Linda et Jacob franchissent la porte du bureau puis le quadra ferme la porte à double tour.

La jeune femme est de dos par rapport à son "maître". Jacob dépose ses mains sur les hanches de Linda et commence à la caresser.

Linda :
- Nous ne devrions pas...

Monsieur Douglas s'en contrefiche et continue la manœuvre. Irritée par le fait de ne pas se faire entendre, elle se retourne pour lui faire face.

Linda :
- Et si on nous entendait ?

Jacob :
- Tu n'aura qu'à crier moins fort.

Linda :
- Mais pourquoi ne demandes-tu pas à ta femme de le faire ? Pourquoi moi ?

Jacob :
- Ma femme seule, ne pourrait pas me permettre d'assouvir tout mes besoins. Ce serait la tuer.

Il passe ses mains derrière le dos de la jeune femme, attrape son zip et le baisse.

Linda se voit obligée d'accepter pour ne pas que son "maître" doute de ses intentions .

Linda :
- En tout cas, sache que ce n'est pas sage du tout. Déclare-t-elle d'une voix provocante.

Elle positionne ses bras dernière la nuque de monsieur.

Jacob :
- Qui a parlé d'être sage ?

Linda secoue la tête. " Totalement incorrigible " pense-t-elle. Monsieur Douglas se rapproche,  petit à petit, des lèvres de la jeune femme et fini par l'embrasser passionnément.

Ensuite, il la dirige jusqu'à son bureau, où il l'allonge. Il lui retire sa robe et elle s'affaire à déboutonner les boutons de sa chemise.

À aucun moment leurs lèvres ne se séparent, jusqu'à ce que Jacob décide de mettre complètement à nue Mademoiselle Briann.

Il lui enlève, méthodiquement, ses sous-vêtements puis baisse son pantalon ainsi que son caleçon.

Il prépare le terrain en la doigtant,  généreusement et après celà, il la pénètre.

Linda, qui avait déjà du mal à se retenir de gémir, alors là, n'en peut plus. Elle se mord la lèvre inférieure jusqu'à se blesser dans le but de rester silencieuse.

Jacob :
- Pourquoi ne cris-tu pas ? Lâche-toi.

Elle ne pouvait pas lui répondre. Si elle ouvre la bouche ses efforts seront vains, alors elle secoue la tête.

Jacob :
- Je rigolait tout à l'heure. Tu peux crier, la pièce est insonorisée.

Linda libère enfin sa lèvre meurtrie.

Linda :
- Pourquoi ne pas me l'avoir dit plus tôt ? Essaye-t-elle de prononcer la voix saccadée.

Jacob répond par un baiser et la jeune femme l'approfondi. Le quadra accélère ses vas et viens et elle gémis de plus en plus.

Au bout de quelque minutes, Linda cri de plaisir et Jacob se vide en elle.

Ils restent comme ça, avachis sur le bureau, pendant quelques secondes, avant de se relever et de se rhabiller.

Linda arrange ses cheveux et réajuste son rouge à lèvre, ayant débordé et Jacob tente de défroisser son costume.

Après avoir réinitialisé leur apparence, Monsieur Douglas tend à Mademoiselle Briann son emploi du temps, afin qu'elle puisse faire semblant de gérer au minimum son temps libre.

Ensuite, ils sortent. Jacob se dirige vers le séjour tandis que Linda reste figée dans le couloir.

Elle est rongée par la culpabilité. Elle ne peut pas faire ça à la pauvre Shirley et à ses enfants. Pour elle, c'est comme détruire un mariage.

La jeune femme s'adosse contre un mur et ferme les yeux.

Shirley :
- Vous avez un problème ?

Elle les rouvre immédiatement avant de répondre.

Linda :
- Non. Rien. Ne vous inquiéter pas pour moi. Juste une baisse de morale,  rien de plus.

Shirley :
- Vous êtes drôlement joli pour être l'assistante de mon mari.

"Serait-elle au courant de quelque chose" se demande Linda. Elle décide alors de jouer la carte de l'innocence.

Linda :
- Il vous a déjà trompé ?

Shirley :
- Heu... Oui. Mais c'était il y a longtemps, avant la naissance d'Aaron.

Linda :
- Et comment avez-vous réagis ?

Shirley :
- J'ai voulu le quitter, mais je n'ai pas pu.

Linda :
- Pourquoi ?

Shirley :
- Je suis issue d'une famille traditionaliste. Jacob est parti demander ma main chez mes parents et ils ont accepté.

Linda :
- Ça a dû être un sacré coup dur pour vous.

