67 - Quand on en sais toujours pas mentir -

Moi: Rien

Victor: Louloute. Parle moi.

Moi: Tout va pour le mieux je t'assure.

Il me regarde dans les yeux. Il voit que j'ai pleuré. Soudain son regard passe de mes yeux à mon bras. Je tire un peu sur mon pull mais trop tard. Il prend ma main dans la sienne et replonge ses yeux océan dans les miens.

Victor: Je peux ?

Moi: Je ne voix pas de quoi tu parles.

Victor: Lise...

Moi: Vas-y

Il remonte ma manche doucement le long de mon bras. Il frotte délicatement le maquillage qui est sur mon bandage. Il découvre mon pansement. Me regarde d'un air désespérer et défait complètement la bande. Il observe avec soin les coupures que je me suis faites. Mes larmes coulent d'elles mêmes. Je n'essaie pas de les retenir. Mon frère refait mes soins. Il me prend dans ses bras. Je me laisse aller contre lui. J'ai les yeux fermé mais je voix quand même la porte s'ouvrir. Je relève la tête et découvre Louis et Camille qui nous regarde dans les bras l'un de l'autre. Je voix une lueur de jalousie éclairé le regard de ma cousine. Je me redresse et tire d'un coup sec sur la manche de mon pull. Trop tard. Louis à déjà vu le pansement qui orne mon avant-bras. J'essuie d'un revers de manche les larmes mais il est déjà choqué par ce qu'il à découvert. Il avance vers moi, s'assoie contre moi et entoure ma taille de ses bras. Son pouce fait des va-et-viens sur ma main. Il colle sa bouche sur mes cheveux. Il regarde Camille et Victor qui ont pas DU TOUT compris qu'ils étaient de trop. Louis ce racle la gorge pour attiré leurs attention.

Louis: Vous pouvez nous laissez s'ils vous plait.

Victor: Oui excuse nous.

Louis: C'est pas grave.

Je perçoit beaucoup de douceurs dans la vois de mon mec. Il me sert un peu plus contre lui. Il pose sa main sur mon avant-bras. Je frissonne à son contacte. Il ce lève et vient ce placer en face de moi. Il me regarde droit dans les yeux. Les yeux bleus dans les yeux noirs. Je détecte une question dans ses yeux. Je hoche la tête. Et doucement, beaucoup plus doucement que d'autre fois, il relève ma manche. Enlève mon bandage et vois toute mes mutilations. Je n'essaie pas de me cacher. Il passe ses doigts fin sur mes coupures qui commence à cicatrisé. Il caresse ma joue, pose délicatement ses douce lèvre sur les miennes. Je ferme les yeux au contacte agréable. J'arrête de pleurer. Et même miracle je relativise. Quand je suis avec Louis tout mes problèmes s'effacent. Je rompt l'instant. Lui sourit. Il comprend ce que je veux. Soupire et étant ses jambes. Je m'assoie sur lui et glisse doucement mes mains du bas de son dos jusqu'à sa nuque. Il pose ses mains sur mes hanches. Et me fait basculé sur le coté. Je ris. C'est tellement beau. J'aime que personne ne m'ai demander pourquoi j'en était venu à une telle extrémité. Je regarde Louis. Il approche sa bouche de mon oreille et me souffle doucement

Louis: Arrête de te sous-estimer. Les filles moches et nulles, c'est comme les licornes ça n'existe pas.

Moi: Tu viens de ruiner mes rêves sur les licornes, mon amour.

Louis: Désolé. Je t'aime.

Il à prononcé ces dernière paroles comme un secret.  Je m'endort contre lui. Il à enrouler ses bras autour de moi. Et..... 

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