Chapitre 63 Cole
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J'ai trouvé qu'il n'y avait pas eu énormément de commentaires/retours dans les chapitres précédents, ceux publiés depuis mon retour, le 16 Octobre. Je vais me répéter, mais tant pis, depuis le temps que vous me lisez, vous devriez désormais savoir que si je publie sur wattpad c'est avant tout pour avoir des retours de la part de mes lecteurs. Vous avez une lecture gratuite et de qualité (du moins je pense), la moindre des choses ce serait de voter et de dire ce que vous pensez de l'histoire.
Encore une fois, il ne s'agit pas de faire des pavés d'analyse, loin de là, mais essayez de vous mettre à la place de l'auteur. Je ne pense pas demander la lune, c'est vraiment quelque chose de très simple. Il ne s'agit pas non plus de laisser des dizaines de commentaires ou de commenter à chaque chapitre et mettre des émoticones et des "j'adore, j'attends la suite", ça, même si c'est gentil, ça n'aide pas vraiment l'auteur. Il s'agit avant tout de démontrer que l'histoire vous intéresse et que vous avez envie de savoir la suite, tout simplement.
Encore une fois, c'est une lecture gratuite, mais je me donne à fond à chaque chapitre pour vous pondre des chapitres et une histoire de qualité. Ce que vous lisez en dix ou vingt minutes, ça m'a pris beaucoup d'heures de travail, de peaufinement etc...
Donc voilà, je tenais simplement à mettre ça au clair en début de chapitre, parce que je sais qu'il y en a plein qui ne lisent pas les NDA en fin de chapitre.
Je vous laisse à votre lecture.
***
J'étais vraiment le pire des crétins. Mais genre vraiment ! Comment avais-je pu demander à Liv une chose pareille ? Mais qu'est-ce qui n'allait pas chez moi ?!
« Je ne suis pas ta chose », qu'elle avait dit. En lui demandant de renvoyer Ivy, je n'aurais pas imaginé qu'elle m'accuserait de la traiter comme un objet, mais désormais, je me rendais bien compte que c'était bel et bien ce que j'avais fait. J'avais pris sa compagnie pour acquise et ces nuits passées ensemble comme automatiques. Elle avait raison, j'avais agi comme si elle était ma propriété et qu'elle m'appartenait, ayant tous les droits de disposer d'elle à ma guise.
Après son vécu avec ce connard de footballeur, j'étais vraiment tombé bas. Je me rendais compte qu'en agissant ainsi, je l'avais blessée et sans aucun doute, fait remonter des mauvais souvenirs à la surface.
Le truc, c'était que j'ignorais comment m'y prendre. C'était la première fois que j'avais besoin de quelqu'un à ce point et je ne savais pas comment exprimer ce besoin presque vital d'être près d'elle. Je ne voulais pas être toxique pour elle, tout au contraire, pourtant c'était l'impression que j'avais en ce moment. Mon comportement égoïste avait pris le dessus, au fond, je l'étais vraiment. Si je désirais à ce point être avec elle, c'était parce qu'elle me faisait du bien. Mais désormais je me demandais, est-ce que c'était réciproque ? Étais-je bon pour elle ?
Couché sur le capot de ma voiture en train de contempler les étoiles au-dessus de ma tête, je tapotai la bouteille de bourbon que j'avais acheté au magasin d'alcool du coin grâce à ma fausse carte d'identité. Je ne l'avais pas touchée, sur le moment, ça m'avait paru une bonne idée de me bourrer la gueule afin de ne pas affronter mes problèmes, mais pour une fois, la raison avait eu le dessus. Alors je me contentais de fixer ces petits points brillants se trouvant à de millions de miles sur ce ciel obscur.
J'adorais contempler le firmament, j'arrivais à faire le vide dans mon esprit ainsi qu'à m'apaiser. C'était calme autour de moi et ce silence - hormis le bruit provoqué par les criquets se trouvant aux alentours - était vraiment appréciable.
