Chapitre 17
Pdv T-p:
Je suis rester une bonne partie du temps auprès de Kota et Izuku. Mais notre professeur nous a ordonnés d'aller se coucher.
T-p: Il va se rétablir ?
Izuku: t'es inquiète ?
J'ose légèrement mss épaules.
Une autre figure fait face à nous.
Shoto: vous étiez où ?
Izuku: on est rester avec Kota.
Il me regarde quelques instants dans les yeux, il semble gêner.
Shoto: T-p tu... Non oublie.
Il reprends sa marche en passant à côté de nous, je regarde le vert et il ne comprends pas l'attitude de son ami. Il hausse les épaules et m'accompagne jusqu'à ma chambre où se trouve les autres filles.
Izuku: si tu fais un cauchemar ou tu ne te sent pas bien ma chambre est juste à quelques mètres.
Je hoche de la tête pour lui montrer que j'ai compris, un silence s'installe quelques instant. Je vois qu'il hésite mais pourquoi ?
Il s'avance légèrement vers moi et m'entoure avec ses bras, je ressert mon étreint et il émet un petit hoquet de surprise lui aussi il en a besoin. Cette chaleur... Elle est si agréable, nostalgique et tonique.
Nous nous séparons et il me regarde en souriant.
Izuku: bonne nuit petite sœur.
Petite sœur... Je ne suis plus une amie ? Mais un membre de sa famille. Il se retourne et part vers sa chambre, j'avance d'un pas mais je suis incapable de bouger plus. J'ai besoin d'une réponse. La porte s'ouvre d'un coup ce qui a pour effet de me faire sursauter.
Mina: T'es enfin là ma C/c-nette! T'as raté un de ses truuucs !!
Elle m'entraîne dans elles sont toutes vêtus de leurs pyjamas.
Mina: sa va être génial ce soir !
Dit Mina en mettant ses mains sur mes épaules un grand sourire aux lèvres.
Toru: soirée pyjama entre filles !
Kyoka: tu peux aller te mettre en pyjama T-p.
Je la remercie et la rose me lâche pour que j'aille vers ma valise et récupère mon pyjama. Je me retourne et les filles respectent mon intimité, je me dépêche tout de même pour ne pas les faire attendre une fois fini je me dirige vers mon futon.
Tsuyu: il est long ton pyjama tu vas avoir chaud.
T-p: ça ne m'embête pas.
Ochaco: je vais retrousser tes manches au moins.
Alors que ses mains allait attraper mes avants bras je recule.
Ochaco: désoler tu ne veux pas ?
T-p: je veux pas vous effrayer.
Momo: écoute moi T-p, tu ne pourras pas nous effrayer parce que tu es notre amie !
Ochaco: tu peux compter sur nous quoi qu'il arrive.
Je me détends et lâche un long soupire, je suis sûre que le Major aurait aimer que je leurs fasse confiance. Je regarde Uraraka en tendant mes bras elle me souris et retrousse mes manches. M'en bras recouvert de quelques cicatrices de fusil ou de monsieur Okada. Uraraka à l'air tourmenter mais elle se reprends et me sourit tristement.
Je sais qu'elles regardent mes cicatrices et cela me perturbe énormément, Uraraka passe son bras autour de mon cou pour que je sois coller à elle.
Ochaco: ne doutes jamais de toi.
C'est une phrase que pourrait me sortir le Major, je la regarde avec admiration. Les filles discutent de divers sujets : les garçons.
Après une heure je commence à somnoler.
Tsuyu: on devrais aller se coucher T-p commence à s'endormir et demain on ne sera pas en forme.
Mina: t'as raison. Extinction des feux !
Je me relève avec difficulté et nous partons nous glisser chacune dans notre futon.
"les enfants je vous présente votre nouvelle camarade, T-p Okada"
Les enfants me regardent intrigués et étonner par mon nom de famille. Ils sont âgés de 5 à 7 ans.
Je me cache derrière les jambes de l'institutrice pour ne pas faire face aux regards.
"tu peux aller t'asseoir devant."
Je ne bouge pas, j'ai trop peur. La femme passe sa main derrière mon dos et me pousse jusqu'à une table libre. Une fois que je suis assise elle reprends son cour.
Quelques minutes passe jusqu'à ce qu'elle me demande de lire.
Je ne comprends pas, je n'y arrive pas. J'ai l'impression que toutes les lettres sont changés ou elles prennent une forme bizarre.
Je regarde l'éducatrice et je fait un signe négatif de la tête.
Les chuchotements s'accroître dans la salle.
