Bonus : Si je l'avais su, je n'aurais rien changé

Bonus : Si je l'avais su, je n'aurais rien changé.

Aujourd'hui, c'est le mariage de Black et White.


Six ans sont passés depuis le drame, enfin plutôt de mon coma, sinon on pourrait dire que sept ans se sont écoulés... Maintenant j'ai 23 ans, Whitley — Enfin — Faitsu aussi. J'ai encore l'habitude de l'appeller par son surnom mais ca ne lui pose aucun problème — me dit-elle à chaque fois que je me trompe.

Avec le temps, elle n'a pas vraiment changé, elle a juste arrêté de faire ses deux macarons sur le côté de sa tête, elle porte sois une coupe de cheveux comme sa mère ou les cheveux détachés qui lui vont toujours aussi bien — Ça me rappelle le bon vieux temps quand je m'étais introduit dans sa chambre quelques jours après son arrivée.

Pour ma part... Apart avoir grandis et avoir pris des traits plus masculin, je n'ai pas vraiment changé, apart bien sûr tout ce qui concerne mes expressions. Je ris plus souvent, souris aussi. C'est comme si j'étais enfin sorti d'en dessous de ce linceul qui m'a toujours empêché de voir le monde autour de moi.

Quand je suis stressé ou que je repense à mon passé, Faitsu est toujours là pour moi et me réconforte, elle m'enlace avec le plus de force qu'elle peut comme pour me prouver qu'elle est bien avec moi.

Rien n'a vraiment changé depuis ce jour où l'on s'est retrouvé.

Faitsu se dépêche de se préparer et descend dans sa robe de demoiselle d'honneur alors que je remet bien ma cravate — J'en met bien une pour faire plaisir à Black. Ça m'a assez surpris quand il m'a demandé d'être un des cavaliers des demoiselles d'honneur. Je lui ai répondu qu'il n'était pas obligés de me prendre car Faitsu l'était mais il a insisté en disant que c'était car j'étais son ami.

C'est bizarre, mais c'est comme s'il avait fait une demande en mariage à moi, vu le point au quel cela m'a touché mais quand j'en ai parlé à Fai, elle a rit et m'a juste dit : "Idiot, tu ne l'aimes pas pareil que moi quand même j'espère ?" Puis j'ai rit à mon tour.

Fai, que je surnomme comme ça maintenant, descend enfin de l'étage et me regarde avant de rougir un peu puis sourit.

"Ça te va bien.
- Tu as mis du temps. — Je la taquine
- Désolée, j'ai eu du mal à me coiffer, mes cheveux sont super secs en ce moment... En plus mes jambes sont toujours aussi lourde depuis une semaine."

Elle rajuste ma cravate de nouveau et passe son bras en dessous du mien pour qu'on s'y habitue déjà. En sortant de notre nouvelle maison qu'on possède depuis deux ans de cette manière, nos voisins, qui ne sont d'autres que la mère de Whitley d'un côté et un couple de personnes âgés de l'autre rient aux éclats.

"C'est enfin le mariage les jeunes ? Tous mes vœux ! — Dit le vieil homme
- Ils ne vont pas se marier, ils vont aux mariages de leurs amis ! — Rit la mère
- On va y aller si ça vous gêne pas... On revient ce soir !"

Je conclus la discussion et on avance dans la rue paisible de Pavonnay, c'est ici qu'on a décidé de refaire notre vie — Là où tout avait commencé, au final.

On toque à la porte de la maison de Matis qui sort bien habillé ce qui fait exploser de rire Fai. Sa petite sœur, Nina, qui a bien grandis depuis et qui a presque notre âge arrive derrière.

"Faites attention à lui d'accord ? Il doit rentrer à 23h pile, pas une minute de plus ! — Sermone Nina
- Une vraie maman ! — Rit Faitsu
- Je fais juste le boulot que sa femme devra faire plus tard mais il trouve personne donc... Au passage, Léopardus vous passe le bonjour mais il dort actuellement !"

On sourit tous les trois. Le chacripan qui avait évolué avait finalement été retrouvé auprès d'un des membres du Trio des Ombres. On quitte Nina et passe chercher au final Yuki, Mayu et Yuuko.

