( Note de l'auteur: Bonjour, voici un petit chapitre bonus sur l'anniversaire d'Eren qui est aujourd'hui même. L'histoire n'est pas en pause, je manque juste de motivations et de temps. Ne vous inquiétez pas.
Ce bonus contient des spoils, je n'ai pas pu faire autrement. Ne lisez pas si vous ne voulez pas être spoiler.
Merci à tous mes lecteurs, Kimicrazy)

Je rentre exténué, du bureau où j'avais travaillé toute la journée. Heureusement, depuis que j'ai appris à conduire et que j'ai ma propre voiture, je ne suis plus obligé de prendre le métro tard le soir.

Livai est en déplacement, et notre descendance passe un petit séjour chez sa grand-mère, ma mère. Rien de mieux que de laisser ses enfants chez nos parents quand on est en plein surdosage.

Ça fait bizarre de trouver un appartement bien vide, sans bruit... ni gazouillements, ni pleurs.

Je trouverai ça presque triste. Je pose mon sac sur une des chaises hautes en faisant tomber malencontreusement un hochet. Heureusement que ces trucs sont conçus pour ça.

J'allais me diriger vers ma chambre pour prendre une bonne douche quand je vis de la lumière à travers la porte

Je m'inquiète et ouvre légèrement la porte. Je vis la valise de Livai près de notre armoire.

J'ouvre la porte en grand, le faisant sursauter lui qui rangeait ses chemises sur des cintres.

- Qu'est-ce que tu fais là? Dis-je prescipitement, tu devais revenir que dans trois jours!

- Bonsoir, moi aussi je suis content de te revoir. Dit il sarcastiquement.

Je lui lance un sourire du même ton, avant de refermer la porte.

- Et pour répondre à ta question, dit il en rangeant sa valise dans un coin de la pièce, j'avais envie de rentrer pour être avec mon compagnon de vie pour son anniversaire.

- Ha? Tu sais, il ne fallait pas... ton travail compte beaucoup. Et...

Je me sentis retourner puis tomber sur le lit. Livai défit sa cravate, le regard brûlant.

- Tu veux que je sois franc? J'avais une envie de sexe telle que je ne pouvais pas la combler tout seul. Il fallait que je sente ta peau, tes tremblements, tes cris!

- L...Livai?!

Je sens le rouge me monter à la tête. Livai défait complètement da chemise laissant apparaître mon torse préféré, magnifiquement dessiné par des abdos que je ne me prive jamais de croquer dès que j'en ai l'occasion.

- Je voulais t'embrasser jusqu'à ce que tu en perdes la tête, te toucher pour que tu ne sentes que moi, te faire jouir jusqu'à ce que tu n'en peuve plus. Regarde moi Eren!

Il prit mon visage, il se mordit les lèvres.

- Ta bouche légèrement entrouverte, tes yeux vitreux, ta voix cassante, tes joues rougis, tes cuisses chaudes, ton front transpirant, tout! Tout me donne envie.

Ma gorge devenait sèche à mesure qu'il parlait.

- Que tu te tordes sous moi, que ton dos se creuse quand j'aurais logé ma tête entre tes jambes pour mordre chaque partie de ton anatomie. Que tu gémisses, oh oui... que tu gémisses mon nom.

Je sens ma pantalon commencer à chauffer. Livai créa des petits mouvements de bassins. 

- Je voudrai pouvoir soulever tes jambes pour les mettre sur mes épaules. Pouvoir te dominer, toi et toi seul. Et que tu me supplies d'aller plus vite. Que la pièce soit remplie de tes sons merveilleux. Oh Eren... tu sais... toutes ces choses que l'on ne peut plus se permettre depuis que nous sommes parents.

Son visage a quelques centimètre de moi, était une torture.

- J'aimerai ensuite, que tu me prennes dans tes bras. Que tu me caresses doucement le corps comme à chaque fois après l'amour. Que tu me dises que tu m'aimes. Et puis... que la flamme s'allume à nouveau, que tu me murmures que tu as encore envie de moi. Que tu prennes les devants. Tu te met au-dessus de moi, tu me chevauches. Tu gémis et gémis...

Livai prit ma mâchoire et me torturait encore un peu. Effleurant presque mes lèvres.

- Bref... tu as toute la nuit pour y penser.

Il allait m'embrasser quand je me réveillais en pleine nuit, en sueur, les draps presque mouillés.

Je compresse mon cœur qui battait à cent à l'heure.

Je regard en coin, la chambre qui me laisse la preuve que Livai n'est jamais rentré, qu'il est toujours à Osaka et que j'ai rêvé.

Je me recouche, me promettant que quand il reviendra, on pourra faire toutes ses belles choses.

Aujourd'hui, j'ai eu 25 ans, et ma vie a été tortueuse comme merveilleuse.