Chapitre 18: Grand changement (5)
Il commença à m'embrasser en pressant ses mains contre mon bassin.
Je le repousse un peu quand les baisers deviennent ardents.
- Livai, en temps normal je veux bien mais là... je suis fatigué. J'ai eu une grosse journée.
Je le sens sourire contre mes lèvres, alors qu'il s'allongeait sur moi.
- C'est la première fois que tu refuses de faire l'amour.
- Il y a un début à tout. Et puis avec les événement récents, on a besoin de sommeil.
- Je reviens alors, dit Livai en se relevant.
Je soupire en me blotissant dans les draps qui sentent bon la lessive. Je tombe dans le sommeil avant que Livai revienne. Il devait être aller chercher un médicament pour dormir.
S'il fait une insomnie, il va devoir se faire violence pour ne pas fumer. Je sais que ça être difficile pour lui de s'endormir.
J'étais dans un doux rêve quand la sonnerie de téléphone me réveilla. Je gémis en ouvrant les yeux. Mon réveil affiche 2:00 du matin.
Je sens Livai remuer dans le lit et attraper le téléphone.
- Allô? Murmure-t-il. Qu'est-ce qu'il y a?
Il se lève et sort de la pièce.
- Tu sais quelle heure il est? Eren dormait. Tu m'appelles pour...
Sa voix s'effaça derrière la porte. Je grommelle, espérant pouvoir me rendormir.
Livai se recoucha dans le lit et me prit dans ses bras en embrassant mon front.
- C'était qui? Murmurais-je.
- Hanji, elle avait un problème avec un contrat.
- Ce n'est pas trop grave?
Il colla ses lèvres à ma tempe.
- Non... pas pour toi.
- Tu as dormi un peu?
Je le sens sourire légèrement.
- Oui ne t'inquiète pas. Même sans sexe je peux trouver le sommeil.
Je pouffe légèrement en m'enfonçant dans son cou. Il prit une grande inspiration en me serrant dans ses bras.
C'est le pied de dormir avec Livai.
- Tu es chaud, comme une bouillotte.
- Heureux que je te sois utile, dit ironiquement Livai.
- Ce que je veux dire, c'est que j'aime dormir avec toi. Je voudrai rester ici toute ma vie.
Livai resserra sa prise sur moi.
- Je réalise... que je ne t'ai pas vraiment parlé de moi.
Je rouvre les yeux, intéressé par ce qu'il va me dire.
- Quand on était adolescent, je te parlais un peu de ma mère. Mais j'étais assez discret et quand on s'est revu cette année; on a tout de suite fait ressortir nos sentiments sans vraiment se parler. Tu ne sais presque rien de moi et de mon passé.
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