Le réveil vient de sonner et tout doucement Olivia s'éveille. Elle se redresse et s'étire avant de jeter un œil aux notifications de son téléphone.

Ensuite, elle sort de son lit et se rend dans la salle de bain de son petit studio.

Puis elle prend sa douche, se brosse les dents, se bat avec ses cheveux et par se servir un verre de lait.

Soudain, la porte sonne. Elle se demande qui pourrait bien se pointer chez elle à sept heure du mat'.

Elle regarde dans le judas, sourit et ouvre l'entrée.

Olivia :
- Coucou mon coeur ! Salut-elle en étreignant Kris.

Quelques secondes plus tard, il se détache.

Kris :
- Je t'ai ramené des cupcakes tout chaud.

Cette attention à le don de faire rougir la rouquine.

Olivia :
- Mais il ne fallait pas.

Kris :
- Bon c'est pas que je m'impatiente, mais tu pourrais m'inviter à rentrer.

Olivia :
- Euh oui ! Excuses moi.

Il rentre et elle ferme la porte derrière.

Kris :
- Ça fait trois jours qu'on ne s'est pas parlé. Je croyais que tu me faisait la tête.

Olivia :
- Bah non. Je ne vois pas de raison à ça. Pourquoi ?

Kris :
- À cause de la dernière fois...

Olivia :
- Oublié depuis très longtemps.

Kris :
- Alors je peux t'embrasser sans me prendre une baffe ?

Olivia :
- Mais biensûr !

Ils s'embrassent passionnément comme si ils avaient oublié le goût d'un baiser.

Kris qui avait les mains posées sur les hanches de la jeune femme, descendent dangereusement pour se faufiler jusque sous sa serviette.

Olivia stoppe immédiatement le baiser.
- Désolé chou. J'ai pas le temps. Moi j'ai cours tu sais.

Kris en est embarrassé. Olivia lui avait vraiment manqué. Il s'était senti très mal après son départ l'autre jour, il avait eu peur de l'avoir blessé.

Ce qu'il redoutait le plus, lui était arrivé. Il était tombé amoureux d'une cible.

Continuant sa routine, elle s'habille et finit son verre de lait. Elle croque dans un cupcake avant de prendre la parole.
- Hey bae ! L'interpelle-t-elle.

Kris qui regardait dans le vide reviens subitement à la raison.

Olivia :
- Comme on a pas trop passé de temps ensemble, tu peux m'accompagner jusqu'au campus. Ça nous fera une "petite sortie". Dit-elle en mimant les guillemets.

Il se contente de sourire à proposition. Elle fait de même et ils sortent tout deux du petit appartement.

Et alors qu'ils étaient dans le bus. Le jeune homme a une idée qui lui trotte dans la tête.

Kris :
- Mon cœur ?

Olivia se tourna vers lui.

Kris :
- Je sais que ça ne fait pas si longtemps qu'on sort ensemble, mais j'aimerais que l'on aménage ensemble.

Olivia :
- Aménager ensemble ?! Répète-t-elle très peu convaincue.

Kris :
- Bah oui.

Olivia :
- Tu sais très bien que c'est impossible. Kris, je n'ai que 18 ans. Là tu me propose l'aménagement, après ça sera quoi ? Le mariage et les gosses ?!

Kris :
- Mais à quel moment j'ai parlé de mariage et d'enfants ?! Tu veux pas t'engager c'est ça ?

Olivia :
- J'ai 18 ans. Je dois me concentrer sur mes études. Et en plus, ça ne fait que deux mois ! Tu vas beaucoup trop vite.

Kris sent bien qu'il a refroidi Olivia avec sa question. Elle a l'air plutôt agacée qu'autre chose.

Ils arrivent enfin à l'arrêt près du campus et ils descendent. L'étudiante marche devant. Son petit ami la rattrape.

Kris :
- Olivia...

