Chapitre 24 - Cole (Tome 2)
ALLEZ LIRE LE PETIT MESSAGE EN FIN DE NDA (EN MAJUSCULES ET EN GRAS) POUR VOUS ANNONCER UNE PETITE NOUVELLE AU CAS OÙ VOUS L'AURIEZ RATÉ SUR LE BABILLARD OU ENCORE SUR INSTAGRAM.
***
Deux semaines.
Ça faisait deux putains de semaines que j'étais de retour dans cette ville de merde, dans cette maison de malheur, enfermé et surveillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre dans ma chambre du manoir. Cet enfoiré de Patrick ne m'avait même pas laissé retourner à la pool-house, alors qu'elle n'était plus occupée par Olivia et sa famille, sous prétexte que je devais être entouré des miens. Il avait essayé de me parler de la mort de Ronnie et j'avais failli péter un gros câble, alors que Piper était juste derrière lui, me gratifiant de son sourire narquois. Cette garce savait que j'étais au courant de ce qu'elle avait fait et s'en réjouissait.
Parfois, lorsque je regardais par la fenêtre de ma chambre, j'avais espoir de voir Olivia dans le jardin, comme tant de fois auparavant. Elle avait promis que rien ne changerait avec l'arrivée de son frère, qu'ils ne quitteraient pas le manoir, qu'elle ne me laisserait pas affronter Piper seul... puis j'étais parti en lui demandant de continuer sa vie. Je suppose que ça annulait complètement la promesse qu'elle m'avait faite, et je devais avouer que c'était pour le mieux.
Une partie de moi n'arrivait toujours pas à croire que je me sois fait rouler aussi facilement par Liv. Mes sentiments avaient pris le dessus sur ma raison et je n'avais plus rien contrôlé du tout, ce qui m'avait conduit à ma perte. Oui, c'était là où j'en étais en cet instant.
La caméra dans un coin de ma chambre me filmait à chaque seconde de mon existence qui s'écoulait. L'intimité ? J'en étais complètement privé. J'ignorais vers où le dispositif était connecté, mais je me doutais qu'à un appareil détenu par mon père et par sa garce de femme. Tout ça, c'était son idée, j'en étais certain. Tout comme le fait de me faire arrêter par la police et passer deux nuits en cellule avec des ivrognes ainsi que des criminels de bas-étage. Mais pour être honnête, je m'étais senti bien plus en sécurité là-bas qu'ici, j'aurais même donné n'importe quoi pour y retourner.
Enfermé dans les cachots de la station de police, quelque chose en moi s'était éteint, ou plutôt, je l'avais fait. J'avais passé les deux journées suivantes en pilote automatique et n'avais rien ressenti du tout, m'étant coupé du monde qui m'entourait. Les émotions pouvaient vraiment être néfastes, je le savais auparavant et au contact d'Olivia, j'avais fini par l'oublier.
Liv ne pouvait-elle donc pas abandonner ? Me laisser tranquille comme je lui avais demandé dans cette fichue lettre de malheur ? C'était donc trop pour elle ?! Que fallait-il que je fasse pour qu'elle continue sa route sans s'encombrer d'une personne toxique telle que moi ? Ne le voyait-elle pas que j'étais néfaste ? Que tout ce que je touchais périssait ? C'était pourtant évident, putain !
À cause de moi, elle avait souffert pendant ces longs mois d'absence, je l'avais parfaitement senti lorsque je l'avais eue au téléphone. Était-ce donc cet appel qui lui avait donné cette idée horrible ? Celle de monter de toute pièce sa propre mort dans le but de me retrouver ? À ce moment-là, j'avais su que la contacter était une erreur, mais je me rendais seulement compte maintenant à quel point ça l'avait été. Je n'avais prononcé aucun mot, je m'étais simplement contenté d'entendre le son de sa voix, car j'étais trop faible, parce qu'au fond de moi, l'être égoïste que j'étais ne voulait pas qu'elle m'écoute.
