/!/Scène à caractères sexuels pouvant choquée/!/

Mélia Wood

Boston
19h49

Nous allons main dans la main jusqu'à la voiture. Nous nous jetons des regards malicieux et envieux. Puis soudain, il m'attire contre lui, me plaque doucement contre un arbre et pose délicatement ses lèvres sur les miennes.

Merde c'est trop bon. Ses lèvres sont charnues et pleines. Je commence à lui les mordiller et il en profite pour glisser sa langue dans ma bouche.

Notre baiser au départ doux devient sauvage et chaud. Je ne sens plus le froid de l'hiver mais seulement la chaleur du baiser et de son corp contre le mien.

Cela me donne envie de plus, envie de lui. Je n'ai pas envie que ça s'arrête. Il se sépare de moi et me taquine:

-Ça va? Tu n'as plus froid?

Je souris puis nous nous dirigeons vers la voiture. Durant le trajet du retour, une tension sexuelle règne dans l'espace confiné. Je l'observe, depuis le siège passager, conduire la voiture de ma mère. Il me jette de temps en temps des regards envieux.

Pourvu qu'on arrive vite...

Un moment, il pose délicatement sa main sur ma cuisse. J'évite de le regarder ou de regarder sa main car je sens que je pourrais lui sauter de dessus.

Heureusement, nous arrivons. Il se gare et nous rentrons assez vite à cause du froid et de l'envie.

Nous avons à peine passer le seuil de la porte que je me rue sur ses lèvres à nouveau. Elles m'avaient déjà manquées. Mon baiser est sauvage et j'y transmet mon désir pour lui.

Il se sépare de moi pour enlever sa veste et je fais pareil en plus de mes chaussures. Ma bouche retrouve rapidement la sienne et la situation est de plus en plus torride.

Mes mains montent jusque dans ses cheveux tandis que les siennes s'attardent plus bas, sous l'ourlet de mon pull blanc. Il le coince entre ses pouces et ses annulaires et remonte mon pull lentement en touchant mon dos à l'aide de ses autres doigts. Pourquoi va-t-il aussi doucement? J'ai beaucoup trop envie de lui.

N'étant pas satisfaite de sa lenteur et de sa douceur extrême, je pris l'initiative d'enlever moi-même mon pull.

-Hé doucement, me chuchote-t-il a l'oreille. Soit pas si pressé. On a toute la nuit.

-Sauf que là j'ai vraiment envie que tu me baises et vite.

-Tu ne préfère pas que je te fasse l'amour doucement?

C'est sûr que c'est plutôt romantique. Du moins par rapport à ma phrase. Mais c'est bon je ne suis pas vierge et innocente, j'ai besoin que ce soit un minimum brutale, sauvage. Donc non, je ne veux pas que tu fasses cela.

-Fais ce que tu veux t'en que je te sens en moi, je souffle.

Cette phrase était censé lui montrer mon impatience mais il n'en fait rien. Au contraire il prend encore plus son temps. Il me dépose de délicats baisers au niveau du coup et descend d'une lenteur calculée vers mes seins encore caché par mon soutien-gorge noir.

Pendant ce temps, ne pouvant pas supporté que les choses n'aillent pas plus vite, j'essaye de lui retirer son pull. Mes mains chopent le bas de son chandail noir. Sauf qu'il prends mes petits poignets dans ses larges mains avant que je n'ai pu faire quoi que ce soit d'autre et les plaque contre le mur derrière moi comme le reste de mon corps. Là ça devient intéressant...

Puis, il se presse contre moi doucement. Trop doucement. Bordel, j'ai envie de sentir sa peau contre la mienne. Pas son putain de pull qui gratte. Je n'en peux plus, il me rend folle.

Je fais frotter mon bassin contre le sien, contre son érection naissante. Et ça ne le laisse pas indifférent. Il recule, me lâche et pour mon plus grand bonheur, retire à la hâte, son haut laissant apparaître sa peau parfaite. Je tends ma main pour toucher ses abdos que je distingue à peine dans la pénombre. Sauf qu'il est plus rapide que moi. Il rabat vite fait ma main pendu dans vide contre mon corps et s'empare à pleines mains de mes fesses. Il me soulève et j'enroule instinctivement mes jambes autour de lui.

Tandis que je lui tire les cheveux en l'embrassant, il m'emmène dans ma chambre, notre chambre. Il ouvre grâce à son pied la porte et me pose ensuite délicatement sur le lit. Je reste accroché à lui l'emmenant dans ma douce chute. Mes jambes sont solidement collées autour de son bassin et ses mains fixées contre mon cul. Il embrasse mon cou et descend toujours plus bas laissant une traînée mouillée.

Sauf qu'il rencontre un obstacle: mon soutien-gorge. Je passe mes mains dans mon dos et le dégrafe moi même pour qu'il puisse continuer à malaxer mes fesses. Je le balance par terre et sa bouche se pose directement sur mon sein droit. Il embrasse ma peau tout autour de mon mamelon puis sort quelques fois la pointe de sa chaude langue. Mais va plus vite bordel! Il continue ses petits baisers sans jamais touché la pointe dure au centre. Quelques fois il l'effleure me faisant gémir d'insatisfaction.

