Chers lecteurs et lectrices, je devais poster le chapitre sur Les Aristochats comme promis, mais j'avais envie, avant ça, de faire quelques petits passages sur les mémoires des Sakamaki. Bien sûr, j'inclurai aussi les Mukami. En fait, ce sont plus des pensées philosophiques sur leurs états d'âme, qu'ils se livrent à eux-mêmes. Ils couchent sur papier leurs émotions et en créent un journal intime. Je trouvais ça sympa comme concept, mais il ne durera pas. Je le ferai qu'une seule fois avec tous les personnages et après, je reviens à l'habituel. Donc, voici, les mémoires d'Ayato ❤️ !

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Rien.
Le mot qui définit parfaitement les tréfonds de mon âme. Je suis comme une marionnette délaissée qui ne possède ni couleurs ni beauté au fond d'elle.

La fin.
L'échappatoire qui délivre de la terreur. L'heure trépasse, la mémoire ressasse les souvenirs douloureux. La peur, la haine, la tristesse, la passion dévastatrice qui dévorent l'être, qui rongent l'esprit...

La lame accompagnée d'une larme, la rose fanée au bout du fusil, la paix enterrée dans une horde de cadavres déchiquetés ; ces images se meurent en même temps que mes émotions.

Un paradis espéré, un enfer imaginé, des rêves macabres... Une vie rocambolesque se termine, une autre renaît de ses cendres, tel le phénix qui déploie ses ailes majestueuses.

Le Roi est mort, le pion l'a vaincu. Un monde sans couronne se dessine à l'horizon, et il me semble que j'en suis désormais le maître. Maître de ma destinée envers et contre tout. Plus rien ne pourra amortir la chute dégradante de mon demi-sommeil.

Je dois seulement rêver !

~ Ayato Sakamaki ~

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En vrai, j'ai changé beaucoup de choses par rapport au texte original, car ce sont des écrits que j'ai couché sur papier lorsque j'étais en cours d'anglais 😉. Bon, ça ne peut pas plaire à tout le monde, logique 😅. Mais j'innove, j'aime bien 😘. Sur ceux, bon dodo 💤😂 !