Première lettre :

Chère Mlle. Ashshield,

Il est vrai que cette épidémie est bien plus désastreuse que prévue. La partie touchée à été confinée le plus rapidement possible après la réception de vos ordres et j'ai demandé à tous les médecins disponibles de se mettre sur la recherche du remède. Malheureusement, bien que l'on ait pas tant de problème côté financement, le virus semble de plus en plus rapide et mortel. Plusieurs enfants en sont décédés pour mon plus grand malheur. Les chercheurs se donnent jours et nuits pour trouver une solution, et quelques tests ont été réalisés, mais rien de si productifs pour le moment. Je vous tiendrais évidemment au courant des moindres avancées.

Faites de votre mieux. Bien que ça presse, pour le moment, j'arrive à me débrouiller. Et essayez de profiter un minimum de votre séjour ! Puisqu'après tout, vous ne pouvez rien faire de plus pour les faire accélérer. L'elfe s'est montré plus calme après l'annonce de la maladie qui s'est répandue. Il a également reçu une lettre de son royaume, que je n'ai pas pu lire avant de lui transmettre. Les informations qu'il a lu l'ont rendu plutôt morose est beaucoup moins bavard. Il erre presque dans les couloirs de la résidence principale durant la journée, et son attitude suffisante a presque disparue.

Le nouveau secteur contenant des rubis est creusé tout le temps, et les réserves augmente jour après jour. L'économie va effectivement remonter, si tout se passe comme prévu. Les piliers principaux ont été terminés, permettant à certaines zones de reprendre leurs activités. Doit-on construire les piliers secondaires pour plus de sûreté et pour rendre accessible les zones plus éloignées ?

J'espère que vous allez bien,

-Filneos Pardestem

Deuxième lettre :

Chère petite Thonaeni,

Me moquer de toi ? Mais jamais je me permettrais, voyons. (Oui, tu dois clairement te venger, mais laisse moi la vie sauve tout de même). C'est vraiment dommage qu'aucune adaptation n'est été réalisé. Cela fait pourtant plusieurs années qu'ils reçoivent la visite de nains. Les remarques sont assez logique, puisque les Hommes doivent être le peuple le moins aventureux, et ne sont pas rare ceux qui n'ont jamais quitté leur royaume. La plupart doivent être surpris de l'apparence d'une Naine. La reine qui plus est ! L'elfe a dit quoi ? Que nous étions pas supportable ? Eh bien ça alors ! Il commence a vraiment m'énerver si tu veux savoir. Même si c'est vrai qu'il se montre beaucoup moins à l'extérieur de votre résidence ces temps-ci. Je ne cherche pas trop à savoir ce qui lui arrive, pour tout t'avouer. Je ne l'aime pas, et je suis bien content de ne plus croiser son chemin !Ta compagnie aussi est quelque chose d'essentiel, et j'ai vraiment hâte que tu revienne. Je n'ai plus personne à qui raconter mes centaines de blagues par jour ! Ce prolongement est une assez bonne nouvelle, si tu veux mon avis. Surtout avec la maladie qui circule chez nous. J'essaye de ne plus trop sortir non plus, mais je suis dans le secteur le plus éloigné alors ça va quand même ! Je pense qu'il vaut mieux pour moi de ne pas te contredire sur ce sujet.. Et puis, c'est vrai que tout le monde affirmait que tu faisais les plus belles ! x)Je n'y peut rien si on te voyait tout le temps en deuxième ! Et puis, ce n'est pas moi qui rigolait derrière les armures dans le hall. A chaque fois tu attirais l'attention de ton père vers nous ! Je l'ai appelé Spirit ! Il a grandi un petit peu et je suis trop content de ne plus être tout seul pendant ces longues journées. Il est vraiment trop drôle à sauter partout, et il mange vraiment beaucoup. Le problème, c'est qu'il perds ses poils partout dans la maison, et je dois nettoyer tout les jours..! J'espère vraiment que tu vas bien,

-Bandith Onyxdelver

Troisième lettre :

Chère Mlle Ashshield,

Ne vous en faites par pour eux, je les ais sûrement pris au dépourvus par ma présence. Ils sont tout de même restés polis. Heureusement, d'ailleurs.

Je suis désolé d'apprendre que vous devrez prolonger votre séjour, évidemment que ça ne me dérange pas de discuter de tout ça par missives. Je dois en plus rentrer chez moi pour une affaire personnelle dès que possible.

Que savez-vous du traité ? Votre père vous en a sûrement parlé, il est tout de même vraiment important.

J'espère que vous allez bien également, moi je me porte bien,

Onas Orifaren.