Bordel, je l'aimais plus que tout au monde et la trahison que j'avais subie de sa part n'était que plus blessante. Comment s'y était-elle prise pour embarquer mon père dans cette affaire ? Je l'ignorais encore, mais elle avait dû lui dévoiler quelque chose par rapport à notre relation. Elle n'imaginait pas à quel point elle avait mis sa vie en danger, elle ne savait pas jusqu'où Piper était prête à aller. Et je ne pouvais m'empêcher de m'imaginer Liv à la place de Ronnie, inerte sur le sol inondé d'une salle de bain, les poignets ouverts et le corps glacé.
Cette image était tout simplement abominable.
Mon dieu, que j'étais énervé contre elle ! Comment avais-je pu me laisser manipuler de cette façon ? Comment avait-elle pu comploter avec mon géniteur pour me coincer ? N'avait-elle donc aucune jugeote ? Désormais, cette salope de Piper avait un control total sur moi, elle me dominait bien plus qu'elle ne l'avait jamais fait auparavant et ça, ça me tuait.
Avec une caméra dans ma chambre, la porte sans possibilité de fermer à clé de l'intérieur, j'étais à sa merci, voilà pourquoi je ne dormais plus et que je ressemblais à un putain de zombie. Je fermais les yeux, mais au moindre bruit, je me réveillais en sursaut, à l'affut. Mes muscles bandés les trois quarts du temps me faisaient mal et même respirer commençait à devenir pénible. Je n'étais pas en prison, mais j'aurais aimé, afin d'être le plus éloigné possible de cette femme qui m'avait volé tant de choses.
Je ne pouvais demander de l'aide à personne, j'étais pris en otage dans ma propre vie. Les crises de panique et d'angoisse s'étaient multipliées ces derniers jours, à cause de mon enfermement. Apparemment, le fait que je sois claustrophobe ne leur faisait ni chaud ni froid. Pas même au psy qui venait un jour sur deux vérifier mon état psychologique et qui me donnait des comprimés que j'avalais en sa présence, mais qui une fois parti, je me dépêchais d'aller vomir dans les toilettes. Il était hors de question qu'on me drogue, je voulais que mon esprit soit clair et non embrouillé par les narcotiques, même si mon manque de sommeil m'empêchait de réfléchir normalement.
Depuis que j'étais de retour au manoir, plus d'une fois, j'avais pensé au suicide. À vrai dire, tous les maudits jours, mais j'étais certain que c'était la fatigue qui me faisait dérailler comme ça. Cependant, il m'arrivait de voir le miroir de ma chambre d'un œil nouveau. Je pourrais le réduire en charpie d'un coup de poing, en récupérer les morceaux aiguisés et me tailler les veines. Oui, c'était une idée qui devenait de plus en plus alléchante à chaque journée qui passait.
Je ne voyais personne, seulement la domestique qui venait déposer des plateaux repas dans ma chambre, supervisée par Piper, qui détenait la clé de ma chambre. Elle passait le plus clair de son temps à la maison, à surveiller mes moindres faits et gestes derrière un écran. Elle était ma gardienne, mon bourreau et à chaque regard qu'elle me lançait, elle ne cessait de dire « Tu es à moi ».
Lorsque je l'avais revue après mon arrestation, elle m'avait prise dans ses bras, alors que mon père était présent. Elle n'avait cessé de dire combien elle s'était inquiétée pour moi tout au long de ces derniers mois. Elle avait caressé mon visage et mon ventre s'était automatiquement noué. Lorsque mon paternel avait eu le dos tourné, la première chose qu'elle m'avait murmuré à l'oreille, ça avait été « Bienvenue chez toi, Jayden », d'une voix langoureuse et remplie de mauvaises intentions. Depuis, je ne pouvais fermer les yeux, étant dans un état d'alerte permanant.
J'avais les mains liées. Aux yeux du monde, je n'étais rien d'autre qu'un gamin perturbé, doublé d'un fugueur. Personne ne me croirait jamais si je racontais ce que Piper m'avait fait subir pendant de longs mois. Ouais, je préférais mourir plutôt que me faire violer encore une fois. Je ne le supporterais pas, pourtant, en me guettant comme elle le faisait, je savais parfaitement qu'elle attendait le moment parfait pour reprendre ses vieilles habitudes. Elle n'avait pas besoin de me le dire, j'en étais conscient.
