Chapitre 14: Retour aux sources (7)

Quand minuit sonna, on souhaitait tous une bonne année et Livai m'embrasse discrètement, sous le regard bienveillant de mes parents.

Nous sommes encore restés éveillés un moment mais la fatigue se faisait sentir.

Rapidement, mes parents ont voulu aller se coucher. Je sentais quelque chose naître dans mon ventre quand je montais les escaliers derrière Livai.

Alors qu'il voulut ouvrir la porte de ma chambre, je lui attrape l'épaule pour le mettre face. Je fond sur ses lèvres, nous amenant tous les deux sur le mur.

Ma respiration était sifflante pendant que je m'accrochais à son visage.

- J'ai envie de toi Livai, dis je entre deux baisers.

J'eus très vite honte de ma requête. Je me reculais en passant ma main dans mon cou.

- Heu... j...je... tu dois être fatigué! Je ne veux pas te forcer.

- C'est bon, dit Livai en m'entraînant en attrapant ma main. Allons dans le grenier sinon tes parents vont nous entendre.

On prend soin de fermer la porte de grenier et essaye de monter tout en s'embrasser fougueusement.

Je sens mon sang affluer dans mes veines. Je fais tomber Livai sur le matelas et continue de l'embrasser en déboutonnant son pantalon.

Soudain, je me relève réalisant quelque chose.

- Je n'ai pas pensé à prendre des capotes.

- Moi j'en ai, dit Livai avant de se décaler pour fouiller quelque dans le poche de sa veste en cuir.

Il sort une boîte bleu, il l'ouvrit et prit un petit emballage.

- Rassuré, dit il en souriant malicieusement?

J'hoche la tête avant d'enlever mon tee-shirt. Livai en fit de même et on finit tous les deux allongés à se caresser et s'embrasser.

Je mord son oreille pendant qu'il passa ses mains sur mes petites fesses.

- Tu deviens vraiment bon à ça... susurre Livai pendant que je lui faisais un suçon dans le cou.

Il se mordit les lèvres, aimant mes faits et gestes. J'avais juste moins peur et osais faire des choses dont je me retenais avant de faire.

Ma bouche descend sur son ventre parfaitement musclé. La respiration de Livai commence à se faire entendre. Je sens en descendant, une forme frôler mon torse qui vient de son pantalon.

J'ai eu peur un quart de seconde en la sentant avant d'en avoir envie. Je relève la tête, Livai avait fermé les yeux et s'accrochait à l'oreiller. Je voyais des gouttes perlées sur son front.

J'avale ma salise avant de finir d'enlever son pantalon.

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