PVD Livai :

Je pars éteindre, en revenant, j'adopte une démarche féline. Il a l'aire d'aimer ma démarche vue comment il se lèche les lèvres. Il remonte son t-shirt, légèrement et il se place de sorte à ressembler à un dieu. Putain il me fait trop défais.

-T'es trop à bandé, mon cœur.

Il rougit. C'est un appel au viol ce gamin.

-Tu n'es pas mieux, mon chat.

Quand il m'appelle comme ça. Mm. Putain, j'ai envie de le prendre, mais il veut que je lui montre tout l'amour que j'ai pour lui. Je me positionne à quatre pattes sur le lit et m'avance lentement vers lui. Une fois devant lui, je passe lentement une main sous son t-shirt. Il pose sa main sur ma joue est me dirige, vers ces lèvres. Je pose mes lèvres, le plus doucement possible. Je l'embrasse avec tout l'amour que je possède pour lui, il me regarde dans les yeux. Il fait sa sûrement pour me sonder l'âme. C'est la seule personne qui a su lire au fond, de moi par le biais de mes gestes et mes yeux.

-Je t'aime Eren Ackerman est n'en doute jamais. Tu es le seul, la seule personne à qui je tiens autant. Nos deux enfants sont les deuxièmes personnes au monde qui compte le plus.

Il se met à pleurer, me prend dans ces bras.

-Je suis là, Eren et je ne compte pas te lâcher.

-Je t'aime aussi mon très cher mari, même si, ce sera valide qu'à partir de demain.

Il relevé la tête est me montre sont plus beau souri. Je l'aime est rien ne pourras changer ça. Je lui prends sa tête entre mes mains et déposé mes lèvres sur les siennes. Il répond, le baisé devient de plus en plus intense est chaud. La température de la pièce augmente au fur et à mesure que le baisé s'intensifie. Il dépose ces mains sous mon t-shirt est me l'enlève, je fais de même avec le sien. Je descends mes baisé dans son cou. Sa tête par automatiquement vers l'arrière est me laisse un libre accès à celui-ci. J'y laisse des traces violaces, ma langue en profite pour passer la barrière qui est mes lèvres. Et descend vers ces boutons de chair qui sont déjà fièrement dressés. Ma main droite s'attaque à son bourgeon. Tend qu'à ma bouche, prend possession de son autre bourgeon bien rosé.

Il gémit, est cela me fais frémir. Quand je trouve, avoir suffisamment torturé ces boutons roses, je repars à la découverte de son corps avec ma langue. J'arrive à son nombril, j'y introduis ma longue tout en effectuent des va et vient. Il gémit de plus en plus fort, il passe sa main dans mes cheveux est tire un peu dessus.

-Livai, s'il te plaît. Descends !

Je fis ce qu'il me demande est, repart à l'exploration. Je me retrouve rapidement bloqué par l'élastique de son pantalon. Il relevé légèrement le bassin pour me montrer qu'il veut que je le retire.

Je me décide a retiré que son pantalon. Il laisse échapper un soupir de frustration.

-Livai, je n'en peux plus prend moi.

Je le regarde avec un sourire des plus féroces.

-C'est demandé si gentiment mon bébé.

Je lui retire donc son boxer est lui présente trois doigt. Il les lèche, putain, il est si sexy. Je les retire, et en introduit un dans son antre. Il gémit de douleur au début. Plus je bouge est plus il se détend, j'en introduis un deuxième. J'entame des mouvements de ciseau tout en cherchent sa boule de nerf.

-HA LIVAI.

Je souris et lui léché le ventre lui disant doucement.

-Trouvé !

Il me regarde avec de la pure luxure dans les yeux. J'entre le dernier doigt et commence des mouvements de vas et vient tout en tapent sur sa prostate.

-Livai, j'en peux plus, prend moi.

-Bien mon ange.

Je retire mes doigts, je présente donc mon sexe a son antre est attend son accord.

Il me fait un signe de tête.

Je fais ce qu'il me demande et entre en douceur. Il gémit de plaisir, je me stoppe a la garde en attendent qu'il s'habitue à ma présence. Ils donnent un coup de bassin pour me donner le signale. Je commence donc de lent va et vient. Il gémit. J'accélère finissant par la trouvé.

-HA..... LI... VAI Mm. ha

Il vient de jouir, mais il me bloque a l'intérieure de lui pour que je continue, je le fis. Je donne des coups de bassin de plus en plus fort et rapide. Il ne gémit plus, mais hurle mon nom est à quel point il m'aime. Pour une fois je laissé échapper, mais gémissement ainsi que mes cri rock malgré tout. J'arrive à la délivrance, je prends en main le sexe d'Eren est y exerce des va est vient en cadence avec mon bassin. On vient en même temps, lui entre nos deux torses et moi en lui.

