chp28
PVD Eren :
Quand j'ouvre la porte, je vois Erwin, Armin, Marco et Jean. Mon regard a dû se durcir, car tous s'écartent est se tourne vers Jean. Je m'avance tout doucement vers lui, il commençait à stresse. Je serre mon poing et lui en colle un dans le ventre. Je lui lance d'une voix dure.
-Cadeau de bienvenue dans la famille.
Il se tait est baisse le regard. Je m'écarte, Livai a une aura noire au tour de lui. Je le vois lui foncé dessus est lui donne un autre coup de poing dans l'estomac. Il se plie en deux et s'écrase aux sols. Livai est très en colère.
-Ça t'amuse de faire souffrir ton fils est le mien ? Ça t'as pas suffis de faire du mal à Eren quand il était au lycée ?
-Je suis désolé. Je ne pense pas faire souffrir Makoto aussi.
-Il est sensible, si tu ne l'as pas compris. Il a peut-être ton caractère de merde, mais il a aussi la gentillesse de Marco.
-Je suis désolé.
Je repars vers la maison et je salut tous les autres au passage. On rentre dans la maison est je vois Usami pleuré.
-Je sais mon ange, tu ne voulais pas qu'on le frappe, mais je ne pouvais pas me retenir. Il nous a fait trop souffrir, tous les deux est de savoir qu'il a fait du mal à son enfant, m'ont mis hors de moi.
Il vient se jeter, dans mes bras. Makoto me regarde et je lui fais un signe de tête pour qu'il vienne. Il vient donc rejoindre Usami.
-Allez, c'est fini maintenant.
Je m'abaisse à leur hauteur est leur fais un câlin. Marco vient, ce posté pré de moi.
-Merci Eren, je pense qu'il en avait besoin.
-J'en avais envie depuis la sortie du lycée, mais je n'ai pas plus le faire alors j'ai sauté sur l'occasion.
Je lâche les enfants et les invite à passer à table. Armin me prend à part de tous.
-Eren, tu as fait quoi pour Tsubaki ?
-Je lui ai donné un suppresseur d'Usami. Ils sont fort alors ça le calme vite.
-D'accord, est ça se passe comment avec Katsuki ?
-Ils ont l'aire d'êtres bien ensemble, il a appris à ce contrôlé ce qui fait qu'il ne lui a pas sauté dessus lors du déclenchement, de ces chaleurs.
-On devrait leur parler tous les deux. Genre, on va dans sa chambre tous les quatre pour discuter.
-Ouais, on va manger est, on fait ça. Parce que j'ai bien vu ce que ça fessait avec Erwin.
-Je confirme. Il faut leur parler.
Il hoche la tête est, nous partons vers la table où, il discuté tous. Je pars chercher les plats et nous commençons à manger.
Ellipse du repas :
Nous sommes installés dans le canapé. Armin me fait un mouvement de tête pour ce qu'on avait dit avant le repas.
-Tsubaki, Katsuki, il faut qu'on vous parle avec Armin.
On se lève, tous les quatre et on part vers la chambre de Katsuki.
-Qu'est-ce qu'il y a maman ?
Je m'installe sur le lit, Armin se place à côté de moi. Katsuki se positionne assis contre la tête de lit est Tsubaki se positionne entre ces jambes.
-Katsuki, on voudrait savoir un peu comment ça se passe entre vous ?
-Comment sa maman ?
-Genre dans votre relation, vous en êtes où ?
Il me regarde tous les deux sans rien comprendre est, je demande du regard pour qu'Armin m'aide. C'est lui qui a un franc parlé pas moi.
-Les garçons ce que veut dire Eren, c'est est ce que vous vous désirez sexuellement parlent ?
-MAMAN !
-Quoi ? On est votre mère, on a le droit de savoir.
Katsuki me regarde dans les yeux. Quand il fait ça, il me fait pense à son père dans nos début de relation. Froid, mais avec une lueur qui dit t'es chiant dedans. Alors que de son côté, Tsubaki est rouge comme une tomate, les mêmes réactions que sa mère.
-Bon, vous allez nous répondre ?
Tsubaki me regarde rouge, dans ces yeux c'est trop lisible de voir qu'il ne veut pas parler. Katsuki lui roule des yeux es il soupir. Il sait que je ne lâcherais pas l'affaire.
-Pour ma part, oui, je le désire sexuellement, mais je sais qu'il n'est pas, prés. Donc je ne force pas, j'attends qu'il me dise que je peux. Déjà le touché, il a du mal encore avec sa alors je ne veux pas le brusquer.
Tsubaki s'est retourné quand il a répondu. Il a l'air étonné de ce qu'il vient de dire, mais le serre, dans ces bras.
