Chapitre 28 - Cole

ANNONCE : j'ai décidé qu'à partir de maintenant, je publierai les chapitres de Si Seulement UNE SEMAINE SUR DEUX, ce qui grosso-modo devrait faire deux publications tous les mois, du moins, pour le moment. Trop de boulot, je ne peux malheureusement pas faire autrement, puis surtout, je veux avant tout ne pas bâcler mes histoires.

***

Je fixai le plateau repas que la nouvelle bonne était venue m'apporter, et comme toujours, je ne l'avais même pas touché.

Toujours assis dans un coin de ma chambre, les jambes repliées contre mon torse, le regard tantôt dans le vide, tantôt sur la nourriture qui se trouvait sur mon lit, les ténèbres enveloppaient l'habitacle au fur et à mesure que la nuit pointait le bout de son nez. La lune ne devait pas être présente dans le ciel, je ne percevais aucunement sa lumière qui filtrait à travers la fenêtre pour m'avertir que les heures s'écoulaient. Enfermé ici, je perdais complètement la notion du temps. Parfois il devenait étrangement long, d'autres relativement court. Je passais mon temps à dormir grâce à cette caméra qui me sauvegardait des perversités de Piper. Ça m'avait fait un grand bien de me reposer, mais ça faisait presque deux semaines que je n'avais pratiquement pas parlé. À force, j'allais oublier comme le faire.

Lorsque la nouvelle sbire de ma belle-mère débarquait, elle me souriait toujours en me demandant comment j'allais. Toutefois, au lieu de lui répondre, je me contenais de la foudroyer du regard, voulant simplement qu'elle dégage de ma chambre. Quelle n'avait pas été mon chagrin en découvrant que Clara ne travaillait plus pour mon père, même si en partie, je m'en réjouissais.

Malgré tout ce merdier, Olivia me manquait à en crever, avec encore plus d'ardeur que ces derniers mois où je m'étais tenu loin d'elle, à des milliers de miles. Aujourd'hui, Joey était venu devant ma porte, tôt ce matin, afin de me demander de lui ouvrir et de jouer avec lui. Le pauvre gosse n'avait aucune idée de ce qui se tramait dans sa propre maison. J'enviais son innocence, cette capacité qu'il avait de croire que tout le monde était gentil. Que j'étais gentil, alors qu'il était bien loin de la vérité.

Je n'étais qu'un lâche qui avait eu trop la trouille pour parler dès un début et qui se retrouvait désormais dans une situation rocambolesque. Qui me croirait ?

Olivia.

Oui, sans aucun doute, mais ça ne suffirait pas.

J'avais beau me creuser la cervelle depuis des jours, je ne voyais vraiment pas comment quitter cet antre avec cette chose accrochée à ma cheville. À peine aurais-je mis un pied en-dehors de cette demeure que mon père se ferait un plaisir d'engager une horde de détectives privés pour me retrouver. Et j'avais beau essayer de retirer ce truc, c'était tout bonnement impossible. Puis avec la caméra braquée sur moi, ce n'était pas très discret. À chaque tentative, je m'étais refugié dans la salle de bain où personne ne m'observait. Parfois, j'y allais et me couchais dans la baignoire, afin d'avoir la paix. Cependant, je revenais vite dans la chambre afin que personne ne débarque dans le but de vérifier que j'allais bien. Je ne voulais surtout pas qu'elle se pointe pour profiter de l'absence de caméras pour commettre ses méfaits. Elle n'avait rien tenté jusque-là, si ce n'était essayer de me provoquer ou me faire peur. Cette femme savait comment torturer quelqu'un, parfois, elle n'avait pas besoin d'ouvrir la bouche, un simple regard suffisait. Je me sentais tellement sale lorsque ses yeux lorgnaient sur moi, qu'il m'était jusqu'à difficile de ne pas vomir. Mon estomac vide était assailli de spasmes plus violents les uns que les autres, et lorsqu'elle en était témoin, cette réaction de mon corps la faisait jubiler.

