Ce chapitre contient un langage explicite.

RAYZEN'S PDV :
19h17, Baji's house.
Japon, tokyo.

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Nous venions d'arriver à ce qui semblait être l'immeuble de Baji.

Il gara sa moto au parking, et nous descendîmes pour nous engouffrer dans le hall de cet immeuble, fuyant l'air frais qu'il faisait dehors.

Je marchais légèrement derrière lui, pour me faire guider.

Le concierge qui était présent me lança un coup d'œil, avant que Baji et lui ne se lancent une blague que je n'avais absolument pas comprise.

La tension était palpable, et à peine entrés dans l'ascenseur Baji se jeta littéralement sur mes lèvres en capturant mon cou comme il aimait si bien le faire.

Un gémissement de surprise quitta la barrière de mes lèvres, et Baji profita du fait que celles ci soient ouvertes pour introduire sa langue dans ma bouche et jouer avec la mienne.

Sa main droite qui me tenait fermement la hanche, commença à exercer des caresses sur celle ci.

Mes mains vinrent se perdre dans ses cheveux soyeux que j'aimais tant toucher, tandis que je commençais à peiner à respirer normalement.

Il repoussa par derrière mon sac que j'avais porté en bandoulière et qui empêchait nos corps de se coller complètement.

Une fois fait, il m'attira totalement contre lui, et même par devant je sentais déjà son érection.

Je lui tapotais l'épaule pour signifier que je ne respirais presque plus, et il se détacha de moi.

Je repris mon souffle, et il me regarda en se léchant la lèvre inférieure comme à son habitude.

— C'était comment avec l'autre là ?

— Ennuyeux.

Une lueur passa rapidement dans son regard, mais disparut aussitôt qu'elle eut apparu.

L'ascenseur s'ouvrît, et Baji prit ma main pour nous guider vers son appartement.

Devant la porte numéro cent vingt-sept,  il plaça son empreinte dans une sorte de petit box, et l'appartement s'ouvrît.

Je pénétrai dans celui ci le regard admiratif encore une fois, j'étais choquée des goûts de Baji, et du mur principal entièrement fait en verre.

Un chandelier noir trônait au dessus de nos têtes, également deux longs sofas en cuir qui s'étalaient tout le long des murs.

Baji me coupa dans ma contemplation et retira mon sac, j'ôtais également mes chaussures en le voyant enlever son haut de survêtement.

Il vint alors me porter de façon à ce que j'enroule mes jambes autour de son bassin, et il fondit sur mes lèvres de nouveau.

Je bouillonnais intérieurement, j'avais envie qu'il saute les étapes.

J'avais envie qui me fasse sienne, là tout de suite devant cette baie vitrée.

Il me plaqua sur le dos de son canapé en défaisant habilement mon corset, comme si il l'avait fait toute sa vie.

Il me l'ôta rapidement, et plongea dans mon cou, puis ma poitrine qu'il parsema de baisers, qu'il suçota de fond en comble et qu'il mordit par moment.

— S'il te plaît, je ne veux pas de marques dans le cou. Implorais je en m'imaginant la dose de fond de teint dont j'allais avoir besoin pour cacher ses suçons.

Je le sentis sourire, puis m'aspirer de plus belle, pendant qu'une de ses mains défaisait mon short.

— Regarde toi dans la vitre bébé, regarde comment je vais te baiser comme la salope que tu es.

Ses paroles eurent pour seul effet un gémissement plaintif, mais elles firent doubler l'excitation contenue dans mon bas ventre.

J'aimais ça.

— Je suis pas ta pute... Articulais je en lâchant des gémissements de plus en plus audibles.

— Oh que si chaton, et tu vas tellement aimer ça que tu en redemanderas encore, encore et encore, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus.

Putain.

Il avait raison.

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Heyyyyyy
Comment vous allez ? J'ai pas pu poster hier et je m'en excuse j'étais tellement débordée ;-;
Bref je vous laisse ce petit chapitre et je vous dit à la revoyure mes potos :3
S<3