Chapitre 2
L'avion plane depuis un bon bout de temps, celui qui le pilote contrôle si il n'y a rien de suspect sur la Manche, cette barrière d'eau qui permets la sécurité du Royaume-Uni. Depuis un certain temps les avions ont été avertis qu'une attaque surprise Allemande d'une extrême violence a été déclaré, donc depuis trois jours, il fouille par voie aérienne la Manche. Seul la mer est présente à perte de vue, seule elle, silencieuse et à la fois mélodieuse. Quand tout d'un coup, le pilote pivote l'avion sur le côté et fonce en direction d'un bateau militaire à moitié détruit, il plisse les yeux et aperçoit des soldats entrain de faire des gestes, des survivants. Il pose l'engin doucement et sort de l'avion.
_ Soldats je viens vous ramener à bord mais où sont les autres.
_ Oh merci je suis le soldat Edwin et voici le soldat Horan.
_ Mais... il est blessé, il se précipite sur le soldat.
_ Ne vous inquiétez ... pas.
En effet, le soldat Horan est allongé au sol le bras en sang, son esprit est clair par chance, mais pour combien de temps ? Voilà la question que se pose le pilote. Le soldat Edwin dit qu'il est blessé depuis la bataille soit depuis trois jours, mais qu'il a réussi à se maintenir éveiller.
...
Un, deux, trois, voilà ce qu'on entend depuis les tentes. Le caporal Styles et le caporal Sylver dit Styles sont entrain de discuter d'un plan d'attaque malheureusement les généraux ne semblent pas vouloir attaquer, pourtant les soldats sont tous prêt et cela les énervent un peu de devoir attendre sans passer à l'action, ils sont prêt mais ne peuvent rien faire, alors que les Allemands se pavanent toujours en France, laissant Annabeth et tous les autres en danger. Harry serre les poings, Ephyre pose une de ses main sur l'un des poing de Harry.
_ Harry elle va bien j'en suis sûre.
_ Je le sais, marmonne-t-il, j'ai sa lettre, il lui donne la feuille.
_ Mm... Je vois et bien vos rapports sont euh...
_ Non je ne suis pas amoureux !
_ Je n'ai jamais dis ça, il rit, tu viens de le dire et de le penser sans que je te le dise.
_ Disons que moi et Annabeth on s'entend très bien... Je veux dire qu'on a les même euh façon de parler tu vois le genre.
_ Harry tu t'embrouilles si j'étais toi je me stopperai avant de te griller !
_ Oui bon ça va.
_ Que vas-tu lui répondre ?
Le jeune homme lance un faux regard noir à son ami, oui il va répondre dès maintenant même, mais il espère qu'elle va bien, malgré les enfoirés d'Allemands qui la touchent ou la relookent sans que je ne peux rien faire. Il prend une feuille de papier, attrape un stylo et commence sa rédaction.
Cher A,
Je conçois que cela doit être difficile la vie dans ton pays, oui je vais bien j'en suis ravi que toi aussi tu te portes "bien". Ma pauvre j'espère qu'ils n'ont que regardé et qu'ils ne t'ont rien fait. Et bien je crois que tu te trompes, je ne suis plu le petit bébé comme tu dis, je suis un homme et j'étais un homme avant. Toi j'espère que tu es toujours aussi déterminée, têtue, mais aussi belle.Ceci est surement la dernière lettre enfin peut être, porte toi bien jusqu'à qu'on se revoit.
H.
Le soldat donne la lettre à son ami, qui la lu avec un sourire en coin et narquois, roh ce qu'il pouvait être agaçant quand il se comporte comme ça, pense Harry dans sa tête. Il regarde Ephyre mettre le papier dans une enveloppe, il se lève de la chaise et le donne à un coursier qui justement passé par là. Harry et Ephyre se regardent déterminé, tout deux sentent que la bataille est tout proche et ils sont prêt oui prêt à affronter une dernière fois les Allemands, pourquoi ? Pour venger tous les hommes tombés au combat.
...
De l'autre côté de la Manche, un Allemand joue tranquillement avec son chien, un énorme chien de race Allemande, on l'appel le Berger Allemand, ils jouent au bâton. Ils ne semblent pas se préoccuper de ce qu'il peut se passer. Tandis qu'un peu plus loin, un supérieur tenant une canne donne des instructions précises.
_ Je veux 6 000 000 de plus est-ce clair ?
_ Mais nos troupes sont fatigués...
_ Je ne veux pas entendre de sottises soit on est soldat et on se bat soit on est soldat et on meurt !
_ Bien Général.
_ La bas sur l'autre côté des bateaux armées d'hommes et de poudres, des avions peuvent débarquer d'un moment à l'autre je ne veux pas qu'il franchise se mur me suis-je bien fait comprendre ?
_ Oui.
_ Oui qui ?
_ Général oui mon Général.
_ Bien.
Ils continuent leur discussion tantôt, le Général rejoins la base de donné car il a reçu un appel d'un de ses collègue. Une femme lui tend le téléphone, il le prend et le colle à son oreille.
_ Oui.
_ ...
_ Quoi encore ce poème ?
_ ...
_ Mon ami vous déraillez complètement ce n'est qu'un poème de bonne femme depuis l'année dernière...
_ ...
_ Ecoutez dormez la nuit et essayé de ne pas penser à de tel stupidité merci. Mes salutations Général Marshall.
Il raccroche en se mettant à ricaner, un poème de bonne femme, n'importe quoi, il sait que la bataille fait un peu peur, mais de là a croire un poème de bonne femme, non c'était un peu trop pour le supérieur qui rejoint sont bureau pour travailler dans le silence.
...
Un regroupement de soldat se forme sur le camp, Harry regarde à travers sa tente les soldats qui courent en direction de l'entrée, il sort et demande à un soldat ce qui se passe, il lui informe que la division 73e a deux survivants, Harry lâche tout et court, il connait cette division, puisque il s'agit de celle de Niall Horan, son ami disparu, il court et pousse les soldats pour être devant, quand il voit Niall allonger sur un brancard, il marche à une allure rapide, il aperçoit derrière Tom. Non impossible non, il le croyait mort pourtant, il s'approche et lance.
_ Mais Tom tu es mort !
_ Non j'ai survécu.
_ Comment ?
_ Je ne sais même pas.
_ Mon dieu, il se jette dans ses bras, je suis si heureux de te revoir.
_ Moi aussi H.
Il se détache de son ami et court rejoindre Niall dans l'infirmerie, on le stoppe et le fait attendre dans la salle d'attente avec son mécontentement. Il commence donc à faire les cents pas.
...
A Caen, on a entendu qu'une exécution de prisonniers résistants est prévue, les Allemands s'en réjouissent et le clan résistant lui en pleure intérieurement. Annabeth aussi forcée que les autres regarde la scène se dérouler. La Marseillaise résonne comme une mélodie.
_ Allons enfants de la Patrie
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé
Entendez-vous dans nos campagnes
Mugir ces féroces soldats?
Ils viennent jusque dans vos bras.
Égorger vos fils, vos compagnes!
Aux armes citoyens
Formez vos bataillons
Marchons, marchons
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons
Les Allemands arrêtent directement ce chant interdit lassés surement, avec leurs tirent sur les prisonniers qui tombent mort comme des mouches, mais dans la gloire selon Annabeth, dans le courage également. Elle se jure intérieurement de les venger.
...
De l'autre côté, Niall se porte on ne peut mieux, les infirmiers lui ont fait un bandage, Harry veille sur lui depuis au moins une heure et il finissent la journée comme ça, heureux de se retrouver.
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