une vendetta ?
PDV Selena :
Faisant signe a Jace que personnes ne se trouvait au alentours, je commença a pénétré dans cette propriété, autre fois privé. Suivit du groupe de shadowhunters, j'avança, jettant des coups d'œils a gauche et a droite, m'assurant que nous n'étions pas remarqués. Les graviers grincent sous nos chaussures au fur et a mesure de nos pas, comme pour les avertirs de notre présences. Je me plaqua contre le mur de couleur délavé et ouvrit discrètement la porte arrière qui, cette fois, n'était pas verouillait, j'entra aux côtés de Alec tandis que Izzy, Clary et Jace eux, partent a la porte principale.
Crée une diversion, c'était ce qu'il fallait pour réussir, et ça nous le savions bien, nous avions chacun notre tâche a remplir pour pouvoir faire fonctionner notre plan qui avait était établi en un temps record. Alec sorti son arc et moi mes saï, l'endroit était sombre et froid, seule une porte entrouverte laissait entrevoir un filet de lumière éblouissante.
Voyant la silhouette de Alec s'en approcher, j'en fis de même, il prit la poignée entre ses doigts et entrouvrit d'avantage, je resta derrière lui, sans faire de bruit. Quand il fit un signe de main, je compris que nous pouvons y aller, nous sortons donc de cette petite pièce avec précaution et discrétion. Maintenant, c'était a moi de jouer, j'avais réussi a dégoté des plans de la vielle usine mais ces plans étaient vieux, alors peu être que depuis, des choses ont changés. Alors j'étais a peu près la seule a pouvoir me situé dans un aussi vaste endroit.
Je fis cinq pas avant de m'arrêtais, nous nous trouvions dans un long couloir qui mènerai ensuite a la salle principale, je posa mon sac a dos au sol et l'ouvris, Alec surveilla que personne ne viennent pendant que je sortis des boitiers contenant du gaz soporifique, je me mis sur la pointe des pieds et retira la grille de ventilation.
Je posa délicatement les petites boîtes dans le conduit de ventilation et sortie deux masques de mon sac, j'en tendis un a Alec, il le prit et le mit, je fis de même et mon collègue remet la grille, l'air devait normalement déjà commencé a s'infiltrer dans toutes les pièces. Je remit mon sac sur mon épaule et nous marchons instactivement en direction de l'énorme porte en bois présent devant nous, j'hésita plusieurs minutes avant de l'ouvrir.
Je plaqua mon oreille contre le bois abîmé et essaya d'entendre le moindre bruit, et pourtant, je n'entendis rien. Je me décida alors de poser ma main sur la poignée et mes doigts se resserre autour de celle ci, je la tourna et ouvrir lentement la porte, mes saï en mains, prête a attaquer. Alec arma son arc et entra discrètement dans la salle principale.
J'avançais derrière lui, a chaques mouvements qu'il fit, seulement quelques hommes se trouvaient allongés au sol, endormit. Je vérifia qu'il n'y en restait pas de réveillé et fit un signe de tête a Alec, il referma alors la porte et je me mise a fouiller les poches des hommes vulnérables. Je n'y trouva malheureusement rien d'intéressant a part des cigarettes et des briquets, je soupira et regarda m'a montre, mais qu'est-ce qu'ils faisaient ? Ils étaient en retard de dix minutes, et cela n'était pas normal.
Le gaz soporifique ne durera pas infiniment, nous devions nous dépêché si nous ne voulions pas qu'ils se réveillent tous d'une minutes a l'autre. Nous étions d'accord avec le fait qu'on ne devait absolument pas trainer.
Je passa une main dans mes cheveux et attendis, c'était la seule chose que nous pouvions faire désormais, si nous avions l'idée d'attaquer seuls, cela pourrait être une très mauvaise idée pour nous, nous ne réussirons pas a survivre contre des centaines d'hommes de mains de Valentin. Beaucoup n'étaient pas présents ici, donc ils étaient peu être encore éveillé et avaient le contrôle sur leurs gestes.
Puis, au bout d'une quinzaine de minutes a attendre Jace, Clary et Izzy, la porte s'ouvrit brutalement, la faisant claqué contre le mur en béton. Je sursauta et me redressa soudainement, mes armes devant moi, en cas d'urgence. Je vit d'abord, Izzy et un sourire commença a étiré mes lèvres, mais je le perd instantanément. Une lame était posé contre sa gorge de manière a ce qu'elle ne puisse pas se libéré de la prise de son agresseur.
Alec vit rouge et se rapprocha a grand pas d'eux, mais l'agresseur le menaça de tuer Isabelle si il continué d'avancer. Alors, il s'immobilisa et se contenta de me jetter des regards inquièts, comment est-ce que cet homme a pu échapper au gaz soporifique ? Surtout si il était dans l'établissement, il aurait tombé de sommeil comme les autres. Pourtant, quand ils pénètrent dans la pièce, je vit un masque blanc disposé sur le nez et la bouche de notre assaillant.