Rien n'a vraiment changé, on habite tous encore ici. Tout le monde sait que j'étais un agent de la Police International mais ils m'ont tous pardonnés de mon mensonge et sont heureux de me voir heureux. Sur tout le chemin jusqu'à l'hôtel de ville, Fai a du supporter les interrogations des filles.

Une fois arrivée sur le lieu du rendez-vous, on se retrouve dans une sorte de plaine et au loin plusieurs chaises en rangés et une longue allée, tout dans les tons noirs et blancs avec des pétales de rose rouge. Les filles et Matis partent s'asseoir et avec Faitsu, on attend Black et White avant de voir sortir le loup d'une voiture assez discrète, il vient vers nous en souriant.

"Merci d'être venu et d'avoir fait un effort ! Ça vous va bien ! Ça va toujours depuis le temps ?
- Tu as appelé à la maison il n'y a que deux jours, Black. — Fai soupire de son harcèlement téléphonique
- Désolé... J'étais un peu stressé !
- Le boss et son employé se marient enfin au final, deux rêveurs en couple, ça vous ressemble bien."

Je le taquine et il me regarde en souriant d'un air qui voulait dire qu'il n'allait pas me laisser filer maintenant.

"Et vous alors ? Pas de mariage en vue ? Qui sais vous êtes même trop pure pour..."

Je couvre les oreilles de Faitsu qui soupire juste. Black est exaspérant, je lui répond à sa question juste par un regard gêné et il rit.

"C'est un plaisir de voir ton air gêné Blake !
- Je t'ai déjà dit de m'appeler par mon prénom...
- L'habitude, désolé !"

La mère de White arrive et demande à Black bien gentillement d'aller se mettre au bout de l'allée. J'allais devoir accompagner White jusqu'à lui car elle n'a pas de père, elle comme Black. Je regarde une dernière fois Faitsu avec des yeux remplis d'amour.

"Je reviens bientôt d'accord, Faitsu ?
- Je t'attendrais Rakutsu, on se retrouve comme là où on se l'est dit après le mariage."

Je lâche sa main avec un pincement au cœur et je peux sentir que c'est réciproque dû au fait qu'elle a dû mal à lâcher ma main.

Je m'approche de la grande voiture noir qui arrive enfin, j'ouvre la porte pour voir White avec une grande et volumineuse robe blanche avec des volants et un voile qui cache son visage.

Ses cheveux sont attachés dans une couronne et elle garde ses deux mèches qu'elle porte habituellement sur le devant de son visage. Je tend ma main vers la concernée qui la prend en souriant. Je lui murmure un petit compliment sur sa robe et qu'elle plaira à Black avant de la faire sortir de la voiture.

Elle passe son bras en dessous du mien et je la fais marcher le long de l'allée avec Black qui fixe White avec insistance tout en rougissant. Faitsu se trouve juste à côté de lui avec sa robe évasée blanche et ses cheveux détachés qui tombe dans son dos avec quelques mèches sur le devant.

Je lui exquise un sourire et elle me le rend. Accompagné de White, j'arrive enfin au bout du chemin et elle me lâche pour se positionner en face de Black et prend ses mains dans les siennes timidement. On peut voir Black qui rougit encore un peu plus mais avec un grand sourire sur le visage.

Le prêtre, Sage Carmine, qui s'est reconverti dans l'église pendant ses six années, commence à lire les phrases et le monologue habituel des mariages.

Je reste aux côtés de Black jusqu'au moment où le Sage demande les alliances, une petite fille s'approche et manque de tomber plusieurs fois. Je vais vers la fille et la rattrape, la porte en souriant.

"Fait attention à toi Gray."

La petite fille âgée de seulement 3-4 ans me sourit et donne les alliances au prête depuis mes bras. Je la pose à mes côtes en continuant de me tenir la main. Gray regarde ses parents en souriant jusqu'à ce que le prête annonce la dernière phrase :

"Vous pouvez embrasser la mariée."

