Chapitre 1

Juliette

-Putain, Juliette t'es où, me hurla t'elle, ça fait une heure. Tu vas bien.

-Alicia...c'est horrible. Arrivais je à articuler.

-T'es où, je viens ne bouge pas. Me dit-elle, sa voix trahissait la panique que j'avais créé. Je suis une vrais idiote. La pauvre, en consultant le haut de mon téléphone je vis qu'il était 23h43. Et vue tous les appels manqué toute les 5mins je me demande si elle n'a pas appeler la police .

-A côté de l'usine désaffecter.

-Mais qu'est-ce que tu fous là-bas, putain j'arrive tout de suite. Reste en ligne en attendant et explique moi.

Je décida de mentir, pour ne pas l'inquiéter et ne pas la mettre en danger. Je ne suis pas le genre de personne à croire au promesse mais je n'ai pas vraiment envie de la trahir.

Lors ce qu'elle arriva, je lui expliqua que je suis passée par l'usine et j'ai crue voir des squatteurs j'ai eu très peur et qu'en courant je me suis blessé. Et que j'ai fais une petite crise de panique car une araignée m'a grippé dessus, et, elle a tout gobé.

Elle me fit monter dans notre voiture, une BMW grise, ma marque préférer a vrais dire je ne sais conduire que des motos et je suis en train d'apprendre le code. Elle prend une couverture et me la passe sur les épaules. On en a toujours dans le coffre quand on a des contrôle, avec Alicia on prend la voiture on va dans la campagne et on dort à la belle étoile, couverture, coussins, boissons (non alcoolisées) et, lors ce qu'il pleut nous dormons dans la voiture. Ça nous permet de nous calmer avant l'examen.

En arrivant à l'appartement, Alicia pris du matériel pour soigner la plaie que j'ai à la cheville.

-T'es vraiment pas croyable. Dit-elle en levant les yeux au ciels

-Désoler. Dis-je en riant pour ne pas l'inquiété

Ce soir-là, je m'endormis à 4h du matin après avoir fait ma crise d'angoisse habituelle.

Je marche dans les couloirs un groupe de garçons vient me voir.

-Coucou salope, rigole l'un deux.

-Non, mon cœur, moi je fais payer mes services comparer à ta mère. Répliquais je en les dépassants.

L'un deux, Tony je crois m'attrape par les cheveux ce qui me fais tomber par terre.

-T'es services ? Je veux bien mais gratuitement, me dit-il avec un sourire de démon, il m'entraina dans les toilettes du lycée et me plaqua contre le mur, il posa ses main dégueulasse sur moi et commença à m'enlever mon haut.

-Me touche pas, s'il te plait arrête, laisse moi. Un sanglot se fit entendre et puis un autre

Je me réveilla en sueur. Mon corps commença à être secoué de tremblement. La porte s'ouvris en grand et en claquant contre le mur.

-Juliette ! Oh non encore un cauchemar, me dit Alicia en me prenant dans ses bras. C'est encore eux ?

-Oui, dis-je en sentant mes larmes rouler sur mes joues, Alicia me pris dans ses bras et me serra fort.

-Tu viens dormir avec moi ? Me demanda-t-elle en se levant de mon lit, elle me pris la main et m'entraina dans sa chambre avec elle.

J'arriva dans sa chambre, des posters de son anime préférer était affiché sur tous les murs de sa chambre. Elle m'amena sur son lit double, laissa une petite lumière, mit la radio, puis, s'endormis à côté de moi. Peu à peu grâce au bruit de la radio je m'endormis.

Le lendemain matin je me réveilla avec la jambe d'Alicia dans le ventre, je me leva un peu, éteignis la radio et la regarda en rigolant elle ouvris les yeux et me dévisagea.

-Oh, putain je me disais aussi que le lit avais rétrécit. Rigola-t-elle, nan pêche que c'est confortable. Aller go travaille.

Je me leva et souris lors ce qu'elle me balança son pull dans la tête.

-Oh mais t'es sérieuse ! Hurlai je en rigolant je me jeta sur elle pour la chatouiller. Puis les souvenirs d'hier soir ressurgissent, Alicia... faut que je te dise un truc s'il te plais.

-Oe bien sûr qu'est-ce qu'il y a ? Me rassura-t-elle .

-Assied toi s'il te plais, d'abord . Lui demandai je .

-Oula, c'est sérieux, qu'est-ce qu'il c'est passer.

Ah ce moment-là je lui raconta tout ce qu'il c'est passer hier, de la plaque de métal à la crise d'angoisse. En voyant son visage se décomposer mon visage perdit toutes ses couleur.

-Mon dieux, meuf. Bégaya-t-elle.

On se prépara dans le silence, je réfléchissais à ce que je pourrais subir comme torture s'il découvrait que Alicia est au courant.

On partit de chez nous et nous marchâmes à travers la rue seulement éclairée par des lampadaire. Soudain un bruit de moteur survient et une camionnette noir nous dépassa à vive allure, elle se stationna juste devant nous et 5 homme cagouler sortirent et couru vers nous en nous attrapant par derrière. Ils nous poussèrent vers le van, Alicia et moi nous débattions, et, c'est là que j'ai compris, il m'a retrouvé et il sait que j'en ai parler à Alicia !

-LACHEZ MOI PUTAIN ! Criai Alicia après les hommes.

-Ta gueule. Lui cracha l'un des homme.

Je donna un coup de coude dans les côtes et lui donna un coup, de pied dans l'entre jambe, il ne broncha pas jusqu'à ce que je lui donne un coup de tête dans le nez, il me lâcha, et je courus dans la ville. Alicia qui, elle aussi avait réussi à partir me retrouva dans une ruelle mais soudain, trou noir.

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