L'autre jour, elle s'est approchée de moi afin de me murmurer :

— C'est ta punition pour m'avoir abandonnée.

Plus le temps passait et plus il m'était difficile de voir le bout du tunnel. Je me sentais tellement seul, si désemparé face à tout ceci, que le peu d'espoir qu'il me restait s'évanouissait chaque jour un peu plus. J'étais spectateur aux premières loges de ma propre déchéance et j'avais les mains liés pour agir. J'avais l'impression de me retrouver dans un labyrinthe, de le parcourir depuis des semaines sans jamais trouver la sortie. Cette chambre, ma prison, serait sans aucun doute ma sépulture si je ne trouvais pas une solution à ma situation précaire. Mentalement, je ne tiendrais pas plus longtemps, malgré les dire de ce psy incompétent, dont je commençais sérieusement à douter la véracité de son diplôme. J'étais tellement épuisé et sur le qui-vive que je devenais paranoïaque, après tout, il y avait de quoi.

Et Olivia... Je ne cessais de penser à elle. C'était grâce à elle que je respirais encore, bien qu'elle fut la fautive de ma situation actuelle. Je ne cessais de me repasser en boucle ma précipitation au moment d'apprendre pour sa soi-disant « mort ». J'aurais dû tenter de la contacter, appeler depuis un faux numéro ou demander à quelqu'un de le faire pour moi, mais me précipiter et croire aveuglément sans me poser plus de questions avait causé ma perte.

J'ignorais vraiment si elle savait ce qui se passait dans le manoir ou ce que ses agissements avaient engendré. J'en étais même venu à douter d'elle ainsi qu'à me demander si elle ne serait pas complice de mon père. Mais rapidement, je me souvenais de son regard perdu lorsque les flics m'avaient arrêté au cimetière : elle n'était au courant de rien. Je savais que l'idée de se faire passer pour morte lui revenait, mais pour le reste, elle n'avait rien à voir, même si pendant mes épisodes de paranoïa tout le monde était suspect à mes yeux.

Soudain, alors que j'étais perdu dans les méandres de mes pensées, plus noires les unes que les autres, un petit bruit me parvint. Il s'agissait d'un tintement répétitif qui me fit froncer les sourcils. Ce n'était pas dérangeant, mais il venait perturber le calme complet dans lequel j'étais plongé depuis des semaines. Mon regard se dirigea vers la porte de ma salle de bain, tout juste en face de moi.

D'abord, je crus qu'il ne s'agissait que d'un piaf qui s'amusait à cogner contre le carreau de la fenêtre, mais en envisageant de laisser couler, plus le bruit s'intensifiait. Ainsi, je me levai et en traînant des pieds, poussai la porte grinçante de la salle d'eau. Cependant, quel ne fut pas mon choc en découvrant à la place d'un oiseau casse-burnes, une Olivia perchée sur la corniche.

Je me frottai les yeux à plusieurs reprises, croyant rêver. Mais non, elle était bien là, de l'autre côté de cette fichue fenêtre. En me remarquant, son regard se fit suppliant tandis que j'étais paralysé.

La dernière chose que je voulais, c'était la voir. Ou plutôt, qu'elle me voit dans cet état. Une partie de moi lui en avait énormément voulu, avant de tenter de saisir le pourquoi de ses agissements. Je m'en faisais une idée et je devais me tenir à la version de cette fichue lettre. Pour son bien. Il n'y avait que son bien-être qui comptait pour moi, je ne le supporterais pas s'il lui arrivait malheur par ma faute. Je pouvais endurer cette torture si je savais qu'elle était en sécurité.

D'ailleurs, elle était complètement folle de venir encore dans ce manoir alors qu'elle n'avait plus à y vivre. Elle aurait dû oublier tout ce dont elle avait été témoin ici, afin de vivre une belle vie auprès de sa famille. Son frère hors de danger, plus rien ne la retenait à Fairfield. Elle aurait dû quitter la ville dès le moment où Alex avait été libéré, au lieu de quoi, elle était restée ici, côtoyant le danger au quotidien. À cause de moi.