Ce n'était pas possible....Ils n'auraient pas pu savoir, nous ne leurs avions pas laissés le temps de réfléchir à notre attaque. Ou peu être avaient-ils trouvés un autre moyen de nous espionnés et ainsi de découvrir notre plan ? Tellement de questions tourbillones dans ma tête et restes sans réponses valables. J'eu l'impression d'étouffer, prise dans un nuage de fumée, qui m'empêche de reprendre une goulée d'air.
Tout ces événements précipités...Ils l'avaient prédit, ils savaient exactement comment nous réagiront, comment je réagirai. Et il s'en sert contre nous, il veut avoir le contrôle, ça a toujours était maladif chez lui, il ne peut se résoudre a perdre. Ça le rend fou, et cette comparaison me fit des hauts le coeur mais j'étais comme lui, je déteste avoué ma défaite, je ne pouvais pas le supporter alors, je m'entête a essayai de trouvé une solution, qui pourrait fonctionner sans qu'il n'y ait des personnes qui en payerait les conséquences.
Mais il y avait toujours quelqu'un qui serait obligé d'en payer le prix, et j'étais bien placé pour le savoir, soit tu tues, soit tu te fais tué, cette phrase que je haïs tant, cette phrase qu'il n'a cessait de me répéter durant tout ce temps passé a ses côtés. Attaché et torturé comme un animal, il voulait me dressé, et m'avoir a ses pieds, mais je n'étais pas celle qui lui apporterait ce qu'il désirait, alors il c'est debarasser de moi en pensant que j'etait trop faible pour résister a une éraflure.
Aujourd'hui, je le lui ferait regretter, regretter d'avoir tué tout ceux que j'aimais, puis de m'avoir lâchement "assassiné". Moi, qui était autrefois une enfant sans défense, je ne savais pas comment réagir dans ce genre de situation, je me laissais submergé par mes émotions et ça me bouffer de l'intérieur, sans que je ne puisse les contrôlés, les domptés.
Mais je ne suis plus cette petite fille apeuré, recroquevillé dans le coin de la pièce, essayant de retardé l'inévitable. Je suis une guerrière, une femme forte que ne se laisse pas faire, qui se bat même quand il n'y a plus aucuns espoirs. Je suis celle qui a survécue entre les mains de Valentin Morgenstern, et je n'allais pas me laissais abattre par une pourriture de ce genre.
Je me força a prendre une grande bouffé d'air fraîche et a réfléchir calmement, je ne devais pas laissé mes émotions prendre le dessus, je devais agir intelligemment. Alors que mes yeux arpentait l'assaillant de Izzy qui elle était effrayé, elle ne savait pas quoi faire et avait peur qu'on ne réagissent pas de la bonne manière. Je lança un regard furtif a Alec qui sembla me comprendre, il savait que j'avais quelque chose en tête, je lui fit un discret signe pour lui indiquer de s'avancer vers sa soeur.
Il le fit lentement, toujours sur ses gardes,il était devant moi, il savait ce a quoi je pensais et il me donna le temps dont j'avais besoin. l'homme commença a haussé le ton, lui hurlant de resté ou il était. Il lui ordonna alors de lâcher son arme en appuyant de plus en plus sa lame contre la gorge de mon amie, Alec laissa son arc et ses flèches tombait au sol et leva ses mains en signes d'innocence. L'homme était plus grand que Izzy et malgré le fait qu'il essayait de se cacher derrière elle pour se protéger, son visage rester a découvert.
Moi: Maintenant !
Alec se baissa soudainement et je pu voir les yeux interrogatifs de l'agresseur, il avait il y a quelques secondes tout la situation en mains et pourtant, en si peu de temps tout avait basculé pour lui. Quand mon saï se planta dans son crâne, faisant gicler du sang rouge vif sur les vêtements noir de Isabelle, il s'effondra a terre, sans plus aucuns signes de vie sur son visage.
Izzy mit plusieurs minutes avant d'esquisser un mouvement, elle n'avait pas encore réalisé ce qu'il venait de se passé, mon arme étai passé a quelques centimètres de son visage parfaitement maquillé et si je n'avais pas correctement dirigé ma lame, je l'aurais tué elle. Elle retira mon saï de son logement et vient me le rapporter en me remerciant, je lui sourit et prit mon arme.
Izzy: Tu aurais tout de même pu rater ton coup...
Moi: Fait moi confiance, je ne rate jamais mes cibles.
Elle me lança un regard reconnaissant et Alec vient la prendre dans ses bras, il devait avoir eu si peur de la perdre, et j'avais partagé ce sentiment. Il serra sa soeur contre lui dans un élan affectif, il voulait la protégé et ne jamais la lâcher, mais il en fut obligé quand elle s'éloigna doucement de lui, commençant a redevenir confiante.
Alec: où sont Jace et Clary ?
Izzy : j'en sais rien...On a était obligé de se séparés, ils savaient qu'on viendrait...Ils nous attendaient, ils étaient trop nombreux.
Moi: Où les as tu vues pour la dernière fois ?
Izzy: Dans le laboratoire....
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