08.


Ce chapitre contiendra des scènes à caractères sexuels.

RAYZEN'S PDV :
01h13, Emma's house.
Japon, tokyo.






















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— T'es plus vierge, n'est ce pas ?

Les sensations qu'il avait commencé à me procurer m'avaient déconnectée, et sa question me ramena tout de suite sur terre.

— Non...

Ce fut son feu vert définitif pour replonger et cette fois ci, dans ma poitrine. Mon cœur battait la chamade, mon corps tout entier tremblait et j'avais peur qu'il le remarque.

D'une main, il empoigna mon sein gauche et il suçota l'autre en jouant avec mon téton qui durcissait rapidement.

Mes mains dans ses cheveux avaient sûrement commencé à tirer ceux ci assez fort, et je m'en foutais.

Il me faisait du bien, et mes gémissements en témoignaient parfaitement.

Il aspira la peau de mon sein, et ce fut tellement chaud qu'il me laissa une marque rouge.

Il retraça ensuite la ligne jusqu'à mon nombril avec sa langue, et je ne pus retenir un nouveau gémissement, le sentant de plus en plus proche de mon entre jambe.

— Tu sais ce qui va se passer, maintenant ?

Mes mains quittèrent ses cheveux et je commençais à le défaire de son pantalon le plus lentement possible.

Ma culotte avait rapidement rejoint le sol, et je m'offrais désormais toute entière à lui.

Il embrassa l'intérieur de ma cuisse qui était sur son épaule, et sa langue s'ajouta à l'activité de ses lèvres.

Un faible cri sortit involontairement de ma bouche.

— Je vais te baiser mon cœur, comme personne ne l'a jamais fait avant moi.

Je n'eus même pas le temps de réagir qu'il fit pénétrer deux doigts en moi, tout en encra ses canines à l'intérieur de mes cuisses.

Je lâchais donc brusquement son pantalon que j'essayais de retirer, pour enlever sa tête d'entre me cuisses et sceller nos lèvres afin d'éviter que d'autres cris s'échappent de mes lippes.

Il sembla l'avoir compris, et il accéléra le mouvement de ses doigts, ce qui m'arracha cri un peu plus fort qui se perdit heureusement dans sa bouche.

Je peinais à respirer, je me tortillais sous lui secouée par des spasmes effrayants.

Il se sépara de moi et ajouta un troisième doigt.

Je ne pus me retenir et lâchai un gémissement plus obscène que les premiers, en le suppliant du regard.

Il me torturait littéralement, et moi j'adorais ça.

— Qu'est ce que tu veux mon coeur ?

Lui.

Mon regard qui me trahissait, lui donna un autre feu vert pour tester je ne sais quoi.

Sans se faire prier, il mit ma deuxième jambe sur son épaule et plongea sa tête dans mon entre jambe.

Mes mains agrippaient ses cheveux, ensuite le lit. J'essayais d'attraper tout ce que je pouvais pour ne pas craquer.

Je sentis sa langue me pénétrer tout doucement, tandis que les gémissements que j'essayais tant bien que mal de retenir envahirent la pièce, ce qui semblait lui plaire.

Mes cuisses se refermèrent tellement sur sa tête, que j'eus cru qu'il allait y rester.

Sa langue léchait, elle léchait tout ce qu'elle pouvait. Il aspira mon entrée, titilla mon clitoris de ses doigts et ceux ci s'ajoutèrent à la danse.

— Je- je vais...

Et sans demander son avis, je jouis violemment entre ses doigts, sa langue et son nez, en poussant un cri.

Il revint vers moi après avoir léché le liquide présent sur ses doigts, puis il lécha de nouveau ses lèvres.

— J'avais même pas encore terminé mon repas...dommage.

Sa voix grave me provoquait de nouveau d'incontrôlables frissons.

Ma poitrine se levait et se baissait brusquement, tandis que j'étais encore un peu sonnée par l'orgasme que je venais d'avoir.

Ses lèvres rencontrèrent pour la énième fois les miennes, et je me goûtais sur celles ci.

Il me mordit violemment la lèvre inférieure, et je sentis directement le goût de ce liquide métallique entre mes lèvres.

