Je vis ce Jungkook entrer dans sa loge pour se changer.

J'entrai doucement et fermai la porte derrière moi. Le jeune homme se retourna, énervé :

« Pourquoi entres -tu ici ? Ne vois-tu pas que je me change ? »

Je sortis un couteau de ma poche et je lui souris. Sa voix remplie d'arrogance allait être éteinte dans sa gorge à jamais. Ce n'était qu'une question de secondes, oui de secondes car je n'allais pas trainer.

Il paniqua en voyant le couteau.

 « Que . . . que fais-tu ? me questionna -t-il, effrayé. »

Il trébucha au sol. J'aimais la réaction des personnes que je tuais : les yeux écarquillés, le front dégoulinant de sueur, leur voix chevrotante, les membres de leur corps tremblants et leurs supplications.

«  Tu n'aurais pas dû insulter mon ami. »

Je levai ma main, préparant mon coup.

«  Non, s'il te plaît, pardonne -moi ! »

Et je lui assénai le couteau dans la gorge. Du sang coulait abondamment et me tâchai.

Quand je me retournai, je vis Bukhawul, horrifié.