J'ignorais même quelle heure il était, n'ayant pas réellement vu le temps passer, et franchement, je m'en fichais. Je pouvais passer la nuit éveillé et voir l'aurore à l'horizon, de toute façon, je savais d'avance que je ne pourrais pas fermer l'œil. Je n'avais aucun doute là-dessus.
Soudain, les vibrations de mon portable vinrent interrompre le silence de la nuit. Ce dernier se trouvait dans ma poche de jean droite, que je sortis afin de le déverrouiller. Je vis ainsi qu'il était près de minuit et que j'avais un message d'Olivia.
La lionne squatteuse message envoyé à 23h52
Où est-ce que tu es ?
Je soupirai et ne pris même pas la peine de lui répondre. Je remis donc mon téléphone dans ma poche, mais quelques secondes plus tard, celui-ci vibra à deux reprises, m'indiquant ainsi la réception non d'un, mais de deux messages.
Pour le coup, j'étais certain que ses nouveaux textos étaient beaucoup moins courtois.
La lionne squatteuse message envoyé à 23h53
Génial, tu lis et ne réponds pas maintenant ?
La lionne squatteuse message envoyé à 23h53
Vraiment très mature de ta part, je te félicite.
Je levai les yeux au ciel étoilé et serrai les dents. Les femmes... je ne les comprendrais définitivement jamais. À peine quelques heures, elle m'avait littéralement envoyé me faire voir, ne m'avait pas retenu lorsque j'étais parti et désormais... elle voulait savoir où est-ce que je m'étais fourré ?
Sans doute avait-elle compris ce que mon innocent de demi-frère avait voulu dire avec « aller faire du sport chez Amber ». Elle pensait vraiment que je pourrais tomber aussi bas ? Franchement, je me sentais insulté que ça lui effleure l'esprit une possibilité pareille.
Je n'étais pas un ange, je connaissais beaucoup de filles chez qui je pourrais me rendre pour trouver du réconfort, ce n'était pas le choix qui manquait. J'étais aussi peut-être un connard, mais pas ce genre-là. Non, jamais.
Et non, je n'avais pas couché avec Amber, même si ce n'étaient pas les occasions qui avaient manqué depuis que j'avais emménagé à Fairfield. Elle n'avait cessé de vouloir m'attirer dans son lit depuis que j'étais arrivé. Il m'aurait été très facile d'aller toquer à sa porte et de lui dire sans aucun détour ce que je « voulais ». Mais encore une fois, bien que connard, je n'étais pas ce genre-là.
Je rangeai à nouveau mon téléphone dans ma poche, après avoir relu les trois messages qu'Olivia m'avait envoyé, et je descendis du capot avant de m'engouffrer dans la voiture. Je n'allais pas lui répondre, j'allais faire mieux que ça.
***
En garant la Jeep devant l'allée du garage du manoir, j'allumai et éteignis à trois reprises les phares, sachant que si Olivia était éveillée, elle pourrait voir aisément la lumière pénétrer à l'intérieur de sa chambre. J'espérais que ce serait le cas et qu'elle sortirait de la pool house afin de me retrouver, mais connaissant son caractère, elle serait capable de me faire poiroter devant la porte d'entrée toute la nuit. Encore heureux que ce début de Mai en Californie était particulièrement doux, plus que dans mes souvenirs.
Je répétai ce code de trois encore une fois et sortis de la voiture, en la fermant à clé. On n'était jamais trop prudents, je ne me fiais à personne, surtout en connaissant Cayley, je savais qu'elle avait des vues sur ce bijou qui me servait de véhicule. Elle n'avait pas encore l'âge de conduire, mais rien que pour m'emmerder, elle serait capable d'aller faire un tour dans le voisinage avec si l'occasion se présentait.
Arrivé devant la pool house, je m'appuyai contre l'un des murs, près de la porte, tout juste en-dessous du porche, là d'où personne ne pouvait me voir depuis le manoir. Je connaissais parfaitement bien les emplacements que je devais à tout prix éviter et ceux où je pouvais me trouver sans me faire repérer.
