Lui, c'était Eren Jaeger, un élève de la classe A, sûrement le meilleur du lycée.
Aussi mon voisin, le fils du médecin Grisha Jaeger.

J'ai fait fuir les délinquants autour de lui. Il semblait gêner, il me remercia.

J'haussais les épaules et commençais à partir. Il me retint et me donna son nom. Je souris, je le savais déjà.

Ce soir quand je suis rentré, je me sentais bizarre. Cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti ce sentiment. Ses yeux brillant et plein espoir me faisait tellement penser à...

Je suis resté à ma fenêtre fumer, je remarquais que la sienne était en face de la mienne. Il faisait ses devoirs sur son bureau. Rien de bien ordinaire, pourtant il m'intéressait.

Le lendemain, lors d'un début de tempête, le père d'Eren est venu frapper à la porte pour nous demander si l'on voulait s'abriter chez eux.

Mon père accepta, et je me suis retrouvé chez eux en un rien de temps.

J'ai rencontré sa mère, qui semblait très gentille. Eren était tout timide à côté d'elle. Il me montra sa maison, et je dû prendre un bain avec lui.

Ça avait l'air de beaucoup le gêner. Je ne le regardais pas pour ne pas le mettre mal à l'aise.

Je sentais qu'il regardais mon bras bandé mais je n'y prêtais pas attention.

Pour la première fois depuis longtemps, je pris un excellent repas avec la famille plus des amis qu'ils hébergeaient. Eren était pétillant, plein de vie...

Je compris très vite une chose... il avait un certain intérêt pour moi. Ça ne me gênait pas.

Mais ses regards malgré qu'il tentait de les faire discret, étaient insistant.

Nous sommes restés longtemps chez les Jaeger. La tempête était violante, une nuit, nous avons dormi dans le grenier. On avait discuté un peu tous les deux, et à ce moment là, j'ai compris qu'il n'était pas du tout intéressé par les filles.

Je me suis endormi calmement dans le même lit que lui. Malheureusement dans la nuit, il s'était rapproché au point de se coller à moi.

Je voyais son visage, aussi près de moi. Je l'ai trouvé beau. Sa bouche légèrement ouverte et sa respiration lente.

J'ai avalé ma salive et j'ai réalisé que j'avais un petit problème au niveau inférieur. J'ai eu très honte et je me suis extirpé du grenier pour ne pas le gêner.