~/Six/~
Toujours assaillit par la pénombre de la nuit, je m'aventure dans ces boits les plus profond pour en découvrir ces plus vaste secrets . Soudain un bruit de craquement de bout de boit fit écho à mes pas. Ce n'étais pas moi, les pas était lourd et d'une lenteur inimaginable puis plus rien.
Plus aucun bruits ne se fis entendre, je me dis que ce n'étais sûrement qu'un animal ou autres je continua d'avancer malgré le peut de luminosité présente. Un pas deux pas, le même craquement en un son plus dévastateur que précédemment . Une chose étais sur, cette fois si ça ne pouvait pas être un animal. Méfiante je recule, chose que je n'aurais mais au grand jamais du faire !
Je tomba dans un lac, le lac du camp isolé. Cristal Lake... Le territoire de Jason Voorhees. Je ne me fis pas prier et je couru aussi vite que je pus dans l'une des maison présente dans le camp. Je ferme la porte à clé ainsi que les fenêtres. Mon souffle était saccadé. Je vis un petit couteau sur la table basse, je le pris cela pourra sûrement mettre utile en vue de ma situation, un couteau serait un bon outil pour se protégé malgré ça petite taille. Je partis me cacher sous le lit. J'avais appris une chose pendant cette guerre, ne jamais être à découvert !
La maison était petite mais assez grande pour accueillir une famille toute entière. J'essaye de me souvenir des étapes à suivre pour essayé je dit bien essayé de survivre à ce détraqué !
Je réfléchie, mais rien je n'arrive pas à me souvenir de se que je dois faire. J'aimerais soupirer mais les circonstances actuel ne me le permette pas. Je réessaye mais je n'ai toujours rien... Qu'elle galère !
Tout à coup, quelqu'un frappe à la porte violemment, je coupe immédiatement ma respiration et me recroqueville sur moi même, la peur me diriez vous. C'est cela, oui.
En l'espace d'une seconde la porte explose, laissant ainsi l'accès à la personne se trouvant derrière celle-ci. L'homme s'approcha dangereusement de l'endroit où je me trouvé actuellement. Le son de ces ongles glissant sur le revers de la lame me procuré des frissons. J'avais peur, j'étais terrifié à l'idée de perdre la vie dans de tel conditions et surtout si jeune !
Je serra aussi fort que je le peut mes poings laissant apparaître mes phalanges blanchit. Les jambes croisé et recroqueviller sur ma poitrine je pris tout les dieux pour ne serait-ce qu'un petit miracle se produise.
Ces pas lourd, se son désagréable créé par sa lame...
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