Black s'approche de White fébrilement et relève son voile. Il plonge son regard dans ses yeux bleus comme je fais souvent avec Faitsu avant de se pencher vers elle pour l'embrasser, étant plus grand qu'elle. Tout le monde applaudit et sourit, crient presque le nom des mariées et Gray fonce vers ses parents et leur fait un câlin.

La petite famille se fait un énorme câlin et le photographe vient prendre une photo d'eux trois.

Le mariage était enfin fini, c'était l'heure de la fête maintenant. J'avais donné rendez-vous à Faitsu sous l'arche de fleurs de mariage au début de l'allée vers seize heure après avoir fini mes tâches. J'ai du accompagné White dans la salle des fêtes juste à côté puis je suis sortie, la salle était beaucoup trop remplie et pleine de monde.

Quand j'allais sortir, Black m'arrête.

"Tu vas chercher Whitley ?
- Oui, ne t'inquiètes pas, je sais où elle est.
- Vu que tu sortais, je suis pas sûre..."

Je regarde Black sans vraiment comprendre et il me dit que Faitsu est aux toilettes, qu'elle s'est sentie très mal d'un coup. White l'a accompagnée et l'a envoyé me prévenir.

Je pars en courant vers les toilettes pour trouver White devant la porte.

"Elle est là ? — Je demande inquiet
- Oui, elle semble vraiment pas allée bien... Vous devriez rentrer."

J'hoche la tête et entre dans les toilettes puis regarde les cabines toute ouverte sauf une, je toque à la porte pour entendre la voix fébrile de Faitsu donner signe de présence.

"Hé, Fai... On va rentrer si tu te sens s'y mal... Tu veux bien m'ouvrir ?"

Elle m'ouvre la porte en étant assise par terre en se tenant le ventre et la bouche avant de se repencher au dessus des toilettes pour vomir. J'attrape ses cheveux et les lui tient alors qu'elle soupire. Elle boit de l'eau avant de se lever.

"Je crois que ça va mieux... — Son regard est vide et son visage assez pâle
- On va rentrer, tu vas pas bien du tout Fai."

Je passe ma main derrière son dos et ses jambes avant de la soulever en tenant bien sa robe pour qu'on ne puisse pas voir en dessous. Elle pose sa tête contre mon épaule en respirant assez vite et je sors des toilettes. White me regarde inquiète et se penche vers Faitsu pour lui murmurer quelque chose à l'oreille que je n'entend pas.

Je m'excuse de devoir partir aussi soudainement et je sors de la salle des fêtes en portant toujours Faitsu comme une princesse et je la met dans ma voiture qui était déjà garé ici depuis hier. Ce n'est pas si loin de la maison donc c'est pour cela qu'on y est allés à pied ce matin mais vu l'état actuel de Fai, vallait mieux rentrer en voiture.

Je la pose sur le siège passager et l'attache en caressant ses cheveux. Elle m'adresse un regard réconfortant et je lui souris tendrement avant d'entrer dans la voiture à mon tour à la'place du conducteur. Je m'attache et met les clés dans la serrure à cet effet pour commencer à conduire la voiture.

Je ne roule pas trop vite pour ne pas donner d'autres nausées à Faitsu et l'on arrive chez nous quelques minutes plus tard. Je la sors de la voiture et entre dans la maison, monte à l'étage pour l'allonger dans notre lit.

Elle s'était endormie.

Elle devait vraiment être épuisée pour s'endormir d'un coup dans la voiture. Je décide d'aller dans une pharmacie pour lui prendre des médicaments.

J'arrive dans la pharmacie et j'explique les symptômes à la vendeuse qui semble comprendre directement. Elle me pose quelques questions en plus.

"Est-ce que ces jambes étaient lourdes ces temps-ci ?
- Oui.
- Ces cheveux sont-ils secs en ce moment ?
- Elle s'en ai plaint oui..."

Elle esquisse un sourire puis laisse échapper un petit rire voyant que je ne comprenais pas et elle met une boîte dans un sac en plastique.

"Vous devriez ne pas regarder à l'intérieur, vous vous gacherez la surprise... Ne vous inquiétez pas, ça va l'aider."