Je l'avais menacée de tout raconter, et désormais, je ne pouvais absolument rien dire, parce qu'on ne me croirait pas, je n'avais pas besoin d'en faire l'expérience. Je savais qu'elle avait tué Ronnie de sang-froid, qu'elle avait camouflé ça sous des airs de suicide et je ne pouvais rien faire pour qu'on l'arrête, car je n'avais aucune preuve de ce que je devançais. J'étais vraiment un inutile.
Un bon à rien.
Un pauvre mec même pas capable de se défendre.
Je détestais me sentir vulnérable. Cette sensation était dégueulasse, salissante, et dans cette maison, c'était le sentiment que j'avais en permanence.
Assis par terre, entre le mur et ma table de nuit, mes bras appuyés sur mes genoux repliés, je relevai la tête – les yeux bouffis – et fixai la caméra qui se trouvait sur le plafond de ma chambre. Cette garce devait être en train de me surveiller en cet instant même. Elle écoutait ma respiration et ne ratait absolument rien du spectacle. Après tous ces mois, elle avait finalement gagné : j'étais à son entière merci. Même lorsque j'aurai le feu vert du psy pour retourner au lycée, elle saura à chaque instant où je me trouvais.
Je relevai le bas de mon jogging et contemplai le bracelet électronique qui emprisonnait ma cheville. Je n'avais pas le droit de quitter la ville, je serai sans cesse surveillé, même lorsque je ne me trouverais pas à la maison. Les libertés ? Je n'en avais plus.
Lorsque les flics l'avaient installé après avoir reçu l'injonction du juge que Patrick avait demandée, il m'avait dit que c'était pour ma sécurité et que je ne pourrais plus me déplacer seul non plus. Ainsi, je n'avais plus le droit de conduire, on m'avait retiré mon permis, quelqu'un le ferait à ma place. Et pour péter cette chose qui m'emprisonnait, il faudrait un miracle. J'avais essayé de la retirer, mais rien à faire, j'avais fini par me blesser.
Ma sécurité... ça me faisait bien rire. Ne voyait-il pas que le plus grand danger se trouvait dans l'enceinte de ces murs et qu'elle manipulait tout le monde à sa guise ?
Avant, j'avais Olivia ici, désormais, je n'avais plus personne pour me soutenir. J'étais seul, comme jamais je ne l'avais été. Le désespoir ne cessait de grandir et je ne savais pas comment le gérer.
Parfois, je divaguais, surtout la nuit. Je rêvais que Liv me rejoignait dans ma chambre et que je la serrais dans mes bras, que je lui disais à quel point elle m'avait manqué pendant ces longs mois, que je l'aimais. Je l'embrassais, la touchais, lui faisais l'amour dans mon imagination. Je remerciais le ciel que tout n'eut été qu'un canular et qu'elle soit saine et sauve.
Oui, une partie de moi lui en voulait d'avoir joué l'appât, mais une autre donnait grâce que ça n'ait été qu'une ruse pour me coincer. Son bien-être était la chose la plus importante pour moi, c'était l'une des raisons pour lesquelles j'étais parti en la quittant de cette manière. Les autres raisons étaient ma lâcheté et ma culpabilité.
J'étais complètement responsable de la mort de Ronnie. J'avais protégé Liv et mon amie, je l'avais laissée à la merci de cette psychopathe.
Soudain, la clé dans la porte me ramena à la réalité et je me levai précipitamment. La première chose que je vis fut une tête blonde, suivi d'un sourire resplendissant ainsi que des mains chargées d'un plateau repas. Je me raidis de la tête aux pieds lorsque Piper pénétra dans ma chambre et qu'elle déposa le plateau sur mon lit, sans me quitter un seul instant du regard.
— Bonsoir, Jayden. C'est l'heure du dîner, vu que je suis certaine que tu ne serais pas venu le déguster avec nous en bas, je me suis permis de te l'amener.
Je serrai les mâchoires et détournai la vue, agacé qu'elle joue le rôle de la belle-mère bienveillante. Combien de temps encore avant que mon père ne remarque son masque et qu'il réalise enfin qu'il avait épousé le diable ?