"elle fait partie de la famille des Okada pourtant"
"c'était presque sur qu'elle ne savait pas lire cette adopter"
"il paraît qu'elle aurait été trouver dans les bas-baffonds d'un village"
"elle ne sait Toujours pas lire à son âge"
Je me sent idiote, ses enfants aussi sont issus de familles riches mais pas plus que les Okada. Ils sont étonnés qu'ils ne m'est pas transmis de savoir.
Si ils savaient ce qu'il se passer entre ces quatres murs.
Dans la cour, aucun enfants ne voulait m'approcher ils me dévisager tous.
Avez T-ils peur ? Je ne le serais jamais.
Je remarque un point d'eau, je me dirige vers celui ci. J'actionne le robinet et l'eau commence à couler, je joins mes mains afin de l'abreuvoir mais le jet se dirige vers une fille juste à ma gauche.
Elle proteste, ses vêtements sont trempés ainsi que sa chevelure brune et rousse aussi.
"t'as un alter ?! Qu'est ce que tu fais ici alors ? Tu as fait exprès d'arroser mes vêtements !"
Je la regarde, je ne sais pas quoi répondre. Elle s'avance vers moi et plonge ma tête dans l'eau qui restait dans la fontaine quelques secondes sans que je ne me débate. Elle part avec son groupe d'amis et me laisse moi et mes cheveux trempés.
La journée fini, les enfants retournent auprès de leurs parents, je cherche Akina du regard et elle balance son bras droit afin que je la remarque elle est avec une autre femme. Elle me sert dans ses bras et touche mes cheveux.
" pourquoi est tu trempé ?"
J'ouvre la bouche mais rien ne s'échappe apart des bulles d'air. Ma vision se trouble et Akina a disparu, je me sent enveloppé dans l'eau retenu part quelque chose ou quelqu'un. La petite fille
que j'avais accidentellement aspergé me retiens et je me débat mais rien n'y fait. Je commence à m'étouffer, l'eau rentre dans mes poumons alors que j'essaye de hurler. Je vais mourir noyer ?
Je me réveille en sursaut, je suis dans la chambre. Je touche mes vêtements pour voir si ils sont trempés.
Ma respiration est haletante, trop même je ne peux pas demander de l'aide elles dorment toutes. Je m'efforce à bouger vers mon sac pour prendre ma ventoline.
Je rampe sur le sol et J'ouvre la fermeture éclair qui est le seul son qui résonne dans la pièce accompagné de mes respirations saccadés.
J'utilise ma ventoline et essaye de me calmer, c'etait un cauchemar...
Après m'être calmer je récupère une feuille et un stylo et me dirige vers la porte. Le couloir est sombre et silencieux, je passe devant la chambre des garçons je colle mon oreille pour entendre si tout le monde dors. Ils ronflent.
Je continue ma route et je vais dans le grand salon afin de m'installer sur une table et écrire cet affreux cauchemar. Après avoir fini, je décide d'aller prendre l'air dehors.
L'air frais absorbe mon visage, je respire profondément et calmement. Sa fait du bien, je me dirige vers l'herbe mes pieds nus charmer les fines herbes.
Je m'assois sur le sol mon cauchemar toujours en main avec mon stylo et ma ventoline. Je lève la tête et observe le ciel étoilée c'est magnifique. Je n'ai jamais vue cela, même pas avec ma mère ou Akina et rarement dans l'armée. Je m'allonge entièrement sur sur l'herbe pour admirer ce magnifique spectacle. Au fur et à mesure que je regarde cette constellation les étoiles prennent différentes formes. Je cite celle que je connais grâce au savoir du Major:
"La grande Ours"
"la petite Ours"
"Cassiopé"
? : qu'est ce que tu fais ?
Je me redresse surprise et fait volte face, Todoroki se tient debout ses cheveux bicolores sont légèrement en bataille et flotte faiblement avec la douce brise de vent. Ses yeux vairons son légèrement renfermé, je le regarde de haut en bas et je remarque que mes bras ne sont pas recouvert de mon tissu. Je les cache immédiatement et je me recroqueville sur moi même. J'entends le bigarré s'approcher de moi et il s'assoit à côté de moi.
Shoto: tu veux pas parler ?
T-p: j'ai fais un cauchemar alors je regarde les étoiles.
Shoto: il parler de quoi ton cauchemar ?
Je baisse la tête, je ne veux pas lui dire.
Shoto: désoler je ne voulais pas te-
Je lui tends ma lettre et il est surpris mais la prends tout de même. Ses yeux parcours les lignes et quand il a fini il me la redonne.
Shoto: ça devait être un cauchemar angoissant.
Je hoche de la tête en signe d'approbation. J'entends un soupir de la part de Todoroki qui s'allonge entièrement au sol, je fais de même et silence s'installe.