Je la crois et prend le sac plastique avec la boîte à l'intérieur qui semble bleu et je paye le prix qu'elle me donne. Je rentre à la maison pour trouver Faitsu qui dort encore à poing fermé — Je n'ose pas la réveiller et je pose juste le sac en plastique sur la table de chevet en face d'elle avec un petit mot. J'embrasse son front et passe ma main dans ses cheveux détachés.

J'ai repensé à beaucoup de moment qu'on a vécu à deux — Les pires comme les bons. Le meilleur reste celui de quand on s'est rencontré, dans le mensonge au début, et dans la vérité il y a six ans. J'ai changé grâce à elle — J'ai pu vivre ma vie grâce à elle.

Je me rappelle encore le jour du voyage à Méanville, quand on a pris le bateau pour Volucité d'abord. On s'était amusé sur la balustrade du bateau et j'ai vu pour la première fois son vrai visage et une couleur autre que le noir ou le blanc. J'ai vu le ton rosé sur ses joues et ses yeux — Ses yeux couleur azur, devenir aussi brillant que le ciel étoilé. Tout ça grâce à elle et son sourire d'enchanteresse, j'ai senti pour la première fois mon cœur battre dans ma poitrine et je ne voulais pas la lâcher.

Je ferme les yeux et me laisse emporter par le sommeil. Pendant mon sommeil, j'ai pu sentir quelque chose partir d'entre mes bras et une porte se fermer. Je me réveille et je regarde le réveil, il est 19h42. J'ai dormi un peu plus de deux heures et Faitsu n'est plus à côté de moi. Je me lève en passant ma main dans mes cheveux pour les recoiffer assez vite même s'ils sont indicsciplinés la plupart du temps. Je laisse échapper un bâillement et descend dans le salon pour voir Fai assise dessus qui regarde la télé. Quand elle me voit, elle se lève d'un coup en rougissant et semble gênée.

"Ça ne va pas ?
- On est bientôt à Noël... Et hum... Je vais pas te cacher mon cadeau plus longtemps, ça fait déjà un moment que je te le cache... J-je sais qu'on est le 22 et que c'est bientôt mais tu le seras avant sinon..."

Elle me tend une sorte de boîte qui est emballé soigneusement dans du papier cadeau et attachée avec un ruban dorée.

Je tire le ruban et le pose sur la table en restant debout face à elle et j'enlève le papier cadeau. Ce qui est à l'intérieur me surprend le plus.

C'est... Une simple boîte rouge. Je regarde la boîte puis Faitsu.

"Je l'ai enlevé de son emballage d'origine donc..."

J'hoche la tête et pose ma main sur le couvercle de la boîte. Je commence à le retirer doucement et je vois Faitsu qui ferme les yeux comme si elle était très stressée par quelque chose. C'est quand j'ai regardé le contenu de la boîte que j'ai compris.

"C-ca fait déjà un moment... Ça fait bientôt trois mois, c'est pour ça que j'ai toujours voulu porter des vêtements larges pour te le cacher et pour la robe pour demoiselle d'honneur, elle était plus grande qu'elle aurait dû l'être... D-désolée de te l'avoir cacher Rakutsu..."

Je referme la boîte et la lance contre le canapé avant de l'enlacer sans la compresser au niveau du ventre et je peux l'entendre renifler et je sens ses larmes coulés puis tombés dans le creux de mon cou.

J'esquisse un sourire en laissant mes paupières se fermer et elle me lâche un petit peu pour poser ses mains sur mes joues et dessine des mouvements circulaires avec ses pouces en dessous de mes yeux.

"Ne pleure pas...
- Tu préfères que je reste impassible comme avant alors ?"

Je laisse échapper un rire et elle fait de même. Je pose mes mains sur son ventre et le caresse un peu en remarquant qu'il avait déjà commencé à prendre une forme arrondie et je lui souris.