J'attendis patiemment pendant quelques minutes, avant d'entendre des pas de l'autre côté de la porte. En me tournant vers celle-ci, qui était en partie en verre, je vis Olivia me dévisager d'un air dur. Elle l'ouvrit, mais nous continuâmes à être séparés par la moustiquaire, qu'elle fit exprès de ne pas pousser pour me laisser entrer.
Ce feu qui la caractérisait tellement brûlait dans les prunelles de ses yeux tandis qu'elle se contentait de me jauger. J'allais passer un sale quart d'heure, j'en étais plus que conscient et je le méritais, je ne pouvais pas le nier. Alors j'allais tout simplement m'excuser et encaisser, tel que ça devait être.
Je soupirai un bon coup et me lançai :
- Désolé pour tout à l'heure.
Puis je l'observai, attendant une quelconque réaction de sa part. L'expression du visage d'Olivia ne changea à aucun moment, elle ne cilla même pas, laissant en place ce masque de froideur qu'elle s'efforçait de porter en cet instant. Elle était douée pour cacher ses véritables émotions, on se ressemblait pas mal de ce côté-là, voilà pourquoi je savais qu'elle faisait exprès de ne laisser absolument rien transparaître.
- Sois plus explicite. De quoi es-tu désolé ?
Je levai les yeux au ciel pour ne pas la foudroyer du regard, je n'avais pas envie de m'enfoncer encore plus dans cette mélasse dans laquelle je m'étais fourrée tout seul.
- Pour ma petite scène de gamin pourri gâté il y a quelques heures, marmonnai-je en enfonçant mes mains dans mes poches de jean et en regardant par terre. Je suis vraiment navré si je t'ai fait sentir comme ma « chose », ce n'était pas mon intention, c'est juste que...
Je veux profiter du peu de temps qu'il nous reste, pensai-je tout en me mordant l'intérieur de la joue jusqu'au sang.
J'avais essayé de ne pas y penser ces derniers jours, mais plus je repoussais, plus je niais l'évidence. Piper allait revenir et continuer à me pourrir, par conséquent, j'en déduisais qu'à cet instant-là, ce que j'avais avec Olivia prendrait fin. Une partie de moi ne voulait pas voir les choses en face, pensant que je m'opposerais à cette garce et qu'elle se tiendrait une bonne fois pour toutes éloignée de moi, tandis qu'une autre - beaucoup plus réaliste - savait pertinemment que jamais elle ne me lâcherait.
- Que tu quoi ?
Je serrai les dents et soupirai un bon coup.
J'étais vraiment un lâche, il n'y avait pas d'autre mot pour me définir. Ce qui se passait avec Piper me consumait depuis des mois, à cause de ce que cela signifiait, mais quelque part en moi, je me disais qu'au fond je méritais amplement ce qui m'arrivait. Comment arrêter quelque chose d'aussi gros ? Est-ce que c'était moi qui l'avais commencé ? Je l'ignorais, je savais juste qu'à chaque fois qu'elle me touchait ou m'obligeait à coucher avec elle, j'avais tout simplement envie de mourir.
Je devais m'occuper de ça, trouver un moyen de pression pour la faire cesser, même si elle avait contre moi le chantage parfait. Au pire, qu'est-ce qui pourrait m'arriver ? Aller en prison ? Être accusé de viol ? Que la situation se retourne contre moi ? Elle avait joué avec mes peurs tout le long, exploitant mes faiblesses, s'en servant pour me faire du mal et m'avoir à sa merci. Mais désormais, c'était fini.
Non, plus jamais elle ne poserait une main sur moi.
C'était terminé.
- J'ai eu peur que tu veuilles tout arrêter, mentis-je, même si je laissais parler tout de même mes insécurités.
Olivia poussa la moustiquaire et me rejoignit sur le porche, les sourcils froncés et le regard grave. J'étais conscient de paraître un putain de dépendant, mais je ne pouvais pas l'éviter. Du, coup je me demandais, voulais-je être avec Liv parce qu'elle me plaisait ? Ou simplement, parce que sa présence me faisait du bien et m'aidait à déconnecter pendant quelques instants de ma triste réalité ?
