66 - Quand on ne sais pas mentir -
Diane: Je ne vois pas de quoi tu parles.
Moi: Bah il est 13 h passer et tu descends tout juste et Niall te suit.
Diane: Bah je dormais et Niall c'est lever en même temps que moi.
Niall: Diane ? Je peux te parler.
Il s'éloigne tout les deux et je regarde Louis. Il hausse les sourcils pour me faire comprendre qu'il ne sais pas plus que moi ce qui ce passe entre les deux être humain (enfin humain c'est pas prouvé) chelou. Je regarde Niall et Diane dans le couloirs. Niall à pris la main de ma sœur et à entrelacer leurs doigts. Il sont mignon.
Moi: Lou'.
Louis: Oui.
Moi: Tu crois qu'il c'est passé quelque chose entre eux. Tu voix ce que je veux dire.
Harry: Eh moi aussi je voix.
Moi: Oui mais toi je ne t'ai pas parler.
Harry: Tu me fais la gueule ou quoi.
Moi: Non. Tu peux laisser Louis répondre à ma question maintenant.
Harry: Oui je m'en vais. Je vous laisse parler.
Moi: Merci. Donc bébé.
Louis: Je ne sais pas mais franchement ça ne m'étonnerai pas.
Moi: Ils sont irrécupérable.
Je me lève pour être en face de Louis. Il colle nos deux fronts et pose ses main sur mes hanches. Je glisse mes main de sa nuque à dans ses cheveux. Je pose mes lèvre sur les siennes. J'aurais pus continué comme ça pendant des heures. Mais Diane et le farfadet son revenu, trop tôt d'après moi. Niall se racle la gorge pour nous signaler sa présence. Je me sépare de Louis qui me sourit.
Moi: Donc... Qu'est ce que vous avez de si important à dire.
Louis colle sa bouche contre mon oreille et chuchote.
Louis: Si ils ne sont pas ensembles je te donne 30 £.
Moi: Pari tenu
Louis ce replace correctement derrière moi. Il entoure ma hanche de ses bras. Je pose ma main sur la sienne.
Niall: Diane et moi.... on est ensemble.
Moi: QUOI euh pardon quoi.
Diane: On est ensemble. T'as de la merde dans les oreille ou quoi p'tit sœur.
Moi: Rappel moi encore une seul fois que t'es plus âgé que moi et tu va savoir ce que c'est quand je suis en colère.
Diane: Eh calme toi. Et c'est bon je rigolais... Lise
Elle a forcé sur mon prénom à la fin de sa phrase et je me suis demander pourquoi j'était énervé et je me suis souvenu des 30 £ que je doit à Louis. Je serre son poignet pour qu'il me lâche. Son sourire s'estompe. Je secoue la tête pour lui faire comprendre qu'il ne doit pas essayer de comprendre. Je monte dans ma chambre. J'ai besoin de solitude. J'entend Carolane parler à Zayn de l'autre côté du mur.
Carolane: Je t'aime.
Zayn: Moi aussi.
J'arrête de les écouter. Je m'enferme dans la pièce. Je m'assois à mon bureau. Je regarde les feuille éparpiller dessus. Je n'ai pas la force de ranger et de travailler alors je vais m'allonger sur mon lit. Je me roule en boule et pense à ce qui m'énerve. Il y a tant de chose qui me soule. Je pense au fait que tout le monde me rabaisse, ma rappelle que je suis la plus jeune, que je suis nul pour tout, que je ne sais rien faire de mes mains mais que pourtant je porte ou plutôt supporte tant de chose. Parfois comme aujourd'hui ça m'énerve et je me défoule sur n'importe qui. Je sens des larmes brûlantes coulé sur mes joue. Des fois je me demande ce que j'ai fait au monde pour mériter ça. Je me souviens de toute ces fois ou l'ont ma dit que j'était moins bien qu'un tel ou un tel. Quand on me disait que je ne servait à rien, que j'était nulle, que c'était honteux de trouver une réponse après moi, quand me demandai si je comprenais quelque chose que je disait "ou pourquoi pas toi" et que l'ont me répondait "non mais si toi t'as compris faudrait vraiment que je mette à bosse" genre c'est pas normal que toi tu comprennes et pas moi. A cet instant je me dit que ma vie à toujours été comme ça. Et même quand j'était petite mes parents me traitait comme ça. Qu'il me rappelai sans cesse que j'était la dernière. Mais sincèrement ça ne les empêchait pas de me refiler tout le travaille à la maison. Je me souviens que je n'était pas très proche de Diane à cette époque et même qu'elle ne faisait rien pour m'aider et que ça l'arrangeai bien que nos parents ce servent de moi. Je sais que c'est plus ou moins à ce moment là que j'ai rencontrer Carolane. Elle me soutenais. En tout cas au début. Puis elle aussi c'est mise à me traiter comme une moins que rien. Je sais pas combien de temps ça à durer mai je sais que ça c'est arrêter quand je me suis mise à me mutiler. Elle c'est rendu compte que j'allais mal. Et c'était bien la seul. Puis mes parents mon abandonner d'abord que moi. Par ce que je ne faisait plus tout bien. Par ce que j'ai arrêter de leur obéir. Par ce que j'était devenu faible. Je ne sais pas ce qui c'est passer après que je sois partit de la maison ou plutôt que l'ont met dégager de la maison mais Diane à été abandonné juste après mon adoption. Je me souviens de tout cette partit de ma vie que je m'était appliquer à oublier. Je me souviens ce qui m'a pousser à m'énervé contre ma sœur et son mec. Je sais que j'aurais du être heureuse pour elle mais en me rappelant que j'était petite elle à raviver la douleur de mon enfance. Je ne sais pas pourquoi n'y comment mais je me lève, les yeux tremper de larmes et je vais dans la salle de bain. Je prend un rasoir, un flacon de désinfectant et je me r'ouvre les veines. J'essaie de lutter contre moi même et d'arrêter mais je n'y arrive pas. J'ai l'impression que mes problème coule avec mon sang. Je ne sais pas pourquoi mais je fini par m'arrêter. Mon bras c'est transformer en champs de bataille et je ne veux pas que qui que ce soit l'apprenne. Surtout pas Louis. Il m'en voudrait trop. Je vais chercher de quoi me faire un pansement. Mes larmes coules toujours donc je vois flou. Je me fait une dizaine de bleu en me prennent des coins de meuble dans les hanches. Je me dit que de tout façon ce n'est pas la première fois que j'ai des bleus partout. Je désinfecte mon bras. L'alcool me brûle le bras et fait de plus en plus coulé mes larmes. Je me fait un bandage. Puis je fais travailler mes talent de maquilleuse pour cacher la bande sur mon bras. Je termine en soupirant. Puis je vais me recoucher. J'entend des bruits de pas devant la porte. Je me roule en boule sur le côté et continue de pleurer. Soudain quelqu'un frappe à la porte. Je ne veux voir personne donc je ne répond pas. Le personne recommence.
????: Louloute je peux entrer.
Moi: Vic' non.
Victor: S'il te plait.
Moi: Non !
J'ai été un peu dur en disant ces dernier mots. Mais je ne veux vraiment pas lui parler.
Victor: Si tu ne me laisse pas entrer je défonce la porte, je m'inquiète pour toi et Louis aussi.
Moi: C'est bon t'as gagné c'est ouvert
Mon frère entre dans ma chambre et me vois en boule en larmes sur mon lit.
Victor: Qu'est ce qu'il y a.
Moi:...
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