Horror x Lust (suite)

Lust courrait, où ? Peut importe, il voulait juste fuir, fuir la réalité, fuir ses sentiments.

Tristesse
Rejet
Solitude

Les mots du cannibale résonnait dans son crâne encore et encore. Les larmes coulaient le long de ses pommettes et continuaient leur courses dans les airs. C'était douloureux, insupportable. Depuis quand avait-il des sentiments d'ailleurs ? Dans son monde c'est violé ou être violé, il n'aurait pas dû, il ne devait pas tomber amoureux, si quelqu'un venait à l'apprendre il se moquerait de lui. Alors il continurait de courir jusqu'à ce que la douleur s'efface, il n'avait que ça à faire de toute façon.



Il se téléporta partout, il l'avait insulter, il lui avait dit des choses horrible, il l'avait fait pleurer. Dans sa poitrine, son âme se serra en scannant les environs, personne, ici aussi. Pourquoi avait-il réagit de cette façon, Lust ne faisait rien de mal, il s'en voulait plus que tout parce qu'au finale, il était en tort, il était le monstre, il était celui qui aurait dû souffrir. Il continua de fouiller la timeline encore et encore, perdant espoir chaque instant tandis que son inquiétude grandissait dans son être. Parce qu'après tout, il l'aimait, il n'a jamais était fort en amour, laissant ses émotions le contrôler, laissant sa peur et son amour de côté et maintenant il avait tout gâché.





Le petit squelette se stoppa, le souffle coupé dû à la course puis entrecoupé à cause des larmes, il s'assit, il était seul, perdu, loin, loin de tout, c'était stressant, effrayant, apaisant comme il laissait sont esprit partir, comme il se coupé petit à petit du monde réel, les larmes coulé toujours, ça ne faisait plus mal, il ne sentait plus rien. Simplement un petit chaleur dans son âme apparut lorsque qu'il contempla la pupille rouge devant lui, ses dents collées au siennes, c'était doux. Sa faisait peur mais c'était doux, alors que les excuses arrivé jusqu'à son cerveau, le temps qu'il se reconnecte à la réalité tandis qu'une douce chaleur l'enveloppait. Plaisante étreinte, effrayante relation, il s'en fichait puisqu'il était dans ses bras. C'est tout ce qui compte.



Les larmes ont cessé.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top