Chapitre 16: Dégringolade (9)
Un doigt fut rapidement insuffisant pour mon appétit, je me tortillais sous Livai qui prenait son pied en me regardant me caresser.
Je cherchais en même temps ma boule d'amour, qui avait prise l'habitude d'être stimulé.
- Ah... ah Livai...
- Imagine que c'est moi... halète Livai.
Je recule la tête en arrière tellement je n'en peux plus, j'ai tellement chaud. Je me sens tellement bien, j'en deviendrais presque égoïste.
Les mains se Livai caressent mes cuisses, mon dos.
Je me sentais à bout, je me débrouillais accélérant le mouvement de mes doigts.
- J...je veux que ce soit toi.
Livai avala da salive et attrapa mes hanches, il positionna mon bassin contre le sien et très vite je sentis sa présence en moi.
Je lâchais un long gémissement, cambrant le dos de plaisir.
- Putain Eren... t'es tellement serré!
Livai crispa ses mains, me faisant je l'admet un peu mal mais je m'en fichais.
Je relevais le bassin pour commencer nos vas-et viens, Livai couché sous moi.
Je menais la danse, pour une fois à mon rythme, mais très vite, je n'en pouvais plus. Je me sentais à bout de force.
- L...Livai... je vais... ça vient! Ah!
Un long frisson me parcoura le corps. Je criais longtemps, déversant mon bien-être.
Livai attendit que mon orgasme passa pour m'attraper les épaules et reprit les rênes.
Je n'arrivais pas à m'en remettre! Il allait beaucoup trop vie!
- Ah! Aha Livai! C'est...c'est... Ah!!
- Eren...Khg! T'es tellement bon putain. Je pourrais te faire ça pendant des heures!
L'idée m'enchantait presque, je fus vexer de l'endurance de Livai, mais j'en profitais aussi.
Il tient beaucoup plus longtemps que moi.
Dans la pièce, on entendais juste nos peaux se claquer et nos respirations s'entremêler.
Il me serra contre lui, je plantais mes ongles dans son dos. J'étais plus qu'à bout, je ressentais encore cette agréable montée.
Livai grogna dans mon cou, je serrais son bassin contre le mien pour nous rapprocher.
Je crois que j'aurais pu mourir dans ses bras.
Livai accélère, prenant en possession mes lèvres dans la frénésie du moment.
- L...livai, j...je viens! Je...
Il m'assiégea un dernier coup de bassin qui fit crisper tous ses muscles. Je cambrai le dos, agrippant l'homme que j'aimais.
Livai retomba sur mon torse, reprenant difficilement sa respiration. Sa main caressa mon torse alors que mes mains se perdirent dans ses cheveux.
- Whaou... murmure-t-il.
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