Et enfin, pour mon plus grand plaisir, il pose sa bouche sur mon téton. Il le mordille de ses dents blanches, le lèche de sa langue chaude, le suce de sa bouche charnue et le délaisse beaucoup trop vite.

Un grognement m'échappe. Pourquoi passer des heures sur la peau de mon sein et deux secondes sur mon téton? Les deux seules solutions sont: soit il souhaite me frustré sexuellement pour son plaisir perso (chose qu'il arrive très bien à faire depuis qu'on est rentré) ou soit, il ne sait absolument pas s'y prendre avec les femmes. Sûrement qu'il s'y connait mieux en matière d'homme...

Je prends donc sa tête entre mes mains pour qu'il continue ce qu'il faisait. Mais il ne se laisse pas faire et attrape sans pitié mes poignets pour les plaqué sur le matelas le long de mon corps. Puis sa bouche continue son exploration descendant vers le bas et oubliant complètement mon autre sein. Si il ne se concentre pas sur ce qui me fait du bien on ne va jamais s'entendre sexuellement.

Il arrive au bord de mon jeans. Afin de me l'enlever, il me lâche les mains qui vont d'elles-mêmes tirer ses cheveux. D'un coup sec, il me retire le reste de mes habits. Me voilà nu devant un de mes chefs. Et bah bravo Mélia, une erreur de plus dans ton palmarès.

Ses mains se posent instinctivement sur mes genoux et remontent jusque sur mes hanches. Il écarte un peu mes jambes et dévore des yeux mon intimité. Je me sens presque gêné et essaye tant bien que mal de resserrer mes cuisses. Sauf qu'il me tient fermement en place.

-Franchement Mélia, tu n'avais pas besoin de temps d'attention sur tes seins pour ce que je vais te faire maintenant à ta chatte, dit-il d'une voix suave.

Il approche sa tête. Il est tout près. Je sens son souffle chaud sur ma peau.

-Je vais bien m'occuper de toi, souffle-t-il me faisant frissonner.

Pour une fois, il ne prend pas son temps. Sa langue lèche mon clitoris et me fait gémir fort. Ensuite, il le suce et le mordille. Je suis déjà au bord de l'orgasme. À cela, il ajoute deux de ses doigts experts qu'il enfonce loin en moi.

-Merde! Je souffle haletante.

Une main tirant ses boucles et l'autre accrochant solidement les draps, je jouis. Mon orgasme est puissant et une vague de plaisir m'envahit. Pendant cela, Scott n'arrête pas avec ses coups de langues me rendant dingue.

Puis il se relève sur les genoux et me sourit. Je lui souris aussi.

-Prête pour le second round bébé? Il me demande une capote à la main.

-Toujours, je réponds la respiration saccadée.

Il retire son jeans et son boxer libérant son érection. Merde, je sens déjà un second orgasme monté. Je le regarde enfilé le bout de latex sur sa longue verge bien dure. Il se remet sur moi tandis que mes jambes s'enroulent de nouveau autour de lui.

À l'entrée de ma fente, je sens son gland. Puis petit à petit, il rentre en moi me remplissant complètement. Tout d'abord il prend son temps en me donnant de léger coups de reins. Cependant, ils restent profonds. Puis il accélère, ils deviennent plus brutaux, plus sauvages. Tout ce que j'aime. Nos gémissements sont eux aussi crescendo. D'abord de simples halètements qui se transforment en cris pour ma part et en grognements pour Scott. Ses mais sont agrippées à mes hanches tandis que les miennes viennent griffées son dos bronzé.

C'est tellement bon. C'est vraiment un bon coup. Je pense que je n'aurais même pas de regret demain matin.

Enfin, j'atteint mon apogée et me laisse envahir par mon orgasme. Après seulement quelques coups de reins, c'est Scott qui jouit en prononçant mon nom. J'avoue que c'est vraiment sexy. Il s'effondre sur moi tout en restant en moi. Il enfouit sa tête dans mes cheveux et reprend doucement sa respiration. Je lui caresse son dos meurtri à cause de mes griffures. Mes doigts frôlent gentiment les marques.

Après quelques minutes, il se relève, va jeter le préservatif et revient se coucher à mes côtés. Nu comme un ver, je pose ma tête sur son torse et ferme les yeux. Le sommeil me vient immédiatement.

C'est dans les bras de Morphée où je me remémore cette nuit sans pensé aux regrets et aux conséquences...

1595 mots✒
Relu✔

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NDA

Hello mes lecteurs ☺

Nouveau chapitre hot en plus 😏

Des avis?🔥

La douceur et lenteur de Scott qui rend dingue Mélia? 🤪

J'espère que vos petits esprits pervers sont comblés 🔞

Désolé si il y a des fautes mais j'ai écrits ce chapitre entre 2 et 4h du matin 😅

Voilà, encore merci à vous de lire cette histoire car sans vous elle n'existerait sûrement pas 🤩

Musique: Sacrifice de Black Atlass & Jessie Reyez 🎧🎶

😍Bisous💎

🦆Maureen👑