— Ça c'est parce que tu n'as pas pu te retenir, vilaine fille.

Mes jambes étaient déjà fébriles, mais mon entre jambe n'attendait que lui de nouveau.

— On va passer aux choses sérieuses, maintenant.

Il me retourna d'un coup, à quatre pattes, et je vis son pantalon et son boxer rejoindre le sol, après qu'il ait retiré un préservatif de celui ci.

Il l'enfila directement, et malgré que je peinais à le voir il prenait énormément de précautions.

Il empoigna mon chignon qui s'était totalement défait en queue de cheval, et je l'entendis faire craquer l'élastique de ses cheveux.

Il me ramena un peu plus à lui, tandis que je gémissais déjà sans qu'il n'ait commencé quoi que ce soit.

Je reçus une petite tape sur ma chatte qui était totalement à sa merci, et laissais échapper un léger couinement.

— Ça, c'est parce que tu as été beaucoup trop distraite pour m'enlever totalement mon pantalon.

Les petites « punitions » qu'il m'attribuait rendaient la chose encore plus excitante.

J'étais prête, prête à l'accueillir en moi.

Je me cambrais donc un peu plus, en mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang, à nouveau.

L'excitation était à son paroxysme.

Il caressa mes fesses, et je sentis sa verge contre mon entrée.

D'un coup sec, il me pénétra, ce qui m'arracha un cri de surprise.

Il entama des vas et viens rapides et secs, qui me firent littéralement perdre ma voix.

Ses cheveux me chatouillaient les fesses à chacun de ses mouvements de bassin, ses boucles d'oreille faisaient un bruit incessant qui ne faisait qu'accroître mon envie, et je criais désormais.

— Putain... Ah ! M'exclamais je alors que je perdais totalement possession de mon corps.

Le bruit de nos peaux qui choquaient m'excita encore plus, et des larmes perlèrent aux coins de mes yeux.

Mes jambes tremblaient, j'allais lâcher prise une deuxième fois.

Il me pilonnait sans relâche, et des grognements sauvages se mêlèrent à mes gémissements et mes cris qui n'allaient que de plus en plus haut.

Je sentis une vague de plaisir, il venait d'atteindre un point qui fit trembler mon bas ventre et il l'avait bien remarqué.

Ses mains qui s'étaient agrippées à mes hanches glissaient par moment à cause de la sueur, et je tenais tellement fort les draps du lit, que celui ci s'était mis à bouger.

D'un autre coup de rein puissant, il frappa de nouveau contre ce point qu'il avait trouvé, et ceci m'arracha un nouveau cri.

— Ralentis...

Il ne m'écoutait plus, parce que mon corps allait en contre sens avec mes mots.

D'un coup, une vague gigantesque de plaisir s'empara de mon être, et je sentis mes yeux monter avant d'éclater totalement en sanglots.

Putain c'était trop bon.

— Bébé tu serres.

Mes chairs se resserraient autour de lui, et un troisième orgasme s'empara de moi.

— PUTAIN.

Il se contracta fort contre moi, et je sentis son éjaculation même à travers le préservatif.

Mes jambes lâchèrent, et il se retira de moi pour jeter le préservatif dans la corbeille et s'affaler à mes côtés.

Nos respirations étaient fortes, nous nous remettions tout les deux de notre arrivée au septième ciel.

J'avais mal aux jambes.

Il m'attira doucement contre lui, et je fermais les yeux pour faire couler mes dernières larmes.

— T'es putain de bonne mon coeur.

Il me fit un dernier bisou dans le cou.

Il se leva et attrapa rapidement son boxer et son pantalon qu'il remis, avant de revenir me couvrir et de me donner un dernier baiser sur la bouche.

— Bonne nuit Rayzen.

Il enfila sa chemise, et j'entendis le bruit de la porte qui claquait.

Je sombrais donc définitivement dans les bras de Morphée.

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Hellooooo
Ptdr c'est mon premier lemon jsp pas trop à quoi il ressemble mais bon-
J'espère que le chapitre très long vous as plu 🌝 c'était une exception
A plus mes bébés
S<3

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