Chapitre 1


TW: Certaines scène peuvent choqué. Ce chapitre (cette histoire tout simplement) est réservé à un public averti/mature. Bonne lecture :D







La jeune fille fut propulser dans la cage d'escalier par un homme grand. Elle dégringola les marche, sa mâchoire d'enfant se cognant contre celles-ci. Elle se releva avec difficulté, se tenant le bas de la joue. L'homme descendit les escalier et lui porta un coup de pied au visage. Elle chuta de nouveau, s'écroulant et gémissant de douleur sur le sol. Il posa sa main sur la tête de la fillette avant d'attraper une énorme mèche de cheveux et de la tirer, trainant la jeune fille jusqu'à une pièce vide. Il l'enferma dans celle-ci, lui portant un dernier coup dans l'œil et repartit.

Marcy regardait la porte, le regard vider de toute émotions. Elle n'avais même plus la force de penser. Elle s'endormit sur le carrelage blanc et froid de la pièce, continuant de se tenir le visage en grimaçant. Ses petites mains pleine de sang, cherchant à boucher ses blessures.

Le lendemain, elle se réveilla dans son lit, un goût amer dans la bouche. Il était assez familier pour elle, mais elle ne savais jamais pourquoi elle se leva avec le matin. Elle se tient délicatement la gorge, sentant un picotement.

-Il m'a encore drogué... Chuchota t-elle. Dieu seul sais ce qu'il à pu me faire encore.

Mais bon. C'était devenue son quotidien. Elle regarda sa fenêtre munit de plusieurs barreau de fer rouiller, avant de se lever en espérant que son "père" dorme encore. En réalité, ils n'ont aucuns lien de parenté. Marcy à été recueillit par cet individu à l'âge de 3 semaine, au bord d'une fontaine. Au début, il était très gentil, on pouvait croire que c'était un père exemplaire... Mais à l'âge de ses 4 ans...Les violences ont commencer.

Marcy marcha jusqu'au couloir pour vérifier la chambre de l'homme, sachant que c'était risqué. Elle y trouva son père, tenant une ceinture à clou. La fillette voulu retourner discrètement vers sa chambre, bien qu'elle se fut remarqué.

-Où vas-tu comme ça ? Demanda l'homme.

Elle ne fit pas un bruit. Marcy était figer devant le cadre de la porte. Son père l'a pris par le coll, lui donnant une gifle et nouant son corps faible avec la ceinture. Les clou de celle ci lui rentraient un peu dans la peau. Il l'a jeta brusquement dans l'armoire et l'enferma à nouveau.

Plusieurs heures plus tard, il ouvre enfin la porte, la fillette dépourvu de force s'écroule au sol sur les pied de l'homme. Il pose sa main sur son cou, remontant jusqu'à sa nuque et la traine de la chambre à la même petite salle carreler en lui tirant les cheveux.

Un autre individu se joint à la partie, donnant un coup de pied à la jeune fille comme si c'était qu'un vulgaire sac. Il l'a déshabilla, continuant de la frapper. Marcy se tordait de douleur.

-Tu peux la tripoté si tu veux. Faudra juste que tu me file le double de la somme de départ. Disais l'homme en s'adressant à l'inviter.

Celui-ci ne perdit pas de temps, il lui donna en main propre l'argent et regarda la fillette avec un sourire malsain. Il s'approcha d'elle, passant ses doigts sous son t-shirt. Il tira son oreille et lui griffa la cuisse, en serrant l'autre avec sa seconde main. Il retira ses doigts de la poitrine de Marcy pour les passer entre ses jambes. Il commença à baisser sa braguette quand l'autre l'homme l'interrompit.

-J'ai dis "la tripoté". Pas la pénétrer.

-Si je te donne le triple ?

-Non. Je veux qu'elle reste intact. T'en à assez ou t'as besoin d'autre chose ?

-Non merci je vais partir.

-Ok.

Il sortit de la pièce, Marcy se tenant l'entre-jambe comme si elle essayais de se protéger.

-Salope va... Dit son père avant de lui donné un coup de pied dans le bas du ventre.

La fillette se leva avec difficulté, visant l'homme avec un regard noir. Elle se jeta sur lui, avec le peu de force qu'elle avait. Il l'a repoussa avec son genou, l'a faisant tomber sur la tête contre le carrelage froid. Le sang coulant de son nez, elle retenta une attaque. Il l'a propulsa plus loin comme un vulgaire objet et se retourna pour partir. Elle se releva à nouveau. Cette fois ci, l'homme sentait que la température ambiante avait changer. Il faisais beaucoup plus froid. Il se tourna pour regarder Marcy, stupéfait par sa vision.

Marcy se tenait debout, des courants d'airs ascendants venant d'elle. Les paumes de ses mains brillaient d'une lumière bleu puissante. Le peu de vêtement qu'il lui restait se décomposait, laissant apparaitre une membrane épaisse noir mate recouvrante ses parties intimes, ses bras et ses jambes. Les lumières entre ses mains grandissait de plus en plus, brulant à vif l'homme. Son cadavre carboniser sans peau s'écroula sur le sol, de la fumé en jaillissant.

