PDV de Reiko :

J'attends impatiemment le directeur tout en m'asseyant sur une des chaises présentes dans la salle. La porte s'ouvre, je me lève précipitamment et regarde la personne qui entre. C'était un homme avec de longs cheveux blond, avec un corps fin, il était magnifiquement bien bâtit. Je me fonds dans ses yeux, mais j'aperçois une autre personne derrière lui. Il me semblait énormément familier,

«Tu dois être Akiyama Reiko, me questionne le blond. Je suis Ruika, le directeur de ce manoir.»

«Oui, je suis enchanté. Je m'incline.»

«Hum, alors c'est bien toi.»

Je relève la tête pour voir la personne qui semblait me parler, et la personne n'était d'autre que le pervers que j'avais rencontré il y a quelques jours.

«V-Vous...! Surprise, j'élève le ton.»

Tandis que Ruika souris pendant que je fixais l'autre pervers, il coupe le silence puis commence à parler.

«Reiko, sais-tu ce que représente être servante au juste ?»

«Euh.. Oui!»

«... Je vois il y a un autre étape que tu ne connais sans doute pas.»

«...? Je penche ma tête sur le côté»

«Cette salle, peux-tu me la décrire?»

«Euh... Une salle anti-sonore?»

«Tu ne t'es toujours pas rendu compte? Il me sourit.»

«Non...?»

«Hmm... Tu va vite comprendre pourquoi.»

Pendant que Ruika me parlait, l'autre était dos sur le mur bras croisés, comme s'il attendait quelque chose.

«Tu connais le plaisir sexuel ?»

Surprise, je le regarde.

«On ne t'a donc pas informé de ça.»

Je reste sans voix et continue d'écouter ses explications.

«Donc... Si j'ai bien nous les servantes... On... Dois satisfaire.. Nos maîtres sexuellement..?»

«C'est exact.»

«...»

«Je vais te le demander cette fois. Étant donné que tu connais la vérité maintenant est-tu toujours prête à être servante?»

Si je refusais maintenant, tout ce qu'aurait fait Frastia-sama ne serviront à rien...

«Oui.»

Sans réfléchir, je lui réponds d'un oui franche.

«Tu m'intéresses. En plus d'être malpolie, tu as du courage.»

Celui qui était si silencieux commence à parler dans un ton arrogant.

«Dans ce cas que dirai-tu d'être ma servante?»

Je lui réponds immédiatement un non.

«Hors de question.»

Ruika commence à sourire puis nous laisse tout en fermant la porte derrière lui.

Il s'approche de moi tandis que je recule.

«Je vais te proposer un jeu, si tu gagne je te laisserai. Mais si je gagne tu serai ma servante.»

Mon dos cogne le mur, il pose ses deux mains de chaque côté de ma tête. Il mets sa jambe entre mes deux cuisses, je ne pouvais pas bouger.

«Alors?»

Je l'ignore en regardant ailleurs.

«A-Arrêtez...»

«Tu m'ordonne d'arrêter en plus?»

Il enfouit sa tête vers mon cou et balade sa langue tout en me faisant gémir, puis commence à malaxer ma poitrine, une envie me prends feu, le visage rouge, la respiration lourde me fait sentir si impuissante. Il commence à jouer avec mes mamelons pointantes... Laissant le plaisir me guider, je finis par vouloir écouter ses conditions.

«Quel est ta.. Condition..?»

«Si tu jouis avant moi, la victoire me revient, et si j'éjaculerai avant toi dans ce cas la victoire te reviendrait.»

Il parle de ça d'une nonchalante exagérant comme s'il avait l'habitude..

J'hoche la tête pour lui dire que j'acceptai son jeu. Sans même attendre il m'attaquait déjà d'en bas tout en caressant ma partie intime.

«Aah.. Je me mords les lèvres.»

Il commence à sucer fortement mes mamelons, je me sentais vidée, et si brûlante, je tends mes mains vers son bas et saisit son pénis. Avant même que j'aie le temps de caresser, il enfonce ses deux doigts dans mon vagin. Et fais les va et vient.

«Tu mouilles déjà des litres.. Je t'excite? Il me sursurres ces mots à mon oreille.»

«Gnhh..»

Je mets ma main devant ma bouche pour cacher mes gémissements. Mais il relève sa tête pour venir déposer ses lèvres puis fais danser ma langue avec le sien... Je sens l'extase prendre fin et finit par jouir.

«Aaaah..»

Je n'avais pas eut le temps de satisfaire sont pénis.. Pendant toute l'heure il n'a fait que de jouer avec moi.

«Je résume que c'est moi qui a gagné alors.»

Je finis par m'écrouler au sol.

«Tu me servira toute ta vie, moi ton maître Glenn Kashiragi. Tu as compris?»

Par son ton arrogant et autoritaire, je hoche la tête tout en l'écoutant.