~/Eight/~
Nous entendons des cries provenant de l'arrière de la maison. N'ayant pas confiance et ayant peur que ça soit, Jason nous montons à l'étage. La jeune fille aux cheveux brun ainsi qu'au yeux bleu me regarda intriguée.
Je la questionnai du regard, pour en trouver la réponse mais elle ne me répondit pas.
Soudain, un cri perçant nous coupâmes dans nos interactions puis plus rien. Avec discrétion nous regardâmes par la fenêtre pour en définir la source. Chose qui nous traumatisa à jamais !
Une jeune fille de notre âge, venait de se faire décapiter par "LUI"!
Nous n'étions décidément pas les seuls dans ce camp...
Mon souffle se coupa est mon cœur rata un battement. Cette fille...Chaimae , sans que je ne puisse m'en empêcher un ruisseau de larmes coula abondamment le long de mes joues rougies . Je pleure, silencieusement mais à l'intérieur mon âme endure une souffrance incommensurable. Mon amie, mon souffle venait de mourir sous mes yeux. Son sang giclant sur lui pour n'en laissa qu'un corps inerte tombé au sol.
Sans pour autant que je ne le remarque. Une sensation douce est apaisante , une main chaude et réconfortante sur déposa délicatement sur la naissance de mon épaule droite, Inès ... Je la pris dans mes bras et m'écroulai sur le sol m'immergant complètement dans cette bulle protectrice.
Malgré ma peine je ne devais pas abandonner ma mission principale, sortir d'ici saine et sauve en compagnie de ma meilleure amie. Nous nous relevons, et continuons nos fouilles. À l'instant, où je posai la pointe de mon pied hors de cette maison, un sifflement désagréable piqué atrocement l'intérieur de ma tête , plus le temps passé, plus la douleur devint forte, tels des coups de marteau me déchirant le seul fragment moral qu'il me resté.
Essayant d'oublier cette douleur, Marchant dans les petites allées, du camp. J'eus quelque peu de mal à ne pas tourner de l'œil, observant les nuages de sang immergé six pieds sous terre. Sur le sol dur et froid de la forêt, bien loin de tous.
Cette contrainte de ne pas courir à cause de louï sur dimensionner de ce détraqué me mis la boule au ventre, à tout moment nous pouvions être tués.
BOUM !
Prise de panique nous commençons à courir à plein poumon. La peur nous envahit et nous yeux s'humidifient. Une lame manqua de me trancher la joue, râlant par la même occasion cette dernière....
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top