-Je t'aime et tu le sais, c'est juste que je ne sais pas comment on fait pour ce contrôlé est si tu me mords. On est jeune, je ne veux pas tomber enceinte à mon âge.
-Je sais, mais papa m'a dit comment il fallait faire pour me contrôlé.
S'il parle de sa technique qui ne marcha pas, il va avoir des soucis. Je me tape la main sur le front et lui demande laquelle. Il répond :
-Celle ou, il met la capote avant même de commence le rapport est qu'il ne faut pas l'enlevé.
Je m'en douté. À part, si Tsubaki n'est pas comme moi, elle marchera.
-Ta une chance sur deux pour qu'elle ne marche pas.
-Comment ça ?
-Avec moi, elle ne marche pas cette technique.
-Pourquoi ?
-Comment dire heu !? Bas en fait, il y va tellement fort qu'elle craque.
-Ha ! Mais il va y aller doucement ?
Tsubaki se retourne vers mon fils qui a l'aire tout affolé. Et si je leur avais dit que cette aussi parce que je fessais exprès de la Perse pour qu'il l'enlève ou quand il était tellement partie que je l'enlève qu'il voit rien. Je suis vilain, je sais mais maintenant, je le fais plus parce qu'on a eu assez d'enfants comme ça. Et puis j'ai le petit dernier dans le ventre bien au chaud. J'ai demandé à Hanji de me donner quelque chose pour ne plus avoir d'enfant après celui-là. Parce que je déteste le faire avec une capote.
-Tsubaki, je ne suis pas mon père. Mais j'ai récupérai son côté sadique alors je te garantis rien.
Tsubaki se tourne vers moi.
-Il veut dire quoi ?
-En gros il va le plus profond qu'il peut est après bas les petits fessés ou les morsures quoi.
J'entends Armin ce tapée une barre.
-Hey ! Ne te marre pas. Je suis sûr qu'Erwin est pas tendre non plus.
Je le vois rougir d'un coup. Non ne me dis pas qu'il....
-Armin, vous ne faites pas ce que je pense.
-Ça dépend tu pence à quoi ?
Je me penche à son oreille est lui chuchote.
-Genre le truc avec les cordes est tout ?
Il devient encore plus rouge. Non-sérieux il pratique le BDSM.
-T'es sérieux ?
-Je n'ai rien dit.
-Non ton visage parle pour toi. Et, c'est comment ?
-T'es sérieux ? Quand c'est pour les enfants, tu sais, êtres directs, mais pour moi ça ne va pas.
-Bas quoi ?
-Oui bon ça va un on ne va pas en parler devant les petits.
-Ne crois pas que tu vas tend tiré comme ça mon cher.
-Ouais.
Les petits nous regardent avec des yeux remplis d'incompréhension.
-Désolé, c'est une discussion de grand. On vous en parlera quand vous aurais l'âge.
Armin me regarde comme si j'avais dit une bêtise. Je lui lance un petit sourire en coin.
-Tu ne vas pas, tends tiré Armin. Au pire, je demande à Livaï, ils doivent bien parler tous les deux. Je sais qu'il voudra bien m'en parler.
Je lui lance un regard vicieux. Et lui se met à bouder.
-Tu n'as pas intérêt à faire ça.
-Bas pourquoi pas ?
-Parce que.
Je souffle est me relever, je leur fais un signe de main pour que tout le monde descende. Quand on arrive en bas, tout le monde dort à moitié.
-Bon aller vous dorme à la maison. Je vais préparer les chambres d'amis.
-Merci.
Je pars préparer les chambres et nous parton tout couché.
Arrivé au lit, je prends Livai dans mes bras, je mets ma bouche a son oreille.
-Dis mon beau, tu dois bien être au courant des pratiques d'Erwin au lit ?
Il frissonne à ma voix très sensuelle.
-Oui, tu veux pratiquer aussi ?
Il se retourne est à un regard mi- amusé, mi- excité. Je lui fais mon plus beau sourire.
-Non, je suis enceinte. Et c'est pour savoir exactement, Armin ne veut rien me dire.
Il a l'aire dessus.
-Je ne dirais rien, c'est Armin qui doit tend parlé.
-Pas juste je veux juste savoir.
Je me retourne, et je me mets à boudé. Oui, je suis un gamin comme il aime si souvent m'appelle. Il vient coller mon dos à son torse si musclé. Et me prend, dans ces bras.
-Allez ne boude pas si tu veux, je lance la conversation à table demain, les mioches ne comprendrons rien.
-Ouais, mais au petit déjeuné comme ça les gosses ne seront pas encore levé.
-Ouais, aller dort. Tu dois être fatigué.
-Oui, bonne nuit cœur.
-Bonne nuit mon chou.
On s'endort tout de suite après dans les bras l'un de l'autre.
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