Shirley :
- Oh mais à présent, je suis comblée de bonheur, j'ai un mari aimant et des enfants merveilleux. Dieu nous a accordé la grâce et nous vivons sous sa tutelle tous les jours.

"Alors comme ça, elle n'en sait rien du tout" songe encore la jeune femme.

Linda :
- Shirley, m'avez-vous préparé une chambre ? J'aimerais me reposer un instant.

Shirley :
- Oui, bien-sûr. Je vous y conduit.

Elles se dirigent vers une des chambres d'amis, Shirley ouvre la porte et Linda est émerveillée. La chambre est lumineuse, les murs sont dans les tons corail clair.

Les meubles sont blancs, le lit est de taille moyenne et un attrape-rêve est suspendu, sur le mur, au dessus du lit.

La maitresse de maison, donne des informations à la jeune femme, avant de quitter la chambre.

Enfin seule, Linda se jette sur le lit pour faire un petit somme.

Pendant ce temps, Nathalie, la mère de cette dernière, s'occupe à ranger sa maison avec l'aide précieuse de Bobby.

Elles y sont seules, William, le père, étant parti tôt le matin pour une urgence à son bureau.

La mère et la meilleure amie s'entendent très bien et c'est pour ça qu'a un moment, Bobby ressent le besoin de se confier.

Bobby :
- Nathalie ?

Nathalie :
- Oui Bobby ?

Bobby :
- Hier, j'ai appelé Kris...

Nathalie :
- Il doit sûrement en avoir marre de répondre à nos appels téléphoniques. Constate-t-elle en ricanant.

Bobby :
- Oui, mais... tu ne trouve pas cette histoire louche ?

Nathalie :
- Bah au début j'étais assez méfiante, mais maintenant... j'en veux surtout à Linda.

Bobby :
- Mon petit doigt me dit que Kris nous cachent quelque chose.

Nathalie :
- Je ne sais pas pourquoi, mais je lui fait confiance.

Bobby :
- J'ai une idée !

Nathalie :
- Une idée pour quoi ?

Bobby :
- Bah pour coincer Kris !

Nathalie :
- Non Bobby, arrête. Ça dévient presque de la paranoïa. Tu sais qu'il peut porter plainte pour harcèlement ?

Bobby :
- Pour te prouver que Kris n'est qu'un beau parleur, je vais l'appeler. On est samedi, il n'y a pas de raison qu'il ne réponde pas.

Nathalie :
- Bobby ! Tu sais très bien que Kris est un homme très occupé !

Bobby :
- Ouais ouais, c'est ce qu'on verra.

La jeune femme part chercher son téléphone puis reviens composer le numéro de Kris devant Nathalie.

Elle active le haut-parleur :

? :
- Le numéro que vous avez composé n'est pas attribué...

Bobby regarde la mère de Linda avec un regard disant " je te l'avais dis ". Cette dernière ne sait plus quoi dire.

Nathalie :
- Es-tu sûre d'avoir composé le bon numéro.

Bobby :
- Oui, j'en suis certaine, c'est le numéro que j'ai appelé hier.

La mère, complètement bouleversée,  s'assied dans un canapé et positionne sa tête entre ses mains.

Nathalie :
- Alors comme ça, il m'aurait menti ?

La meilleure amie se contente de hocher la tête. Nathalie lève les yeux vers elle.

Nathalie :
- Tu as parlé d'une idée tout à l'heure...

Bobby :
- Ah, tu changes d'avis ? Dit-elle le sourire jusqu'aux oreilles.

Nathalie :
- Oui. Explique ton idée.

Bobby :
- Ok. Bon, le plan ça serait d'engager un détective privé pour qu'il puisse traquer notre homme. Comme ça au moins on pourra; soit finir par le mettre derrière les barreaux ou soit arrêter nos suspicions.

Nathalie :
- C'est une brillante idée. J'engagerai un détective privé à mes frais et nous aurons enfin des réponses à nos questions.

Bobby :
- Dans ce cas c'est parfait ! Je rentre à Londres après-demain, je te laisserai mes coordonnées pour suivre l'évolution de l'enquête.

Nathalie :
- Ne t'inquiète pas, je te tiendrai au courant.

Ce plan leur apporte un regain d'espoir, mais l'enquête ne va pas s'avèrer facile.

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Merci d'avoir cette partie. J'espère qu'elle vous a plu.

- Que pensez-vous du comportement infidèle de Jacob ? Pensez-vous qu'il pourrait y avoir des répercussions ?

- Et que pensez-vous du plan mis en place par Bobby ?

AVIS&VOTES
Bye🖐