Chapitre 11: Noël (8)
Je touchais, en levant mes mains au dessus de ma tête, un petit tiroir et tentait de l'ouvrir.
Mais Livai prit les devants et sortit du tiroir caché par mon oreiller, une boite de préservatif et un tube de lubrifiant un peu entamé.
Livai revint sur mes lèvres qu'il embrassa longtemps, passant fougueusement ses mains dans mes cheveux. Au bout d'un moment, de la salive commença à couler sur ma joue.
Je tentais de bloquer ma respiration mais Livai avait défait mon pantalon et cela commençait à me faire un peu peur. Certes, il m'avait déjà vu nu mais là... le contexte est complètement différent.
Il dévoila mon sous-vêtement qui n'avait plus sa forme d'origine mais ma main bloqua son torse pour le faire reculer. Je me retenais de pleurer tellement je ressentais un mal-être dans mon estomac. Livai se releva un peu, redressant ses cheveux qui lui collaient au front.
- Eren... Calme toi, dit il passant sa main sur ma joue. Ton corps... tu es magnifique, laisse moi voir. Il n'y a que moi et moi seul qui le verra.
Il se releva pour me laisser un temps de répit. Pourquoi j'ai si peur? Mon esprit ne fait que crier "Livai". C'est comme si ces lettres se déversaient dans mes veines.
Je me relève un peu et vais embrasser Livai. Pendant le baiser, je déboucle sa ceinture et défit son pantalon. Il se laissa faire et l'instant d'après, il m'assit simplement sur ses cuisse, continuant notre beau baiser.
J'aspirais timidement ses lèvres pendant qu'il prit ma main. Pour mettre une part d'égalité, il retira mon sous-vêtement en même temps que le sien. Je ne pouvais pas quitter des yeux son... sa... enfin, cette partie de son corps que personne d'autre que moi n'avait vu. Mais son baiser sur la joue me remit les idées en place. Je relevais la tête et Livai mordit ma mâchoire. Je lâche un petit soupire d'aise, l'entendant trafiquer des choses derrière moi.
Il enfila un préservatif en continuant de porter des attentions à mon cou. Je passais mes mains autour de ses épaules et commençait un doux mouvement de bassin.
Je créais petit à petit, un bien-être commun alors que l'on se frottait simplement l'un à l'autre.
Je me retenais de gémir, masquant ma bouche avec le dos de ma main. Livai voulut pester contre cette barrière.
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