Son regard devint plus profond, il encadra mon visage de ses mains et m'embrasse doucement les lèvres.

Cela faisait trop longtemps, je ne m'étais senti aussi proche de lui.

Je passe mes mains autour de son cou, emballant légèrement nos baisers.

- Je sais... que tu m'en veux peut-être encore... dit il contre ma bouche, mais j'ai très envie de te faire l'amour... tout de suite...

Je rougis, j'avoue que moi aussi j'avais envie. J'hoche légèrement la tête alors qu'il se lève pour nous emmener vers sa chambre.

Quand il ferma la porte, mon cœur s'emballa alors qu'il attrapa mes hanches pour les presser contre les siennes. Il reprit possession de mes lèvres et de mon âme, profitant que je commence à perdre déjà pied.

Sa langue caressa doucement mes lèvres rougies, mes jambes tremblaient. Mes sens étaient déjà à l'affût de toutes tendresses.

Nos respirations se mêlaient en même temps que nos baisers, nos mains cherchaient plus sous nos vêtements.

Je penchais ma tête en arrière il en profita pour lécher mon cou et y laisser un belle trace de son amour.

Je sentais une pression contre mes reins, qui m'excitait encore plus.

Il nous fit tomber sur le lit, commençons à nous bagarrer gentiment entre nos baisers. Cherchant à défaire nos habits.

On se touchait l'un l'autre avec tendresse, effleurant chaque zone que l'on pouvait.

Sa bouche m'embrassait absolument partout, me faisant perdre pied.

On roulait dans le lit, nos lèvres se disputant une agréable petite bataille de dominance. Nos sueurs se mélangeaient, nos peaux se fortaient.

Jamais l'on ne s'était autant aimé, touché comme ça... cela m'excitait encore plus. Mon corps allait être entièrement imprimé par le sien.

Nous étions nus l'un contre l'autre, dans ce câlin torridement chaud.

Ma tête tournait presque tellement je me sentais bien.

Ses mains glissèrent entre mes cuisses pendant que je mordais son oreille.

- Ah...

Ma bouche s'ouvrit légèrement pour laisser passer un petit gémissement que Livai se fit un plaisir de combler avec sa bouche.

Plus les baisers s'enchaînaient, plus commençaient à gémir et gémir à en perdre ma voix.

Je m'accrochais à ses épaules alors que Livai scrutait chacune de mes expressions. Pour l'exciter, je m'approchais contre son oreille pour gémir contre elle.

- Hum... Livai, c'est tellement bon..

Liavi grogna, crispant ses muscles contre moi sentant que mes mains devenaient baladeuses.

Il colla son front contre le mien, accélérant ses mouvements.

- Ah!! Ah...

- Gémis encore... mon prénom

- Livai... Livai, murmurais en m'aggripant à lui. Livai je t'aime!