Sa main se posa contre le carreau alors que son regard me suppliait de la laisser entrer. J'en crevais d'envie, mais je n'avais pas le droit de faire passer mes besoins avant les siens. Je n'étais pas quelqu'un de bien, je ne cesserais de lui attirer des problèmes et elle avait suffisamment souffert dans sa courte vie pour devoir s'encombrer d'un poids mort tel que moi. Car c'était ce que j'étais : mort de l'intérieur. La seule chose qui me maintenait dans ce monde, qui me redonnait un peu d'espoir, c'était de savoir qu'elle allait bien. Or, avec moi auprès d'elle, ça ne serait jamais le cas.

Oui, Piper avait gagné et je reconnaissais ma défaite. Depuis mon emprisonnement, je n'avais plus envie de me battre, c'était beaucoup trop dur. Est-ce que cela faisait de moi un lâche ? Sans aucun doute, après tout, je l'avais toujours été, depuis ma plus tendre enfance. Rien d'autre qu'un sale trouillard qui avait peur de faire face à ses démons, pour finalement, se laisser dévorer par ces derniers.

Tout le mal que j'avais fait autour de moi, jamais je ne pourrais le réparer, mais je pouvais éviter la déchéance d'Olivia. Je ne la laisserai pas finir comme Ronnie, il en était hors de question. J'étais voué à demeurer seul, sans amis ni être aimés, c'était mon destin. Une punition pour ce que j'avais fait.

— Ouvre-moi, Cole, me supplia-t-elle.

Je serrai les mâchoires et détournai la vue, tout simplement parce que tout mon corps voulait l'étreindre contre moi. Mes bras me faisaient mal tellement ils désiraient se poser autour de son corps. Mes mains fourmillaient à l'idée de la toucher à nouveau et ma gorge se serrait à l'idée de lui parler, tandis que mon cœur tambourinait comme un dingue. Mes lèvres se souvenaient de la douceur des siennes, puis ma mémoire musculaire se rappelait ses nombreuses caresses, ces mêmes qui m'avaient détendu comme jamais auparavant.

J'avais l'impression que nos nuits partagées remontaient à des siècles.

Elle était là, à seulement un mètre de moi, séparée par une fenêtre qu'il me suffisait simplement d'ouvrir pour pouvoir la prendre mes bras. Je rêvais d'enfouir mon visage dans son cou, d'humer son parfum à fleur de lotus si caractéristique de sa personne. Je souhaitais la plaquer contre l'un de ces murs, l'embrasser et pourquoi pas, lui faire l'amour. Je désirais lui faire savoir à quel point je l'aimais et combien elle m'avait manqué pendant ces longs mois. Dans un monde meilleur, je n'aurais jamais hésité. Mais dans un monde meilleur, jamais je ne me serais retrouvé enfermé dans ma propre maison, surveillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

Je devais être réaliste et pragmatique, mon sentimentalisme n'aiderait personne, alors il valait mieux que je l'éteigne avant d'aggraver notre cas à tous les deux. Il était tout simplement hors de question que je la mette en danger. Je l'aimais plus que tout et c'était en sacrifiant notre amour d'une tellement façon que je lui prouvais à quel point je tenais à elle. Peut-être bien qu'elle ne le comprendrait pas, mais ce n'était pas grave, elle n'en avait pas besoin.

Je préférais qu'elle me déteste à ce qu'elle perde ce qu'elle avait de plus précieux au monde : sa vie.

Et se mettre en danger d'une telle façon pour venir me parler était vraiment très imprudent. Moins de contact elle aurait avec moi, mieux elle se porterait.

— Je t'en supplie, Cole, continua-t-elle. Ne fais pas ça.

Je continuai de la fixer, toujours aussi hébété par sa beauté. Si auparavant je la trouvais magnifique, désormais, je ne saurais pas comment la qualifier. Elle était plus sublime que jamais.

— Arrête de faire l'idiote, Olivia, répondis-je. Je ne veux pas te parler, encore moins te voir, alors retourne d'où tu es venue avant de te faire mal.

