Nous sommes maintenant en 1984, je venais d'entrer en classe de seconde. Tout était nouveau : les cours, les professeurs, les élèves et mon emploi du temps. La charge de travail était très élevée. J'avais peu de temps pour moi. Mais c'est au bout des premières vacances de l'année qu'une fête devait avoir lieu. Étant pas de nature fêtard, je m'étais refusé à l'idée d'y aller. En plus, je n'avais pas eu le temps de me lier d'amitié avec des personnes de ma classe à cause de la surcharge de travail. Mais un garçon de ma classe m'avait beaucoup surpris : il m'avait proposé de venir avec lui après les cours, à cette fameuse fête. Ne voulant pas lui faire de peine, je lui dis que je l'attendrai à la sortie.

Il s'appelait Yun-Daï et était coréen. Ce qui était rare au Japon dans ces années-là, d'avoir un étranger. Il avait des cheveux longs jusqu'au dos. Et il s'était fait une coloration blonde. Ses yeux sombres n'arrêtaient pas de m'observer en classe. J'étais assez gêné par cette situation. Mais je le trouvais séduisant, alors je me faisais un tas de film en m'imaginant ce qui pourrait arriver ce soir avec lui...

Ayant tenu ma promesse, je l'attendais à la sortie des cours. Il arriva avec une bande d'amis que je ne connaissais que de vue. Mince... Il n'était pas seul. J'allais être gêné pour lui parler avec ce monde...

Le trajet se fit à pied et en bus. Je restais silencieux, même si j'avais fait l'effort de me présenter. La plupart étaient des filles. L'une d'elles s'appelait Mio et était dans ma classe. Alors que nous étions debout, au milieu du bus, je croisais son regard et elle me fixait avec un petit sourire, les joues rouges. Je devins à mon tour rouge, gêné par ce croisement de regard.

C'est alors que nous arrivâmes. Nous sortîmes et nous nous dirigeâmes vers la boîte de nuit qui faisait à la fois karaoké. Il faut savoir qu'au Japon, le karaoké est très reconnu pour passer de bonnes soirées entre amis.

Nous entrâmes à l'intérieur et la musique était déjà présente avec les jeux de lumières. Il y avait du monde sur la piste de danse et Yun-Daï s'avança vers moi et me proposa de boire. Nous allâmes vers le comptoir notre groupe et moi, et nous prîmes un verre de saké. Nous trinquâmes ensemble et Yun-Daï m'offrit un second verre, puis un troisième. Je commençais à sentir le monde tourner autour de moi. C'est alors qu'il me prend la main et m'emmène sur la piste de danse. Étant de nature timide, je n'aurai jamais osé aller à cet endroit. Sauf que là, je n'étais plus moi-même, je me sentais gai comme pas possible. Et mes pas de danse étaient incroyables ! J'avais l'impression d'être la star de la soirée !

C'est alors que je me déhanchais comme pas possible devant Yun et je sentis une main baladeuse sur mes fesses. Je fermai les yeux et je le laissai faire. Sa main se referma et venait d'empoigner une paire de ma fesse droite. Je penchais la tête en arrière et celle-ci tomba sur son épaule. Il me prit par le menton et me susurra quelque chose à l'oreille. Je le suivais sans avoir compris un seul mot.

Nous arrivâmes dans une petite pièce dédiée au karaoké. Il y avait des micros sur la table. Yun s'assit sur la table et il appuya sur mes épaules afin de me mettre à genoux. Il défit sa ceinture et l'enleva pour ensuite me la mettre autour du cou afin d'en faire une laisse. Il serra bien fort et baissa son pantalon ainsi que son caleçon, dévoilant un grand membre, tendu vers moi.

Avec les effets de l'alcool, je voyais comme un cône de glace et je l'entendais me dire : « Viens sucer ta friandise baby. »

Il tira sur la ceinture afin de m'approcher de son entrejambe. De mon côté, je penchais ma tête sur le côté et engoba directement sa friandise toute dure. La sensation était divine. Je sentais même les veines de son sexe conte mon palais et ma langue. Il me prit fermement par les cheveux et fit des vas et viens avec ma bouche. Je posais ma main sur la sienne pour lui dire d'arrêter et je mis mis à lui faire une gorge profonde. Il bandait tellement fort que je sentais son gland me toucher le fond de la gorge. Puis je fis des vas et viens bien rythmés. Je sentais son membre grossir en moi. jusqu'à ce qu'il lâche tout dans ma bouche.

- Voilà ton lait baby ~

J'avais les yeux fermés et je me contentais d'avaler cette semence légèrement amer avec une légère note sucrée. Lorsque je réouvris les yeux et sortis son sexe de ma bouche, je le vis haletant, les joues rouges.

- Tu t'en ai mis sur les lèvres petit cochon.

Il posa son pouce le long de ma lèvre inférieure et il commença à l'entrer dans ma bouche.

- Suce ta tétine baby.

Je pris sa main dans les miennes et me mis à lui sucer le pouce.

C'est alors que la porte s'ouvrit dans un grand vacarme. Nous n'avions même pas eu le temps de nous relever ou de cacher ce que nous faisions. Nous venions d'être pris au dépourvu. Et qui était donc cette personne qui venait de nous voir ?

                    
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