Shoto: tu citais des noms d'étoiles il y a quelques instant ?
T-p: oui c'est le Major qui me les a appris.
Shoto: tu peux m'apprendre quelques trucs ?
Lui apprendre ? Je tourne ma tête vers lui et il fait de même, nous nous regardons quelques secondes qui me paraît une éternité je me plonge dans ses yeux apaiser par leurs couleurs.
T-p: le premier truc que m'est appris le Major est, pour repérer l’étoile polaire est de chercher la Grande Ourse.
Shoto: donc l'étoile polaire ici est juuuuste... Là !
Il pointe son doigt vers la voile lactée. Je hoche de la tête après avoir vérifier sa réponse.
T-p: pour trouver notre latitude dans l'hémisphère nord ont peut utiliser Polaris.
Shoto: comment on trouve Polaris?
Je lui pointe du doigt comment trouver Polaris qui est l'étoile la plus lumineuse de la constellation de la Petite Ourse. Après avoir compris il me pose une autre question.
Shoto: c'est quoi l'étoile la plus brillante ?
T-p: c'est Sirius, on peut très bien la voir pendant les soirs d'hiver, elle scintille de toutes les couleurs au-dessus de l'horizon sud dans la constellation du Grand Chien.
Shoto: le Major Yukimura t'as appris un tas de truc.
T-p: oui...
Un autre silence s'installe, je l'entends de retourner vers moi je fais de même et nous nous regardons dans les yeux. Les siens ont l'air vivant comparés au miens. Une question me brûle la langue depuis un moment.
T-p: comment a-tu eu cette cicatrice ?
Il a l'air surpris par ma question.
Shoto: c'est ma mère qui me l'a fait en me versant de l'eau bouillante, elle avait peur de moi à cause de mon côté gauche qui appartient à mon père. Il soupire et se remets à regard le ciel tout en passant une de ses mains dans ses cheveux. Je ressemble à rien avec. Je suis horrible.
Je me raasois sur l'herbe tout en le regardant.
T-p: non. Je trouve que t'as cicatrice te donne un air de soldat fort qui a traversé beaucoup d'épreuves. Alors non Todoroki tu n'est pas horrible.
Je me penche légèrement vers lui pour planter mes yeux C/c à ses prunelles grise et bleue. Il vire au rouge et chuchote des mots incompréhensible. Il se relève et je me décale, une fois sur ses deux pieds il soupire et se retourne vers moi un sourire qui me réchauffe le cœur il me tends sa main.
Shoto: T-p, traversons les épreuves d'aujourd'hui et de demain... Ensemble.
Sans que je ne comprenne mon cœur commence à battre irrégulièrement. J'ai déjà connu des personnes douces avec moi qui s'y prennent comme Todoroki: maman, Akina, le Major, Yugo...
Cette chaleur dans mon âme, qui me fait sentir vivante.
Je tends une main timide vers lui et nous restons comme cela pendant de longues minutes. Je commence à me fatiguer et cela se fait alerter par un baillement, Todoroki rigole légèrement.
Shoto: on devrais aller se coucher, j'te raccompagne.
Une fois devant ma porte le bicolore me chuchote.
Shoto: dors bien, bonne nuit.
Il se retourne mais je prends l'initiative de la prendre dans mes bras, pourquoi je me comporte comme ça avec lui ?
Il me relâche après quelques secondes et je repars dans mon futon et je m'endors accompagné des ronflements de Ashido.
Le lendemain nous sommes réveillés par les Hurlements de notre professeur. J'ai dû mal à me lever à vrai dire.
Ochaco: un peu d'aide ?
Les rayons de lumière qui rentrait dans la pièce reflète ses cheveux brun et illumine son visage pétillant, elle me tends la main et je la prends volontiers.
Nous allons dans le salon et un spectacle, que dis je, un zoo se dresse devant nous. Je me dirige vers le petit bonhomme vert qui essaye d'esquiver tout objet volant dans le ciel.
T-p: bonjour.
Izuku: oh salut T- aïe !
Un petit pain venait d'atterrir sur le sommet de son crâne bien évidemment c'est Kirishima et Kaminari, je me dirige vers c'est dernier.
T-p: pourquoi vous avez lancer un petit pain sur la tête de Izuku ?
Denki: on a pas fait exprès !
Eijiro: c'était pas notre cible, Midoriya est très gentil.
Ils ne l'ont pas fait exprès ?
Denki: c'était Bakugo qu'on voulait viser ne t'inquiète pas.
Aller viens pour nous faire pardonner on va t'aider à préparer ton petit déjeuner.
