Prologue

Juliette

   Je marche depuis maintenant 1h dans la ville mon sac accrocher sur mon épaule droite et mon téléphone dans ma main, mes écouteurs enfoncer dans mes oreilles. Il fait nuit, le vent souffle très fort en plus de ça il commence à pleuvoir. Je peste, il me reste beaucoup de marche à faire sauf si, je passe par l'entrepôt en face de moi. Je n'aime pas passer par là, cet entrepôt est assez grand, une vingtaine d'étage, sombre, les fenêtres sont pratiquement toute explosées, il est rouillé, il y a des squatteurs et je n'ai pas envie de me faire violer, c'est une ancienne usine de blé, il a été racheter mais personne ne s'en occupe. Souvent le lieux est favoriser par des gens qui font de l'urbex. La pluie devient plus forte. Bon bah, j'ai plus le choix. J'entre dans l'entrepôt, lugubre et humide, on entend des gouttes tomber froidement par terre résonnant sur les fer rouillé dont est remplis l'entrepôt. Des éclats de voix se font entendre, curieuse je m'en approche, un jour je vais vraiment me faire tuer. Je m'approche et distingue deux silhouette dans l'obscurité.

- Tu es sûr de cette cible ? Demande l'un des deux homme, il est blond, plus petit que l'homme d'à côté

- Tu es entrain de remettre en question ce que je dis ? Lui répondis froidement l'homme d'a côté, il faut qu'il meure ce soir, mes hommes sont à ta disposition.

Ma gorge se noua. Un frisson parcourra violement mon corps. Je recule doucement mais trébuche sur une plaque de métal qui resonna dans tous l'entrepôt . Mes yeux s'écarquillèrent et ma bouche s'entre ouvris de surprise. Les deux homme se retournèrent brusquement dans ma direction l'homme à côté du blond se lève. Il est grand, des cheveux ébène assez court et décoiffer qui lui tombe légèrement sur le front. Ses yeux, sont d'une couleur de bleu jamais vue, ils me disent un truc je les aies déjà vue, un bleu sombre qui virent au noir quand ils rencontrent les miens. Sa carrure est imposante et ses muscles roulent sous sa chemise noire entre ouverte. Des tatouages courent sur ses avant-bras et un tatouages s'échappe du col de sa chemise. Ses vènes ressortent de ses avant-bras, il est terriblement sexy putain. Il sort un pistolet automatique de la poche de son pantalon noire.

- Je m'en occupe. Toi, part tu as des chose à faire, dit il a l'homme blond.

Ce dernier mis sa main sur son front et le salua en disant :

-Va bene capo. En Italien, puis part. L'homme qui tient l'arme est peut-être Italien vue son accent. Putain de merde, moi je le détaille pendant que lui réfléchi a ma mort.

L'homme en face de moi dégage une autorité assez puissante. Sa voix aussi ressemble a une voix que j'ai déjà entendu, et je préfère l'oublier.

Il va me tuer, la détermination est visible dans ses yeux, pourquoi faut-il que je me mette dans des situation comme ça. Je peux plus respirer.

Je suis tétanisée, mon sang se glaça lors qu'il braqua son arme sur mon front, je me retiens de pleurer mais une larme glisse toute seule sur ma joue, l'homme rit.

-C'est sa mia bella, pleure. Tu c'est que ce n'est pas bien d'écouter les conversations des autres c'est très impoli.

-Je... je vous... en supplie...je...ne dirais rien...je vous le jure, dis-je s'il vous plait

Il me regarda méfiant, baissa son arme et rapprocha sa tête de la mienne s'approcha dangereusement de mon oreille et me murmura doucement.

-Je te laisse la vie sauve, si tu en parle à quelqu'un je te retrouverais et cette fois je n'aurais pas la même indulgence, je te ferais regretter d'être venu au monde.

Il leva sa tête, les traits dure, une lueur de satisfaction passa dans ses iris, sans doute après avoir vue ma terreur, une mèche de cheveux tomba devant ses yeux, les miens, inconsciemment tombèrent sur sa bouche charnue, il était incroyablement beau mais incroyablement intimidant.

-Regarde moi en face, me murmura t-il de sa voix rauque en attrapant ma mâchoire pour me relever la tête vers lui, bonne fille . Ne fait pas de bêtise je n'ai qu'une parole.

Ses mots me firent frissonner, il se redressa me jeta un rapide coup d'œil puis parti, laissant mon corps secoué de tremblement . A cause de l'adrénaline du moment je n'avais pas remarquer que je mettais blessée. Mon corps s'écroula à terre et je resta immobile pendant ce qui me sembla des heures. Prise d'un violente crise d'angoisse je fondis en larme l'humidité ne faisait que renforcer cette impression d'étouffement mon corps tremblais de froid ? De peur ? De pleure ? Je ne sais pas. Je comptais, 1...2...3...4 ...1...2...3...4...

J'essayer de reprendre pied comme si j'étais seulement retenue à un bout de falaise sur le point de s'effondrer .

Je sais que je n'ai pas le droit d'en parler, mais il faut que j'en parle à quelqu'un, une personne de confiance, OH MON DIEUX je viens d'échapper à la mort, on vient de placer une arme sur le front et me menacer. Mon corps recommença à trembler mais cette fois je sais et c'est de peur.

Après mettre calmer je me releva et repris le chemin, il faisait entièrement noire, mon téléphone vibra : Alicia, ma colocataire et meilleure amie,

-Allo, Alicia ? dis-je d'une voix tremblante.

On se connais depuis des année, a vrais dire depuis la naissance. On a décidé d'emménager ensemble pour pouvoir se voir plus souvent, lorsque nous étions ado, elle habiter à 1h de chez moi, et puisque c'est grâce à nos parent que nous nous sommes rencontrés, on se voyais souvent on ne s'est vraiment jamais disputer en 19 ans d'existence. On s'insulter, mais toujours pour rire, quand on avait besoin d'aide on était là l'une pour l'autre, elle était toujours là pour moi, elle m'a sauvé au collège, lors ce que tout ça est arriver. J'avais des centaines d'appels manqué, et une vingtaine de messages d'elle aussi.

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