"Rakutsu... Tu vas être père.
- ... Tu sais, je ne regrette rien. Même si j'ai été viré de la police, même si mes parents sont morts... Même si j'ai du te faire du mal... Je suis heureux actuellement. Je suis l'homme le plus heureux, et avant je ne connaissais pas du tout ce sentiment... Tu m'as donné des pincements au cœur, des papillons dans l'estomac, des rêves, des couleurs à mon monde, de l'aide, une Réalité à suivre, l'amour que je n'ai jamais eu... Et maintenant un enfant. Tu ne sais pas à quel point je peux t'aimer Faitsu...
- Rakutsu... Je suis tellement contente d'avoir pu t'être ne serait-ce qu'un peu utile...
- Tu ne l'as pas qu'été un peu... Tu m'as sauvé."

Le regard des deux jeunes adultes se mélangent alors que les larmes de chacun coulent le long de leur visage. Ils se sourient et se perdent dans le regard de l'autre. Ils se rapprochent et scellent leur sentiment dans un baiser doux et innocent — Rempli de pureté et de tout l'amour qu'ils se portent l'un à l'autre — Comme si c'était le dernier.

Ils reculent un peu pour l'air après une trentaine de secondes à avoir profiter de la chaleur et du goût des lèvres de son amant respectif. Rakutsu laisse ses lèvres se courbaient dans un de ses plus beaux et doux sourires, ceux qu'il réserve qu'aux beaux yeux de Faitsu.

"Si j'avais su que tout ça se serrait passé, je n'aurais rien changé."

Fin

Je...
Je sais juste pas quoi dire.
Cette fanfiction m'a vraiment tenu à cœur jusqu'au bout.
En réalité, j'ai jamais fini de fanfiction en entier, ou même une histoire que j'ai inventé de moi-même.
J'abandonnais toujours, et je n'étais pas fière de moi...
Mais là, c'est vraiment différent. Je vous remercie du fond du cœur d'avoir lu cette histoire jusqu'au bout, ça a vraiment compté vraiment pour moi.
Ça m'a donné l'espoir de pas abandonner l'écriture de cette histoire comme j'ai fais avec tout les autres de mon nom. J'ai toujours rêvé de finir une histoire. Plus tard, je ne sais pas quoi faire et je me disais devenir écrivaine et aujourd'hui, je me sens bien plus comme une écrivaine qu'avant. Ça peut vous paraître ridicule car les personnages de l'histoire ne m'appartiennent pas et donc je n'ai pas pu mettre à l'œuvre toute mon imagination mais ce n'était pas ça que je voulais mettre à l'œuvre. Je voulais voir si j'étais capable de créer une histoire de A à Z même si l'univers, les personnages ne m'appartiennent pas. J'ai pu commencer l'histoire à partir de l'original, mais j'ai au final imaginé la fin moi-même et le plus important, c'est vraiment que à force d'écrire ici cette histoire, je me suis fais des amis et j'ai pu rire avec des gens qui partageaient à peu près les mêmes délires que moi. J'ai pu voir des gens me soutenir et ça m'a vraiment permis de prendre confiance en moi.

J'ai adoré écrire ici pour vous, j'espère que l'histoire vous à autant plu à vous, puis que vous avez passé un bon moment ici avec moi.

C'est avec un pincement au cœur que je dois dire adieu à ce livre, aussi douloureux soit-il. J'ai vraiment les larmes aux yeux et quand j'en ai parlé à des amis, une d'eux m'a dit de faire un deuxième livre donc... Ça reste à voir mais je ne vois pas vraiment ce que je pourrais faire dedans. Le fait sur un potentiel "Deuxième tome" reste en suspend.

Je...
Je dois vraiment m'arrêter de me taper un monologue ;3
Je veux remercier toute les personnes habitués ou qui on rejoint la lecture de mon histoire en cours de route qui m'ont soutenue, un peu comme Sunthegold, Floash-, EmmaLhr5...

Je vous remercie tous d'avoir lu cette histoire et je vous dis à la prochaine, peut-être sur une suite où sur une histoire totalement différente.

Merci.

- Fin de l'écriture du livre «Sentiments [Whi-Two/Whitley x Lack-Two/Blake <Corruptedshipping>]», par AyaraWhitley, le Samedi 03 Août, à 22:34.

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