Le rouge pose sa main sur mon épaule et lève son pouce en l'air. Ils m'aident à choisir et ils ont un débat que je ne comprends pas.
Eijiro: Mais si en France ils appellent ça un PAIN AU CHOCOLAT !
Denki: Chocolatine c'est beaucoup plus chou et beaucoup plus court !
Eijiro: il manquerait plus que tu mettes le lait avant les céréales... Il frappe la paume de sa main sur son front.
Denki: bah oui pourquoi ?
T-p: qu'est ce que doit en conclure de votre débat ?
Eijiro: dit toujours pain au chocolat !
Kaminari frappe la tête de Kirishima et attrape mes deux épaules.
Denki: au grand jamais ne sort ses mots de ta bouche jeune fille innocente !
Qui croire ?
Kyoka: quand vous aurez fini de lui faire rentrer des âneries dans la tête vous pouvez nous la laisser ?
Jiiro se tient derrière moi et son visage exprime de la colère, ce qui effraye Kaminari et Kirishima.
Eijiro: hé hé bien sûre!
Denki: on a fini de préparer son petit déjeuner, aller tiens prends ta chocolatine et bonne appétit.
Eijiro: déguste bien ton PAIN AU CHOCOLAT !
Denki: SAVOURE TA CHOCOLATINE !
Jiiro tousse pour qu'ils arrêtent et ils repartent à leurs places. La violette viens vers moi un petit sourire au visage.
Kyoka: ils ne t'embêterons plus avec leurs débats inutiles, viens avec moi et les filles.
Elles m'ont garder une place et nous dégustons notre déjeuner toujours dans le silence de mon côté.
Toru: les 1-B vont venir nous rejoindre c'est génial n'est ce pas ?!
Ochaco: appart Monoma oui c'est génial.
Mina: je vais vous donnez un scoop, selon une discussion que j'ai entendu COMME PAR HASARD dans le couloir hier soir, nous aurons le droit à un test de courage.
Momo: oui oui comme par hasard à 21h00 alors que l'on devait toutes être dans la chambre.
Mina: mais non mais j'avais envie d'aller aux toilettes !
Tsuyu: dis le plus fort je crois qu'on t'a pas bien entendu.
Elles rigolent toutes après sa réflexion, Ashido plante ses yeux dorés dans mes pupilles C/y.
Mina: et quand je me suis levais je t'ai vue trembler légèrement T-p, tu avais froid ?
T-p: non j'avais fait un cauchemar mais ne t'inquiète pas je vais mieux.
Mensonge. Encore.
Nous discutons encore quelques minutes et après nous être préparés, notre professeur nous à prévu un entraînement différents pour chacun. Pour ma part je devais faire bouger une feuille de papier avec mon alter du vent. Je devais toujours faire attention que le vent naturelle ne l'emporte pas, c'était assez compliquer mais je réussisais quelques fois et mon enseignant était fière de moi.
Je suivais les filles jusqu'au vestiaires jusqu'à ce que je tombe sur un garçon avec une casquette rouge et son ballon. Kota. J'abandonne les filles et me dirige vers le brun.
T-p: qu'est ce que tu fais ?
Il lâche un léger "HIIII" et fait volte-face en me voyant il se calme.
Kota: oh c'est toi. Rien je joue avec mon ballon.
T-p: je me demander... Tu as un alter ?
Il hoche de la tête tout en faisant rebondir son ballon avec ses petites mains.
T-p: et c'est quoi ?
Kota: pourquoi tu veux savoir ?
Je hausse des épaules, peut être que je fais cela pour le connaître un peu mieux.
Kota: c'est l'eau. C'est nul comme alter.
T-p: je peux aussi contrôler l'eau.
Kota: oui mais tu peux aussi faire du vent t'as deux alters t'a de la chance.
T-p: non j'en ai qu'un, mon alter est les quatres éléments.
Il laisse sa balle tomber au sol et me regarde en chuchotant "stylé". Son regard est le même que j'avais quand je voyais le Major à l'œuvre. Un visage rempli d'admiration.
Kota: est ce que... Tu veux bien me montrer ce que tu peut faire avec l'eau ?
T-p: d'accord.
Je m'accroupis afin de me mettre à sa hauteur et je mets une mes mains paume vers le ciel afin de faire sortir quelque chose, mais quoi ? Qu'est ce que pourrais attendre un enfant ?
Je regarde le ballon puis Kota, une idée viens de jaillir un mini Kota footballeur avec mon eau. Le petit bonhomme cours tout jouant avec sa balle j'ai peu entendre des petits rires de la part du cadet. Je ne sais pas comment ni pourquoi mais cela me fait du bien de l'entendre rire.
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