— Les médicaments que le Dr. Strauss te donne ne semblent pas faire d'effet. Tu as une tête vraiment à faire peur, mon chéri.
Je frémis lorsque cette appellation franchit la barrière de ses lèvres. C'était horrible, ce ton maternel alors que je savais parfaitement ce qui lui traversait l'esprit à chaque fois qu'elle posait les yeux sur moi. C'en était tout simplement maladif, l'une des choses les plus malsaines qu'il m'ait été donné d'entendre.
— Tu as vraiment l'un des visages les plus séduisants qu'il m'ait été donné de voir, tu ne devrais pas laisser ces vilaines cernes gâcher ta beauté.
— Je ne t'ai pas demandé ton avis. Dégage !
Bien que ma demande n'ait rien de courtois, mon timbre n'avait rien de menaçant. J'étais crevé et même si je mourrais de sommeil, je ne voulais pas dormir. Tout échappait à mon contrôle ici et je ne désirais pas qu'elle vienne profiter de la situation pendant que je serais dans les vapes. Elle l'avait déjà fait par le passé, la première fois que c'était arrivé, je ne lui donnerais pas d'autres occasions de recommencer.
Parfois, lorsque je fermais les yeux, des images d'elle et moi me venaient à l'esprit et c'était tout sauf agréable. Ce que j'éprouvais dans des moments comme ça, c'était vraiment indescriptible, mais une chose était sûre : je voulais mourir à chaque fois, tout simplement pour n'avoir plus ce genre de visions.
Être enfermé entre quatre murs n'aidait en rien ma situation, elle faisait simplement en sorte que je broie du noir tout le temps, sans un seul instant de répit. Je pensais aussi énormément à Olivia, je ne pouvais m'en empêcher, même si je lui en voulais pour ce qu'elle avait fait, elle restait ma bouffée d'air frais, mon échappatoire à mon calvaire. Se faire passer pour morte... je ne saurais dire si c'était ingénieux ou tout simplement débile.
Toutefois, je l'aimais tellement qu'au fond, je m'en fichais, même si à cause de sa bêtise je me retrouvais dans cette situation. Je savais que ce n'était pas le but qu'elle recherchait, elle voulait que je revienne pour être auprès d'elle. Car tout autant que j'avais besoin d'elle, elle avait besoin de moi. J'étais son oxygène et elle, le mien.
En la voyant au cimetière, si je ne m'étais pas figé à cause de ma crise de panique et de ma surprise, je l'aurais prise dans mes bras. Je rêvais de la serrer contre moi, de sentir la chaleur de son corps envelopper le mien, tout comme la douceur de ses lèvres caressant mes lippes. Une étreinte passionnée, comme celles que nous avions déjà échangées, cependant, je ne pouvais m'accrocher qu'à ça : des souvenirs. Si près et si loin l'un de l'autre. Cette pensée, ça me déchirait le cœur.
— Tu sais, je suis vraiment heureuse que tu sois de retour. Vraiment.
— Je me doute bien pourquoi.
— Tu es le fils de mon mari, voilà pourquoi, tu le sais bien.
Je buguai pendant un instant face à tellement d'hypocrisie alors que nous étions seuls, mais bientôt, pouffai, en comprenant parfaitement son manège. Si la caméra enregistrait, ça voulait dire qu'elle ne faisait aucune exception. Elle m'avait peut-être à l'œil, mais elle ne pouvait l'allumer ou l'éteindre à sa guise, ce n'était pas de son ressort. Ce fut alors que je compris que cette caméra, même si elle me surveillait sans cesse, c'était également elle qui empêchait cette garce de m'approcher de trop près.
À cause de la fatigue et de mon état léthargique, ainsi que dépressif, je ne m'en étais pas rendu compte avant, mais c'était tout à fait ça. Tant que cette caméra fonctionnerait, Piper ne viendrait pas me rendre visite dans ma chambre en pleine nuit. J'étais pourtant certain que l'idée de cet engin venait d'elle, mais elle ne s'était alors visiblement pas rendu compte qu'il s'agissait d'une lame à double tranchant.