Mon ton froid et sec ne la découragea pas. Têtue comme elle était, je me demandais comment j'allais devoir m'y prendre pour lui faire lâcher le morceau. Si elle insistait, j'ignorais si je pourrais me maintenir sur mes positions, mais il ne fallait surtout pas que je flanche. À chaque instant, je devrais me dire que c'était pour son bien. Quand il s'agissait d'elle, je ne voulais pas être égoïste, même si j'en mourais d'envie.

Putain ! Je la voulais ! Plus que n'importe quelle autre personne dans le monde ! Si je n'avais qu'une seule chose à demander, ce serait d'à avoir assez de courage pour mettre un terme à toute cette histoire avec Piper... mais je ne savais pas comment. J'étais trop démoralisé pour trouver une issue à tout ceci.

— Déconne pas ou je te jure que je pète cette fenêtre, Jayden ! dit Olivia d'un ton plus qu'autoritaire.

Son regard noir me transperça de part et d'autre, mais même si elle s'entêtait, jamais elle ne ferait une chose pareille. Elle ne prendrait pas le risque de se faire coincer et en fracassant une fenêtre, elle ferait énormément de bruit, sans compter sur le fait qu'elle se blesserait à coup sûr.

— Je ne bluffe pas !

— Moi non plus. Alors, dégage !

Reste ! disait la partie la plus égoïste de ma personne, celle qui ne voulait pas la laisser partir tout en sachant les risques qu'elle encourait.

Je détestais cette facette, elle prenait trop souvent le dessus, alors que je voulais vraiment faire ce qu'il y avait de mieux. Je ne pouvais peut-être pas me sauver, mais je ne permettrais pas qu'on lui fasse du mal. Et j'étais la première personne qui lui en ferait.

Ce combat entre le bien et le mal au sein de moi était épuisant. Est-ce qu'aimer Olivia s'avérait être mal ? Non, c'était même la meilleure chose qu'il m'était arrivé en très longtemps. Mais pour elle, la donne était tout autre. Que gagnait-elle ? Si ce n'était qu'un type complètement brisé qui jamais ne tournerait totalement rond ? Rien. Elle serait perdante à tous les coups, parce que je n'en valais pas la peine.

Elle avait misé sur le mauvais cheval et j'allais le lui faire comprendre.

— Ouvre !

Afin que la caméra ne puisse capter aucun son, j'ouvris les robinets du lavabo ainsi que celui de la baignoire qui se trouvait tout juste derrière moi. Lorsque le bruit de l'eau commença à exercer de fond sonore, je me lâchai, en devenant la meilleure version du connard par excellence que j'avais en réserve.

— T'es sourde ou quoi ? T'en as pas fait assez que tu veux continuer à me pourrir la vie ? Qu'est-ce que tu n'as pas compris dans cette fichue lettre ? J'étais pourtant explicite, non ?! vociférai-je.

Je savais qu'elle m'entendait parfaitement.

Mes propos ne semblèrent avoir aucun effet sur elle, pourtant, je n'y étais pas allé de main morte. Je pouvais être encore plus cruel s'il le fallait, mais ça ne voulait pas dire que j'en avais envie. Je ne souhaitais pas lui faire de mal, mais si c'était la seule façon de la sauver de moi, alors je n'hésiterai pas une seule seconde.

— S'il te plait, Cole, je veux seulement discuter.

— Je n'ai rien à te dire, Olivia ! Toi et moi, c'est terminé ! Pourquoi crois-tu que je suis parti ? Je l'ai fait parce que je n'en pouvais plus de cette vie, de tout ce qui m'entourait, dont toi ! Tu me bouffais l'oxygène, d'accord ? J'avais besoin d'espace, mais au lieu de respecter mes volontés, tu n'en as fait qu'à ta tête ! Tu crois que j'en ai quelque chose à foutre de toi ?

Ces mots me brûlaient la gorge, ainsi que la poitrine. Ce que j'étais en train de lui balancer était tout bonnement horrible, cependant, il ne fallait pas qu'elle lise la douleur dans mon regard. Ma peine ne devait à aucun moment être perceptible, sinon, jamais elle ne lâcherait l'affaire.