-C'était comment ?

-Super, j'ai adoré. Tu as était merveilleux.

Je me retire est, je m'écroule à coter de lui. Je reprends mon souffle est part à la salle de bain cherche de quoi le nettoyé. Quand je reviens, il sait endormi. Une fois l'avoir nettoyé, je vais voir les petits. Ils dorment, tous les deux, à point fermé. Je pars donc me coucher, une longue journée nous attend demain.

Ellipse jusqu'aux mariages :

PVD Eren :

Je stresse a mort, dans dix minutes, je rejoins Livai devant le prêtre. Quand je me suis réveillé, je n'avais pas fait de cauchemar. Vais-je me sentis beaucoup mieux vis à vis de Livai. Armin n'arrête pas de courir dans tous les sens. Les enfants sont séparées, Katsuki est avec moi alors qu'Usami est avec Livai. On a prévu de porter nos enfants lors de nos serments. Ça va être à moi d'entrer sur la plage pour rejoindre mon mari. Katsuki, commence à s'endormir.

J'entends la musique commencé.

Je marche avec Armin qui me tient au bras pour m'emmener jusqu'à l'autel. Il se retourne est là, je suis retombé amoureux de lui. Il est beau comme un dieu. Il a un smoking bleu nuit qui met parfaitement en valeur le gris de ces yeux. J'arrive à ses côtes. Il me tend ça main que je prends, on s'enlace au niveau des doigts. Je lui susurre à l'oreille comme quoi, je le trouve beau comme un dieu ce qui le fait rougir.

-T'es à croquer aussi, quand, tu rougis.

-Et toi un appel au viol avec ton cul bien moulé.

Je rougis fortement et le prêtre se racle la gorge. On dirige notre regard vers lui, il commence alors à nous dire tout son charabia.

-Monsieur Livai Ackerman, voulez-vous prendre pour époux Monsieur Eren Jäger ici présent ?

-Oui, je le veux.

-Monsieur Eren Jäger, voulez-vous prendre pour époux Monsieur Livai Ackerman ici présent ?

-Oui, je le veux.

-Par les liens qui me sont conféré, je vous déclare unir par les liens du mariage. Vous pouvez embrasser le marié.

Livai m'attrape par la taille est m'embrasse. Les petits se réveillent, Armin avait prévu des biberons pour eux dans la voiture des mariés. On se diriger donc vers celle-ci est leur donnons à manger. Nous nous dirigeons vers une salle que l'on avait réservée pour faire un peu la fête.

Notre lune de miel sera à la maison, mais personne ne nous dérangera. Comme je ne peux plus trop bouger avec les petits. Donc, voilà, je suis marié. J'ai une pensée pour ma mère qui sans elle, je n'aurais pu vivre avec cette homme est d'avoir, c'est deux si beaux enfant.

-Eren, arrête de rêvasser, on va couper le gâteau.

-Oui.

On prend tous les deux le couteau d'une main est le coupon. Livai me tend la première bouche est, je lui fis pareil. On distribua les parts de gâteau est comme je suis un gamin, je regarde Livai avec une lueur d'amusement dans les yeux. Il devient blanc, je crois qu'il a compris. Je prends lentement ma part, et la lance dans la tête à Livai. J'explose de rire est Livai retire le plus gros est, me le lance, a la figure. Sa part en bataille générale. Il est minuit, je prends les petits est dit à tout le monde que l'on va arrêter ici. Il part tous, je me dirige vers Livai, il parlé avec Armin et Erwin.

-Coucou, alors le petit ?

Armin, deviens blanc.

-Que se passe-t-il ?

-Le petit n'a pas survécu. Il était trop faible. Hanji pence que c'est de sa faute parce qu'elle ne l'a pas assez surveillé.

-Je suis désolé Armin. Comment tu te sens ?

-Avec Erwin, on va recommencer, nos chaleurs son dans une semaine. J'espère que tu n'as pas oublié même si tu as eu Katsuki et Usami, tu les as toujours.

-En fait, je les avais depuis la fin de ma grossesse. Elles se sont déclenchées deux heures après.

-HA.... Ça veut dire que tu es encore enceinte Eren, tu aurais pu me prévenir quand même.

-Je te l'avais dit que je voulais une grande famille. Et puis tu avais cas pence à la capote aussi.

-Tu aurais pu, y pence aussi.

-Est vous pouvez vous disputer quand les petits seront au lit.

-Non, surtout, que c'est pour des choses que l'on ne devrait pas ce disputé. De toute façon, j'en voulais d'autre aussi. J'espère juste que ce ne sera pas encore des jumeaux.

-En plus, c'est extrêmement dure de les portés.

Après cette discussion, des plus passionnantes, on rentre tous chez nous est Livai préviendra le directeur comme quoi il prend un congé paternité pour deux mois.