— Tu devrais doubler la dose, ils t'aideraient à trouver ce sommeil qui te manque tellement, renchérit-elle en montrant la boîte de pilules qui se trouvait sur ma table de nuit.
— Pas la peine. Sors !
Elle esquissa un petit sourire malsain et se retourna, avant de prendre la porte et se barrer.
Je fixai les plats qu'elle m'avait apportés et ne touchai à rien. Je ne lui faisais aucunement confiance, elle avait très bien pu prendre ces médocs que je refusais d'avaler et les écraser avant de les mélanger à la nourriture. Je n'étais pas dupe. Je ne mangeais des choses que je pouvais ouvrir moi-même, qui se trouvaient dans des emballages. Je crèverais de faim, je m'en fichais, d'ailleurs, je n'avais aucun appétit, signe de mon état plus que dépressif, mais ça, le psy semblait s'en foutre royalement.
Finalement, je m'allongeai sur mon matelas, reposai ma tête contre l'oreiller et en ressentant cet apaisement que m'apportait la caméra – ironie quand tu nous tiens –, je fermai les yeux et me laissai bercer par les bras de Morphée, qui pour une fois, n'eut pas à se faire prier pour m'emmener dans le pays des songes. Un monde où mon subconscient pouvait se montrer clément ou complètement impitoyable.
Heureusement pour moi, cette fois, il fut généreux.
**********************************
Hey, j'espère que ce chapitre vous a plu ! Nous sommes plongés au plus profond de la détresse de Cole (ne me tuez pas) face à son enfermement et le fait qu'il se retrouve à nouveau seul face à Piper.
Comme vous avez pu le voir, il ne peut pas totalement en vouloir à Olivia et sait parfaitement que ce n'était pas ce qu'elle voulait en le faisant revenir à Fairfield.
Désormais, pensez-vous que cette caméra est bien une arme à double tranchant pour Piper? Ou au contraire, prendra-t-elle le risque de s'attaquer à nouveau à Cole?
Je rappelle que vos retours (ou feedbacks) sur les chapitres sont essentiels. Tout d'abord, parce que ça fait vivre l'histoire, ça me permet également d'interragir avec mes lecteurs, d'échanger avec vous, puis surtout, c'est une manière d'encourager l'auteur en écrivant votre ressenti. Je suis lectrice et auteure et je sais combien ça plait et motive un auteur d'avoir des retours, ils sont même essentiels ! Je rappelle que la base de wattpad n'est pas seulement d'offrir une lecture gratuite aux lecteurs, mais aussi que les lecteurs donnent quelque chose en contrepartie, (c'est donnant-donnant en fait) c'est à dire des votes et des commentaires, car oui, nous auteurs, on ne gagne rien en publiant sur la plateforme, alors qu'écrire nous demande un sacré boulot.
On se retrouve la semaine prochaine pour la suite !
Bye !
PS: JE VOULAIS VOUS ANNONCER AU CAS OÙ VOUS AURIEZ RATÉ LE MESSAGE SUR LE BABILLARD, MAIS À PARTIR DU 15 DÉCEMBRE, JE VAIS PUBLIER SUR INSTAGRAM UNE HISTOIRE SPÉCIALE DE NOËL. HUMOUR, AMOUR, PASSION ET DES SITUATIONS PLUS COMIQUES LES UNES QUE LES AUTRES SERONT AU RENDEZ-VOUS POUR VOUS TENIR AU CHAUD PENDANT LES VACANCES DE NOËL. LE LIVRE EST DÉJÀ EN LIGNE, VOUS POUVEZ LE TROUVER SUR MON PROFIL SOUS LE TITRE DE "JOYEUX NOËL!... ET VA TE FAIRE FOUTRE". SI VOUS NE VOULEZ RIEN RATER, VOUS POUVEZ L'AJOUTER À VOTRE LISTE DE LECTURE, LIRE LE RÉSUMÉ ET DÉCOUVRIR LES DEUX PERSONNAGES PRINCIPAUX (ZOEY ET ETHAN), AINSI QU'UNE PETITE PRÉSENTATION DES DEUX.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top