~/Three/~
Une aube apparaît, elle est encore bien grise.
Assise contre l'arborescence, je pense, je fredonne un son mélodieux. Étant réveillé depuis l'aube, je quitta notre refuge en quête de nourriture. Nos ventre crié famine et la fatigue nous pesé lourd.
J'avais envie de crié au monde entier la souffrance, la terreur, le manque de nourriture que nous subissons, malheureusement la seul chose que je pus faire c'est fuir cette terreur rouge. M'éloigner de cet enfer et trouvé l'espoir manquant. La dernière pièce du puzzle.
M'aggripant au dernier souvenir que je possède d'eux me parus des plus périlleux, savoir lire entre les lignes, tenir bon, trop de responsabilité pour une simple paysanne telle que je suis... L'envie d'abandonner m'offrait un désire indescriptible mais je ne pu m'y retranscrire.
Marchant difficilement à travers cette vaste contré , j'aperçus un lac cristallin , aussi pur que la voix symphonique d'un enfant, aussi pur que les plumes d'un Ange.
L'ange est le musicien du silence de Dieu.
Je chanté une douce berceuse pour réveillé les plus endormi, dansant parfois au rythme du vent ainsi qu'à l'écoute du doux son de l'eau coulé sur les pierres lise et humide du lac. Le vent, caressant des fils d'or illustré pas le soleil. L'eau cristalline, pourvus d'un magnifique ballet de poissons. Ce doux paysage, éloigné de tous, conquit de mère nature explorant ces vaste contré.
Je ne trouva finalement que certaine plante médicinales ainsi qu'un peu d'eau. Le sifflement divin de la vallée lointaine, me parvint aux oreilles. Effilé sous le doux soleil automnale, le vent a mes côté, j'accompagne le pays des rêves dans ma destiné. Paisiblement endormis dans l'herbe fraîche. Le temps, s'écoulant d'une lenteur agréable. Un objet pourtant si brut mais à la fois si simple, nous faisant perdre notre pureté, notre jeunesse, notre liberté.
Les notes de musiques, sifflotant dans l'air tel un berceaux de lumière nous bercent parmi les cieux.
Quand on a vu une fois dans sa vie un lever de soleil sous les pleines du royaume de Camelot ,on revient.Vous reviendrez,étrangers. Même souillée, Camelot reste sublime.
Ces mots pourtant ancien arpente à la recherche d'une âme emplie de bienveillance l'opportunité de mettre fin à ces échéance.
Dans mes yeux grands ouverts le soleil fait les joints, O jardin de mes yeux !
Je rêve du jours de la naissance du royaume au pied d'un peuple assailli par la faim, la soif, le désespoir d'un royaume nouveaux. Ici bas, sous terre les âmes des anciens garde le mystère. Un mystère des plus grandiose, aussi vieux que notre nature, aussi mature que les douze dieux grecque.
-Zeus
-Aphrodite
-Apollon
-Poséidon
-Hestia
-Arès
-Artémis
-Héra
-Athéna
-Héphaïstos
-Hermès
-Hadès
Douze dieux parmi tant d'autre, opposant l'âme humain de deux camp saillant une guerre. La bêtise de l'âme humaine est le désespoir des dieux.
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Salut!
J'espère que se nouveaux chapitre vous aura plu, si je pourrait vous donnez un conseille je vous dirais :
" si vous voulez vous imbibé complètement dans la lecture de cette écris , avant de le lire mettez en marche la vidéo 😉"
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