tome 2/4



PVD Eren :


Après le dessert, Usami parle de lui-même.

-Maman, avec Makoto, on va attendre la fin du lycée pour habiter ensemble. Mais ni l'un, ni l'autre ne voulons d'enfant pour le moment.

Je regarde mon bébé avec étonnement et lui dit avec la même voix.

-D'accord mon ange ! Vous cherchez déjà un appartement ou vous avez besoin d'aide ?

Usami se met à parler avec entrain.

-Oui maman, on ne sait pas trop comment si prendre.

Je souris heureux et dis.

-Avec plaisir mon ange.

Je regarde Livai qui est d'accord avec moi. Je retrouve le sourire et une envie dans bête ma puce me prend. Avec une voix, joueuse que ma fille comprend, tout de suite.

-Ma chérie, avec Denki ça a pas été trop dure la course.

Son père me regarde Bizarre. Yuki baisse la tête et joue mon jeu.

-Si, j'ai compris ce que papa ta fait subir.

Je souris intérieurement à la bêtise qu'on prépare tous les deux.

-Je sais mon ange. Mais ne tend fais pas votre amour ne sera que plus solide.

Livai, Hanji, Sacha, Connie et Denki ne comprennent rien. Alors que les autres avaient parfaitement compris. Livai avec une voix d'incompréhension dit.

-Comment ça ?

Denki timidement ayant compris dit.

-J'ai pris peur quand mon trésor et venus me voir pour me dire de but en blanc que j'étais sont liée et qu'elle ne m'aimer pas uniquement pour mon rang et pour notre statue de liée, mais pour ce que je suis. Quand elle m'a dit ça, dans ma tête, c'était le Kao. Et j'ai fuis.

Livai le regarde avec des gros yeux et me regarde triste au même titre que Denki qui regarde Yuki. Sacha, Connie et Hanji explosent de rire.

-Ne riais pas, ce n'est point drôle.

Livai et Denki avaient parlé en même temps ce qui renforce le fou-rire de tout le monde. Il se lève et vient vers nous. Je tends, mais bras a Livai qui vient s'asseoir.

-Ah la là ! Telle mère telle fille hein !

Il me regarde désoler.

-Je suis désolé mon cœur.

-C'est du passé mon chat, ne tend fais pas !

Il m'embrasse, j'y réponds et reprends le repas.

Une heure après on finit tous au bord de la piscine en train de bronzer. Livai vient me voir et sur une voix peu rassuré me dis.

-On va héberger Armin et Tsubaki pendant un petit moment. Ça ne te gêne pas mon ange ?

Je le regarde étonner.

-Bien sûr que non, cela ne me dérange pas, mais pourquoi ?

Il se gratte la nuque ce qui n'est pas bon signe.

-Après que tu sois partie, Erwin a littéralement pété un plomb sur Tsubaki. Et Armin l'a défendu ce qui lui a valus une réplication sèche et une interdiction de rentrer à la maison jusque nouvel ordre.

Je fronce des sourcils légèrement énervé.

-Bien sûr que ça ne me dérange pas. Il reste autant de temps qu'il veut.

Il me sourit et vient ce posé pré de moi. Je le prends dans mes bras et lui souris.

-Allez mon ange profitons du soleil !

Il m'embrasse sans prévenir, après la surprise, j'y réponds ardument. Et une chose me revient en tête.

-Et si on refaisait un enfant ?

Il me regarde avec surprise et choqué.

-Au bout de 10 ans, tu me ressors sa comme ça !

Je réponds avec nonchalance.

-Bas ouais ! Une envie ne se contrôle pas à ce que je sache.

Il me regarde désespérer.

-Tu n'es pas possible, tu m'étonneras toujours.

Je souris comme un gosse.

-Faut bien rattraper la connerie de Jean non ?

Lui étant à coté, se vexe.

-Je te l'ais, déjà dis des milliards de fois que j'étais désolé.

-Et je t'ai pardonné. Comme avec le petit. Je t'ai pardonné. À quoi ça sers de ce brouillé avec sa famille ?

Jean soupir.

-Ouais, mais y a des fois ou ça ne veut pas.

Mon regard devient triste en pensent à Armin et Mikasa.

-Ouais malheureusement.

Livai me caresse la tête et m'embrasse dans le cou.

-Ouais, mais on y peut rien, ça passe ou ça casse. Et des fois sa casse plus que ça ne passe.

-Hm.

Je me colle à lui et soupir.

-Du coup, c'est non ?

- Bas, je ne sais pas, on est plus tout jeune !

Je soupire. Mais retrouve vite le sourire.

-De toute façon, on a déjà deux beaux garçons et une merveilleuse fille.

Il me regarde heureux.

-Oui, tu as raison.

Je souris et le prends dans mes bras. Même si j'aurais préféré avoir un autre enfant pour combler le manque que l'autre a laissé. Je le regarde avec une lueur de tristesse sans faire attention. Il le voit et soupir. Il me prend la main et m'entraîne dans la chambre. Il me pose sur le lit.

-Qu'est-ce qu'il y a mon cœur ?

Je détourne le regard et réponds gêné.

-Je ressens un vide depuis qu'il est parti. Je m'en rends compte de temps en temps, mais je ne voulais pas t'embêter. Savoir que mes bébés vont quitter la maison, ce vide revient et ça me stresse.

Il prend mon menton dans, c'est long doigt fin et doux à la fois. Il me force, pour le regarde.

-Pourquoi tu ne me l'a pas dit avant ?

Je le regarde les larmes aux yeux.

-Tu étais occupé, et puis je ne voulais pas imposer mes êtes d'âme !

Je le sens frustré, mais je ne dis rien. Il ouvre la bouche et la referme comme s'il voulait dire qu'elle que chose, mais finalement, une paire de lèvres, vient ce posé sur les miennes. Je le regarde surpris, il me regard, c'est yeux d'un gris/bleu intense me font toujours autant rêve. J'y réponds et on se détache.

-Tu aurais dû m'en parlé, cela fait dix ans que tu as ça sur la conscience ?

-Oui !

Dis-je d'une petite voix triste. Il soupire et m'embrasse. Dans son baisé, on y sent toute son inquiétude et sa frustration.

-J'en veux d'autres des enfants, mais j'ai refusé, parce que, j'ai pence que tu voulais juste faire une blague.

Je le regarde honteux.

-Je suis désolé mon ange, mais j'en veux vraiment un autre. Même s'il y a beaucoup de différence avec les jumeaux.

Il sourit et prend mon coup et m'embrasse dans un baisé passionné.

-On, c'est ce qui va se passer ce soir alors mon ange !

Je souris à mon tour et le regarde avec luxure et désire.

-Ouais mon bel étalon.

Il vient s'installer sur moi, il m'embrasse en passent sa main dans, mes cheveux. Le baisé devient de plus en plus chaud. Je sens son érection sur ma cuisse tout comme la mienne, elle est bien gonflée. On commence à se déshabiller quand on entend toquer à la porte. On grogne tous les deux de frustration. Et sur une voix agacée, je dis.

-Quoi ?

La personne derrière la porte, l'ouvre et dis d'une voix gênée.

-Ils vont plus tarde à partir, il se fait tard.

On, soupir en même temps.

-Armin, dis-leur qu'on arrive dans une minute.

Il hoche la tête, on se rhabille et descend. Arrivé en bas, on voit tout le monde prés à partir. On va les saluer et ils partent. On se regarde avec mon ange et d'une voix plaine de désir dit.

-Ne venais pas nous déranger et on mangera plus tard nous attendais pas.

Je prends le bras de Livai et on monte dans la chambre.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top