— Tu n'étais qu'une diversion, une fille parmi tant d'autres qui m'a apporté un peu de réconfort dans ma vie pourrie ! Tu pensais sérieusement que je pouvais ressentir quelque chose pour toi ? Je t'en prie ! Tu es la fille d'une bonne et moi, un grand héritier ! T'as vraiment pensé que j'étais sérieux ? Je voulais simplement te sauter !

— Cole... soupira-t-elle sans cesser de me fixer.

— Tu n'es rien pour moi, tu as saisi ? Tu ne représentes rien à mes yeux ! Je te hais pour ce que tu m'as fait et je ne te le pardonnerai jamais !

Mon cœur se serrait à chaque mensonge que je proférais, c'était comme si je me plantais moi-même un couteau en pleine poitrine, puis que je le remuais dans la plaie, encore et encore.

— Si tu ne ressens rien, pourquoi être venu à mon enterrement ? me demanda-t-elle calmement.

Je m'apprêtais à lui répondre, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Que pouvais-je répliquer à ça ? Elle avait entièrement raison et savait parfaitement que je débitais des conneries de long en large dans le but de l'éloigner de moi. Il en fallait plus pour berner Olivia, surtout que mes propos étaient incohérents. Si j'avais juste voulu coucher avec elle, jamais je n'aurais laissé filer les occasions où elle s'était offerte à moi sans aucune réserve.

Ce que je pouvais être débile !

Mon corps commença à trembler, alors que je cherchais d'autres arguments, mais qui ne venaient cependant pas : j'étais complètement en blanc.

— Je sais pour Ronnie, reprit-elle, d'une manière plus douce.

Je fronçai les sourcils. De quoi était-elle au courant au juste ? D'après ce que j'avais lu dans la presse, sa mort avait été enregistrée en tant que suicide, alors de quoi parlait-elle ?

— Piper en est responsable. C'est elle qui lui a fait du mal.

Face à sa réponse, je me figeai. Comment en était-elle arrivée à un telle conclusion au juste ? C'était totalement déroutant, car si moi j'avais eu des indices grâce à la peluche, comment avait-elle fait pour trouver des preuves ?

— Maintenant, tu veux bien arrêter de dire des sottises et m'ouvrir ?

Je l'observai pendant de longues secondes, abasourdi et ébahi par ses déductions. Son esprit m'éblouissait, puis je me rendis compte que je l'avais sous-estimé. Elle ignorait les détails de la mort de mon amie, ce n'était pas apparu dans la presse, alors... qu'est-ce qui l'avait menée à cette conclusion ?

Anxieux, puis porté par mon envie de savoir ainsi que par mon côté égoïste, je déverrouillai la fenêtre afin de la laisser entrer. 

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Comme vous avez pu le constater, les pensées de Cole deviennent de plus en plus noires et destructrices, au point de vouloir protéger Olivia de sa personne. Cependant, malgré ses efforts, elle ne semble pas être prête à en démordre, malgré ses propos blessants. Têtue comme une mule, Liv ne va pas laisser tomber aussi facilement alors qu'elle ne l'a pas fait pendant de longs mois. Ce n'est pas le moment d'abandonner, au grand daim de Cole qui à de plus en plus de mal à résister. Arrivera-t-elle à le faire changer d'avis, mais surtout, à lui insuffler de l'espoir?

Enfin bref, j'espère que le chapitre vous a plu et que vous avez hâte de connaître la suite !

Comme vous le savez, les retours sont très importants pour les auteurs, alors savoir ce que vous pensez au fur et à mesure, tout comme à la fin de votre lecture, me serait d'une grande aide. Je rappelle que les auteurs wattpad ne gagnent rien en contrepartie de leur boulot (car oui, c'est un boulot, du temps investi etc) et que vos votes ainsi que vos commentaires sont la meilleure façon de nous soutenir et nous encourager.

On se retrouve dans deux semaines pour la publication d'un nouveau chapitre !

Bye ! 

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