Chapitre 2
Juliette
Je me réveilla sur un lit assez petit, et sans couverture, je suis absolument gelée, dès que j'ouvris les yeux les couleurs fade des murs de cette prison me sauta au yeux et puis, toute les images de ce matin resurgissent. Je me leva en sursaut, et, un homme en uniforme bleu marine me pris par le bras.
-Lève-toi, me cracha-t-il en me tirant hors de la chambre. Nous longeâmes des couloirs assez grand, et nous atterrâmes dans une pièce assez spacieuse, et là, mon sang se glaça c'était lui, le mec d'hier. Il pris une grande inspiration et se leva, il me fit face, son regard noir planté dans mes yeux terroriser, il se rapprocha, nos nez se touchaient presque. Nos souffles s'entremêler, franchement je n'aurais pas rêver mieux pour mourir. Son parfum d'homme envahissait mes narines, il se pencha un peu plus, sa bouche a quelque centimètre de la mienne, il me pris la mâchoire et me releva la tête.
-Je croyais que tu étais une femme de parole, me murmura-t-il, j'avais confiance tu sais. C'est dommage, tu es jeune, belle, et tu as du caractère. Mia bella.
Il saisit son arme et la pointa sur mon front, je fixais ses yeux bleu, je ne sillais pas, je ne pouvais pas, avec tout ce que j'ai vécu ce n'est pas la mort qui allait me faire peur, si c'est moi qui l'aie cherché pendant des années. Il rechargea sont arme, et me la pressa un peu plus sur mon front avant de la déplacer jusque sur ma tempe.
-Mais. . . peut-être que tu pourrais accepter mon offre ? Me dit-il
Je ne répondis pas et il continua sa phrase sans que je l'aie demandé.
-Tu pourrais. . . peut-être, travailler pour moi ? Me murmura-t-il de sa voix rauque.
Mes yeux s'écarquillèrent
Mes yeux s'écarquillèrent, travailler pour lui ? Jamais. Je le fixais et ne décelais aucun manque de sincérité dans ses iris bleu. Lui aussi, me fixais il était putain de beau. Comme s'il il savait que je n'allais pas accepter, il commença à négocier :
-Si tu n'acceptes pas, rien ne me retiens de te tuer tu sais. . . M'expliqua-t-il, un sourire sournois sur les lèvres.
-Je m'en fous tue moi, je t'en prie te gêne pas. Dis-je en lui coupant la parole.
-. . .ou ton amie. Finis-t-il dans un souffle.
Je retins ma respiration, non, Alicia ne pouvait pas mourir, a cause de moi de plus. Je le regarda puis baissa les yeux, pour admirer mes pieds. Je me préparer déjà à l'absurdité que j'allais sortir. J'allais travailler pour un gars qui : m'as menacé avec une arme, kidnapper et menace moi et ma meilleure amie. Mais il est terriblement beau. Je releva les yeux et le fusilla du regard. Un sourire au coin de sa bouche apparu, ce qui fît redoubler ma colère. J'ouvris la bouche et accepta son offre.
-Je. . . Ok c'est bon. Dis-je en rebaissant les yeux vers mes pieds.
Il me pris le menton et me leva la tête, encore une fois.
-Redis ça en me regardant dans les yeux maintenant. Me chuchota-t-il.
-Je veux bien travailler avec toi. Dis-je en le regardant dans les yeux.
-Je n'ai jamais dit avec, j'ai dit pour. Me reprocha-t-il
-D'accord, je suis d'accord. Murmurais je.
-Tu vois quand tu veux. Me murmura-t-il sournoisement. Tu viens on va aller faire les papiers dans mon bureau mia bella. Me dit-il en se redressant il s'asseya sur la chaise de son bureau, et, me fit un signe de la tête pour que je m'assoie en face de lui. Je m'installa et il mis une feuille en face de moi.
-Tu as juste à signer, et c'est bon. Me dit-il. En me prêtant un stylo noir, je signa et releva ma tête vers lui.
-T'es une bonne fille quand tu veux. Me provoqua-t-il.
-La dernière fois que vous m'avez dit ça, je n'ai pas tenu ma parole, lui rappelais je, comment voulais vous me faire confiance. Hein ?
Il haussa ses sourcils et un rictus se forma sur ses lèvres charnue, il expira et se laisse tomber au fond de son siège.
-Tu peux me tutoyer tu sais, Juliette. Me répondit il.
-Vous. . . Tu n'as pas répondu à ma question. Et c'est quoi ton nom à toi. Lui demandais je.
-Tu n'as pas à me donner des ordres, et c'est simple, si tu ose me trahir alors Alicia en paira les conséquences. C'est clair ?
Je ne répondis pas
-Est-ce clair pour toi. Dit-il en haussant le ton, je détester que l'on hausse le ton surtout pour me parler, une larme coula sur ma joue. Pendant que je hocha la tête.
-Parfait. Il se leva, fît un signe de tête à l'un de ses hommes qui s'approcha de moi et me saisi le bras et me força à me lever. L'autre malade me regarda.
-Noah. Me dit-il.
-Quoi ? Demandais je étonner.
-Mon nom, Noah. Me répéta-t-il.
-No.ah. Dis-je, se nom, Noah, mon première amour de lycée, incroyable.
-Bonne nuit. Dit-il en partant de la salle, l'un de ses hommes me tenais toujours le bras. Je me tourna vers lui.
-Vous me faites mal, lui reprochai je, ma phrase eu pour effet qu'il ressert son emprise sur mon bras, mais quel clochard. D'un coup de bras je me dégagea et lui fît fasse.
-Tu me faisais mal, connard. Lui dis-je d'un ton cinglant, et pour info, moi, contrairement à toi, je ne suis pas conne, j'ai appris à marcher toute seule donc pas besoin d'avoir un débile pour marcher.
-Ferme là, me répondit il, t'es pas là pour nous donner des ordres.
Je marcha vers la sortie en râlant, Noah le malade, ça sonnais bien quand même. L'homme me poussa vers une sorte de chambre, un cagibi ou je ne sais qu'elle pièce.
-Demain je viendrais te chercher a 8h, tu devra manger avec nous et Noah organise une réunion pour la prochaine mission qu'on doit faire, sâche que tu es non seulement la seule fille et la plus jeune, mais en plus tu habites sur place donc prépare toi mentalement. Me dit-il avant de quitter la pièce.
Je me tourna vers ma magnifique demeure, ok alors une fenêtre, un lit, une couverture et un oreiller. Waouh, du grand luxe pour cette maison qui doit devoir des sommes d'argents que je ne peux imaginer. Les murs sont gris, certains possède de petites fissures, une sorte de petite porte attire mon attention, je l'ouvre et découvre une petite salle de bain, une douche a l'Italienne avec des shampoings, du savon et tout le nécessaire pour se laver. Un lavabo est accrocher au mur, en dessous s'y cache de petit tiroir où se trouve des serviettes, du dentifrice, des brosses a dents et. . . Du maquillage ? Attend quoi !? Dans le deuxième tiroir il y a des masques du maquillages des gloss ! Mais il m'on pris pour qui ! Qui se maquille après avoir été séquestrer. N'importe quoi. Je retourna dans la chambre sans fouiller le 3ème tiroir je m'affala sur le lit, plutôt confortable. La fatigue pris le dessus et je m'endormis .
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