- Je ne peux pas être ta nouvelle drogue, Jayden.
Bordel, cette fille avait un accès direct à mes pensées, ce n'était juste pas possible autrement !
- Je sais et ça ne se reproduira plus, je te le promets.
Elle ne pipa mot et continua de me contempler dans le silence de la nuit, alors qu'elle se trouvait à un mètre de moi. Elle me semblait tellement lointaine alors qu'elle était si près. J'avais envie de la serrer dans mes bras, de sentir la chaleur de son corps réchauffer mon cœur glacé et me perdre dans l'intensité de nos baiser. Cesser de penser pendant quelques instants, mettre mon cerveau en veille, voilà ce que je voulais en cet instant. Je ne désirais pas réfléchir, simplement, ressentir.
- Lorsque je suis près de toi, Liv, je me sens... bien. Voilà pourquoi j'attends d'être la nuit avec impatience et de pouvoir me faufiler dans ta chambre.
Ma piètre déclaration réussit cependant à lui arracher un petit sourire en coin, qui aurait été imperceptible si je ne l'avais pas observée pendant que je me confiais.
- J'aime parler avec toi, ta quiétude et ta présence. J'ignore pourquoi, et je n'ai pas forcément envie d'en chercher les raisons, mais tu m'apaises. Est-ce que je suis amoureux de toi ?
Cette question rhétorique lui fit écarquiller les yeux et rougir atrocement, la forçant ainsi à baisser le regard afin que je ne m'en aperçoive pas.
- Je ne saurais le dire, je n'ai jamais été amoureux, alors il me faudra un peu de temps pour le savoir avec certitude. Mais tu me plais et... je ne veux pas te causer d'ennuis ou te faire du mal.
J'ignorais vraiment ce que je pouvais ressentir pour elle, tout était vraiment très confus dans ma tête. Est-ce que je la désirais ? Oui, de tout mon être, mais désir et amour n'allaient pas ensemble, je le savais bien.
- Moi non plus je ne sais pas ce que je ressens pour toi, soupira-t-elle en se frottant la nuque. J'ai l'impression que mon cerveau est un véritable bric-à-brac en ce moment.
Donc, on était bel et bien tous les deux paumés, ne sachant pas avec certitude ce que nous ressentions l'un pour l'autre. Mais après tout, quelle importance ?
- Je me sens moi aussi très à l'aise avec toi, mais je ne veux plus de scènes comme celle qui a eu lieu ce soir, m'avertit-elle. Même si j'adore passer mes nuits à tes côtés, je n'hésiterai pas à y mettre un terme. Suis-je claire ?
- Parfaitement. Je me suis comporté comme un con, je l'admets.
- Tu n'as pas d'autre choix que de l'admettre de toute façon, me nargua-t-elle en se détendant et en prenant un pose plus ouverte.
Olivia s'approcha de moi et saisit mon poignet droit, avant de le serrer tendrement dans sa paume. Sa peau était chaude, doux contraste avec la mienne qui était glacée d'avoir passé ma soirée à la belle étoile. Je voulais la prendre dans mes bras et la serrer contre moi afin qu'elle me transmette toute sa chaleur. Mais Ivy se trouvait dans la chambre et il valait mieux ne pas prendre de risques inutiles au cas où elle se réveillerait, ne verrait pas Liv à ses côtés et se lèverait pour fouiner. Personne ne devait être au courant, et j'étais toujours parfaitement d'accord avec ce principe. Je ne voulais pas que tout parte se faire voir.
Puis soudain, j'eus l'impression de vivre un déjà-vu et pour cause, quelques semaines auparavant, deux si ma mémoire était bonne, j'avais cogné à la porte de la pool house en faisant semblant d'être ivre mort afin qu'Olivia me laisse entrer. J'avais eu tellement envie de l'embrasser cette nuit-là, pourtant j'avais feint le matin suivant ne garder aucun souvenir de cette rencontre ainsi que de ce que j'avais fait ou dit.