Olivia :
- Laisse moi. Tu m'as saoulé là. Dit-elle en mouvant son bras pour qu'il l'a lâche.

Le jeune homme reste en plan, respectant le choix de sa bien aimée.

La réalité c'est qu'Olivia avait peur. Elle est terrifiée à l'idée de se retrouver coincée dans une relation.

Ce qu'elle voulais c'était des relations de temps en temps et ne pas arrivée à un engagement.

Pour elle, le mariage et les enfants étaient une prison. Elle l'avait bien vu en regardant la vie de sa mère.

Une femme vingt quatre heures sur vingt quatre au domicile et à s'occuper de la maison, pendant que son père passait tout son temps dehors. Il était libre, lui, au moins.

Olivia ne se voyait pas en arriver là. L'envie de rompre avec son petit ami lui paraissait être la meilleure solution.

Après sa journée intense de cours, elle prend son téléphone et lui envoie un message.

Désolé Kris mais s'en ai trop pour moi. Je ne voulais pas d'attachement et c'est ce qui est en train de se passer. Alors je te quitte.

Au même moment...

Celà fait trois jours que Linda est seule au manoir. Elle est toujours exemptée de toutes pratiques sexuelles. Elle en est plutôt réjouis.

Elle connais l'endroit comme sa poche et connais la majorité des domestiques et leur nom.

Alors qu'elle fait sa promenade à l'intérieur du bâtiment. Elle croise un personnage qui lui est familier. Elle accourt vers lui.

Linda :
- Jacob tu es enfin rentré ? Tu m'as tellement manqué. Dit-elle en exagérant sa véritable pensée.

Ce dernier n'est pas d'humeur. Il ne répond pas et continue son chemin. La jeune femme, le suit.

Linda :
- Tu as fais bon voyage ?

Toujours pas de réponse. Celà commence à l'agacer.

Linda :
- Alors, pour votre femme et vos enfants ?

D'après Jacob, aucune de ses questions ne mérite de réponses. Ils arrivent près de la chambre.

Linda :
- Bon, je crois que vous avez besoin de rester un peu seul. Déclare-t-elle en voulant rebrousser chemin.

Voulant, parce que Jacob lui agrippe la main et l'entraîne dans la chambre. Elle perd l'équilibre, tombe à terre et elle se retrouve rouée de coups.

Elle gémit de douleur et lui supplie de s'arrêter. Elle est victime d'une violence sans nom. Il se déchaîne sur elle. Celà dure de longue minutes.

Jacob :
- SHIRLEY A RÉUSSI À QUITTER MA MAISON ! AVEC MON FILS !

Il lui donne un coup de pied dans la colonne vertébrale, puis dans la poitrine.

Linda :
- Je... J'EN SUIS DÉSOLÉE ! ARRÊTE MAINTENANT ! Hurle-t-elle les larmes aux yeux.

Il l'a redresse et lui asséne une puissance gifle lui faisant regagner le sol. Elle tient sa joue en pleurant davantage.

Un goût métallique se répend dans sa bouche.

Après s'être défoulé, sur la jeune femme, il l'a dépose sur le lit puis la déshabille à la hâte.

Il retire son pantalon et libère son engin pour ensuite lui rentrer dedans. Jacob ne fait pas l'effort d'être doux, il est plutôt brutal, bestial.

Linda pleure toujours autant, elle ne comprends pas ce qu'il a bien pu se passer dans la tête de cet homme.

Enfin, elle ne pensait pas que le départ de ses enfants et de sa femme le rendrait ainsi.

Soudain, l'air commence à avoir du mal à rentrer dans ses poumons et elle halette, suffoquant presque.

Cette fois-ci, Jacob n'en a que faire de ses "foutue" crises d'asthme. Il continue de la pilonner jusqu'à atteindre l'orgasme.

Mais lorsqu'il termine, Linda a perdu connaissance.

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Voici le début du nouveau chapitre.
J'espère qu'il vous aura plu.

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