Chapitre 7: Tokyo (6)
- Alors... fit Hanji en ouvrant une porte où je pus lire M. Ackerman, PDG. Ici on a ton bureau! Je te laisserai t'installer tout à l'heure et là bas, derrière la porte c'est le bureau de Liv- hum... M. Ackerman.
Je regarde la porte, le cœur battant je n'ai jamais été aussi près de...
- Il n'est pas là ce matin, parti pour une réunion d'urgence. Je te préviens, il n'était pas vraiment de bonne humeur. Viens, on peut entrer pour que je te montre.
Elle poussa la grande porte blanche et une grande vue de la ville me fouetta le visage. De grandes baies vitrées avec un bureau horriblement bien rangé se dressaient devant moi.
La pièce était gigantesque, assez sobre. Je la parcourais du regard en me disant que c'était Livai qui avait créé tout ça. Que je me trouvais dans son bureau après cinq ans...
Je regarde rapidement le meuble du centre qui laissait paraître pas mal de paperasse et une ordinateur portable au milieu.
La seule décoration était un petit cadre où il y a avait une jeune fille dessus. La photo était abîmée mais le cadre rendait bien. Et puis le sourire adorable de la jeunette embellissait la décoration.
Hanji s'assit sans-gêne sur le bureau en me toisant légèrement.
- Arrête moi si je me trompe, mais tu sembles connaitre Livai plus personnellement que grâce aux journaux.
- Hem... et bien.
- Tu sais Eren, je ne suis pas que l'associé de Livai. Je suis aussi sa meilleure amie, tout ce qui se dira dans ce bureau restera dans ce bureau.
- Disons qu'on était voisin... et par un grand hasard on a commencé à se parler.
- Ah bon?! Dit prestement Hanji en écarquillant les yeux. Tu était son voisin? Mais... il y avait une boulangerie à côté de chez lui?
- Oui... tenue par ma mère, dis je en souriant. Livai y a même travaillé.
Elle se mit à rire.
- Livai! Travailler dans une boulangerie?! C'est pour ça qu'il est assez discret sur sa dernière année de lycée... je comprend mieux, dit elle en fixant mon visage. Vous étiez amis?
- On peut dire ça... mais on a perdu contact avec les études tout ça...
- Et puis Livai n'est pas ce que l'on peut appeler quelqu'un de social, dit elle en faisant des guillemets.
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