- J'ai menti.
Liv se raidit et me dévisagea, ne sachant pas de quoi je voulais bien parler.
- Il y a deux semaines, je suis venu te voir en pleine nuit, ivre mort, pour que tu me laisses entrer dans la pool house. Je me souviens de tout ce que j'ai fait ou dit.
Elle écarquilla les yeux, car bien évidemment, si je me rappelais de ça, c'était aussi le cas pour les réactions que son corps avait eu vis-à-vis de moi. À aucun moment elle ne m'avait repoussé, elle s'était laissé aller.
Alors doucement, je la pris par le haut de ses bras et la plaquai contre le mur se trouvant derrière elle. J'avais eu tellement envie de faire ça ce soir-là, mais je m'étais bien évidemment retenu. Mais là, je ne comptais pas être aussi sage, même si Ivy ne se trouvait pas loin, j'avais changé d'avis. C'était risqué, certes, mais j'adorais cette sensation d'interdit, cette adrénaline qui se déversait dans mes veines et qui me rendait intrépide, quitte à me faire commettre une grosse bêtise.
Olivia me contemplait de ses yeux de biche que j'aimais tant, ce regard si intense et à la fois innocent... bon sang ! Il me faisait complètement tourner la tête.
Puis alors que je m'apprêtais à plaquer mes lèvres sur les siennes, elle plaça une main sur ma bouche et dit :
- Tu as donc fait semblant pendant plus d'une semaine ?
Merde, elle allait s'énerver pour ça aussi ?
- Pourquoi est-ce que tu penses autant ? lui demandai-je en écartant sa paume de mon visage. Je ne pensais pas que ça te dérangerait à ce point.
- C'est juste que ton comportement cette nuit-là était très bizarre, tu semblais désespéré, comme un gamin ayant la frousse.
J'eus l'impression de recevoir un seau d'eau glacée en plein visage et que cette dernière s'insinuait à l'intérieur de mon t-shirt pour couler tout le long de mon torse ainsi que de mon dos.
- J'étais ivre, mentis-je. Je divaguais.
- Tu étais ivre et tu te souviens quand même de tout ce que tu as dit ou fait ?
Bordel, j'étais vraiment un abruti fini. Jamais je n'aurais dû sortir cette affaire sur le tapis, mais la garder tout simplement pour moi. Mais qu'est-ce qui n'allait pas dans ma tête à la fin ?
- Qu'est-ce que tu caches, Cole ?
Sa question fit tilt à l'intérieur de moi et automatiquement, ma carapace de con ressurgit. Je me séparai ainsi d'elle et pris une grande goulée d'air, avant de laisser échapper un petit rire sournois, même si au fond de moi, une alarme résonnait à fond la caisse.
- Bonne nuit, Liv.
Puis je me détournai d'elle, tandis qu'elle restait appuyée contre le mur et me regardait m'éloigner dans le jardin. Elle ne me suivit pas, ce qui dans un sens fut une déception et d'un autre côté, un soulagement.
J'entrai dans le manoir à travers la porte arrière de la cuisine et me dépêchai de traverser le salon, ainsi que le hall, pour enfin, monter les escaliers et ainsi atteindre ma chambre. Une fois à l'intérieur, je m'enfermai - comme à mon habitude - à l'intérieur et me jetai sur mon lit, en tentant de réfléchir le moins possible.
Ce qui était clair, c'était que j'avais fait une grosse connerie et que désormais, j'ignorais comment esquiver les questions qu'Olivia pourrait me poser. Mais j'aurais toute la nuit pour y réfléchir.
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Voilà ! J'espère que ce chapitre vous a plu !
N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé en commentaires !
On se retrouve MERCREDI PROCHAIN À 17H pour la publication du chapitre 64, qui sera un point de vue d'Olivia.
Je vous souhaite une bonne fin de semaine, un bon Halloween et une bonne Toussaint !
Bye !
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