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J'aime penser que la lune est là même si je ne la regarde pas.

J'aime sentir ses doux rayons me parcourir la peau , l'air pure et frais de la nuit me procure de légers frissons et l'eau froide du lac, reflète à flot ces cristaux de lumières éclairant faiblement ma silhouette.

Ces gouttes pourtant si faible parcours mon corps avidement.

Aussi pur que l'innocence d'un enfant, le chant mélodieux de l'eau sous mon toucher me berce dans cette longue nuit d'automne. Les feuilles, des arbres dansent à l'écoute de ce son et mon cœur lui, bas au rythme des saisons.

L'automne, une saison sage et de bon conseil.

Le jour se lève et mon âme revint en ces lieux. Quand à moi, mon destin me réclame. J'entrouvris de découvrir ce berceau cristallin, d'apporter mon empreinte en ce monde pourtant si pure, à l'époque mais si dure aujourd'hui.

Avant qu'il ne fasse totalement jour, je parvins au village de Camelot. Je saluai ses quelques habitants avant de rejoindre dignement mon humble demeure. Par le passé, Il y a de cela fort longtemps , une légende raconte qu'un jour un jeune homme du nom Arthur Pandragon vécut dans les ruines du château d'Anboise. Un château qui, il y a de cela longtemps fut l'un des plus forts et des plus terrifiants. On raconte que dans ces lieux mythiques se trouvait un trésor caché. Personne ne crut en cette légende, tout porté à croire que ce n'était qu'une contre vérité.

Depuis petite, je crois en celle-ci, je crois en cette légende urbaine, malgré les rires et regards moqueurs de mon entourage je continue d'y croire au plus profond de mon être. Mes parents me disaient souvent que ce n'était qu'un simple mensonge que ce n'étais pas réel, qu'il avait certes une part de vérité dans cela mais que le reste n'était simplement que du vent. Malgré ces dires, j'ai continué d'avoir foi en cette histoire.

Depuis maintenant 1 siècle, les politiciens on envahit notre monde maintenant orné de modernité ainsi que d'ancien. Il aborde un tout autre aspect physique, sillet en deux d'un côté la modernité et de l'autre l'ancienneté, son image est des plus désastreuses. Des guerres éclatent à chaque recoin de cette terre et des centaines de révoltes furent données.

Moi, fille de boulanger je me nomme Genièvre Defeuillet ! Jamais vous n'aurez nos récoltes, vous êtes bien assez fort pour vous en procurer seul.

Ces mots pourtant empli de peur, résonne dans nos têtes. À ce moment-là nous étions peureux et craintifs nous n'aurions jamais pensé une seule fois à cet évènement pourtant si chaotique nous arrivé.

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Alors ?😋

Bien ou bien ?
En tous les cas j'espère que ce chapitre vous aura plu , j'ai galèré à l'écrire😅 il est certes court mais souvenez-vous que c'est une histoire qui dure simplement deux semaines.