Marcy repris ses esprit avant de s'endormir encore une fois sur le sol.

Le lendemain, elle se réveilla avec sans aucun souvenir de la veille, seulement le corps de son père devant ses yeux et une odeur de chaire putréfier. Elle alla regarder les caméra de surveillance de la pièce. Depuis qu'elle connaissais les code de l'ordinateur de son père, elle les regardais tout le temps pour savoir ce qui ce passais pendant que son père la droguait. Elle alluma l'ordinateur, regarda attentivement les images à l'écran, grimaçant de dégoût sur certains passages. La terreur sur son visage fut lisible lorsqu'elle vit la mort de son père, ne comprenant pas ce qu'il se passais.

Son premier réflexe fut de cacher le corps à la cave, le tirant avec difficulté et le jetant violemment dans le escalier menant à celle ci. Elle couru se laver les mains et le corps, frottant péniblement sur ses cuisses, son entre-jambe, ou sa poitrine. Et resta toute la nuit dans la salle de bain en essayant de se purifier des actes horribles qu'elle à subit.

Le lendemain, elle est réveiller par une jeune femme au visage d'ange. Elle est confuse et regarde partout autours d'elle.

-Tu vas bien ? Disais la jeune femme.

-V..Vous êtes qui ? Dis Marcy d'une voie endormi. Elle était enrouler dans une serviette chaude et douce, couvrant son corps d'enfant.

-Ne t'inquiète pas, je suis là pour t'aider. Elle posa sa main sur l'épaule de la fillette pour lui faire une caresse. Marcy sursauta directement, tremblant de peur. La jeune femme retira sa main aussi-tôt et s'excusa.

-Q..Qui êtes vous ? Demanda à nouveau la petite fille.

-Je travail aux service sociaux. Pour les droits des enfants. Ta voisine m'a informé qu'elle avait entendu des cris venant de ta maison. Nous somme venues sachant que l'habitant de cet propriété à eu plusieurs accusations de pédophilie par le passer. Où est-il d'ailleurs ?

-Je sais pas... Disais Marcy en sachant très bien se qu'il lui était arrivé.

La femme donna un ordre à ses collègue qui fouillais le reste de la maison. Marcy ne l'avais pas bien entendu, sonner par la fatigue et le manque de nutrition de ses derniers jours. La femme l'a pris dans ses bras alors qu'elle était sur le point de s'évanouir et la porté jusqu'à une voiture noir. Elle installa la petite fille sur le siège avant, en replaçant correctement sa serviette pour éviter que son corps sois visible.

-On te trouvera des vêtement bientôt. Disais la jeune femme.

Marcy ne répondit pas. Elle était dans une phase de trans. Rien ne l'atteignait. Aucune information extérieur. Seulement elle et sa conscience. Elle regardais par la fenêtre, la maison dont elle n'est jamais sortie, dont elle n'a jamais vu l'extérieur.

Elle se réveilla 30 minutes plus tard, allonger des un lit douillet, habillé d'un pyjama à fleurs rose. La porte était ouverte, menant vers un bureau. Elle se leva, et marcha discrètement vers le cadre de la porte, observant l'extérieur. Elle vit la femme de tout à l'heure discuter avec un homme. Elle balaya du regard la chambre blanche et vide, s'approcha de la fenêtre et s'appuya dessus. Un pigeon se posa du côté extérieur de la fenêtre, fixant bêtement Marcy. Elle n'avais jamais vu d'oiseau. Dans la vrai vie en tout cas. Elle le fixa à son tour avec attention, fronçant un peu les sourcils se demandant si les oiseaux avais eux aussi une conscience ou une vie. Elle ouvrit la fenêtre et pris l'oiseau dans ses mains, le serrant fort contre elle.

"Papa avait dis que les oiseaux se mangeaient...Est ce que lui il se mange ?" Pensa t-elle. Aussi-tôt elle essaya de mettre la pauvre bête dans sa bouche.

La femme arriva dans la chambre, regardant Marcy essayer de dévorer le pigeon. Il y eu un silence malaisant entre les deux personne. La femme pris délicatement l'oiseau et le laissa partir par la fenêtre. Elle regarda à nouveau Marcy, l'air choqué et confuse.

-Papa à dis que les oiseaux se mange ! Disais la jeune fille.

-Faudrait le tuer et le cuisiner d'abord...

-Ah bon ?

-Bon, dépêche toi, je vais te présenter à ta famille d'accueil.

Elle pris doucement la petite fille par le bras, l'entrainant vers une autre pièce. Là bas se trouvais un jeune couple, l'air très aimable, qui attendais assis sur des chaises. Marcy les regarda confuse. Eux se contentaient de rigoler.

-C'est quoi une famille d'accueil ?

-C'est une nouvelle famille. Répondit la femme en désignant le couple. Tu vas vivre avec eux désormais.

Marcy s'approcha du couple en se méfiant un peu. Elle repris une posture normal et les fixa bêtement.

C'est ainsi qu'une heure plus tard, elle se retrouva dans la voiture de deux personnes qu'elle ne connaissais pas. Ils avais l'air gentil et chaleureux, mais elle avais du mal à leur accordé sa confiance.

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