l'immédiat. Ça ne me faisait pas du tout plaisir, Jake avait raison, mon frère aussi. Seule Ivy semblait vouloir que je m'accroche une dernière fois. Mais là, je n'en pouvais plus, j'avais assez donné.

Je ne retournerai plus le voir chez Graham, je lui écrirai simplement un ultime message pour le mettre en garde. À voir ce qu'il ferait par la suite. Mais en définitive, s'il ne changeait pas de comportement, alors je mettrai fin à tout entre nous. Je ne pouvais pas vivre dans le passé, je m'y refusais. Je savais qu'il avait des soucis à gérer, mais en restant enfermé dans sa chambre, rien n'allait s'arranger.

Alors, oui, je l'aimais, mais cette fois, je me choisissais. 

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PAUSE JUSQU'AU 24 DÉCEMBRE

Désolée de vous l'annoncer comme ça, mais je me vois dans l'obligation de faire une petite pause dans Paradis Retrouvé et Si Seulement, tout simplement parce que je suis à fond dans un projet d'écriture d'une urban fantasy et que, actuellement, je n'ai pas la tête à me pencher sur ces deux histoires.

Cette semaine, j'ai essayé d'écrire Paradis Retrouvé et Si Seulement, et j'ai vraiment galéré. Vu qu'il ne manque que quelques chapitres pour finir ces deux histoires, je n'ai pas envie de les bacler, même si je vais les réécrire et que les fins seront sans doute différentes. C'est d'ailleurs ça aussi qui me bloque dans l'écriture, cette réécriture que je veux faire (mais dont je n'ai pas encore le temps de réaliser).

Croyez-moi, je suis aussi frustrée que vous, mais là, j'ai des projets qui ont pris le dessus sur ces deux histoires que j'ai commencé il y a un moment. J'ai continué une publication régulière, et je vais mettre le fin mot pour que vous puissiez la lire. Cependant, il faudra attendre, se montrer patient. Je tiens beaucoup à ma communauté wattpad, comme vous le savez bien. Mais en ce moment, je sature.

Mon premier bouquin sort en plus en édition dans pas longtemps, alors je suis débordée, sans parler de mon travail... Bref, je dois faire des choix et je sais que vous ne serez pas forcément d'accord, mais je n'ai pas d'alternative. J'aime toujours autant Tyler et Elena, Cole et Olivia, Jake et Ivy, mais j'ai besoin d'une petite pause pour boucler tout ça sans me foutre la pression. Je crois que je leur dois (et à vous aussi d'ailleurs), une fin convenable après tant de temps sur la plateforme.

Quoi qu'il en soit, les chapitres de Summer Lovin' sont assurés (grande avance sur les chapitres écrits, contrairement à Paradis Retrouvé et Si Seulement que j'écris dans la semaine de leur publication). Je continuerai donc à être présente sur wattpad.

Ça me chagrine beaucoup de faire cette pause, mais encore une fois, je veux donner à mes bébés la fin qu'ils méritent et en être satisfaite.

On se retrouve bientôt !

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