Un souvenir mauvait d'enfant


C'étais une expresion écrite en francait d'il y a plus de 2 mois on devait raconté un souvenir d'enfance marquent et donné son poins de vu en temp que personne plus mur et ailent pris du recule. J'ai écrit un souvenir que j'avait oublié mais qui ma redonné cette inprésion de sufoqué. Je l'est un peu changé mais elle est globalement identique.

C'étais quand j'étais petit, je ne devait pas avoir plus de 9 ans. Mon père, mes soeur et moi étions avec chez la fammile de mon père, je n'avait pas l'habitude de resté avec eux meme si je les aimait énormément. Après mangé, quand les adult débaraserae la table en dicuten joyeusement tous les enfants montaire a l'étage.

Je suivit les garcont que je préfairait a mes cousine car ils discutais moin de chose a la mode, vetement ou chanson qui m'étais inconnu et jouait plus a des jeux vidéo et en rigolent. Mais bien sur ils refusairent préférent que j'aile avec les fille comme j'en étais une, ce qui m'obliga a aller vere mes cousine qui recommencaire a discuté de sugait que je n'aimait pas comme je m'en doutait. Puis une trentaine de minute passaire pour moi et les fille désidaire toute de joué a colamaila.

On fis quelque parti avent que se soit a mon tour de me bandé les yeux et de les cherché. On me fis tourné sur moi-meme autent de foix que mon age pour que je ne sache plus ou je me trouvait dans cette chambre. Je ne bougait presque pas pour cose la peur de heurté quelque chose et de me faire mal. Et mes cousinne un peu déssu que je ne bouge pas auten que les autre commencaire a me touché le brat, parlé fort, dire mon prénon, me donné de petit tape et a me chatouillé. Moi qui ai toujours été tres sensible au chatouille, je riait, je riait au éclat jusqu'a en tombé au sol.

Et elles, voilent que " j'aimait " sa, elles cotinuaire plus rapidement. Au début je demendait gentilment d'arrèté car pour moi c'étais rigolo mais juste un peu enbéten. Jusqu'au moment ou je commençais a sufoqué, mes yeux mouillé dériaire le bando. Petit a petit j'avais mal. J'étais peux etreen fin en train de joué avec mes cousine que je ne voilait presque jamait, mais je me  retrouvail les yeux bendé et au sol, n'entendant que leur rire et mes "crie de joie" tout en espérent que quelqu'un arraite sa. Je ne pouvait pas me défendre, j'étais comme devenue aveugle et ma voix étais incontrolable et malgré mes éffor fisique je ne réusi pas a me sortir de cette enfer.

Apres un temp, qui étais pour moi l'éternité, une de mes tante ouvrat la porte a cose du bouquent. Tout les fille s'araitaire en remarquent l'adulte mescomptente qui les gronda pendant que j'enlevait cette horible bendo. Puis quand ma tante parti je vis leurs yeux qui n'avait pas une honse de culpabilité, elle n'avait pas vu tout la peur et le mal que j'avait resenti.

Pour elle se n'étais qu'un jeu

Je parti alors que j'ait sur le poins de fondre en larme et la derniere chose que je vis étais leurs regard intérogateur et étonné.

Sa dois faire plus de 4 ans que cette histoir que j'avait presque oublié c'est déroulé, pourtenp je n'est pas l'inprésion que se setiment de peur et faiblaisse est disparu. Je me sens toujours tres mal d'y repensé meme si je sais que sa ne se repasera probablement plus Et je trouve cette situation horrible en plus que maintent je me demende :

" Et si je n'avait pas crié assez fort pour qu'un adulte vienne ? "

Maintenent comme au par avent j'est encore cette imprésion de sufocation et inprésion d'avoir la gorge noué. J'est juste envie d'avoir le retour de quelqu'un pour savoir si se que je resent est justifiable ou si j'en fais trop. Ou au moins parlé a quelqu'un pour oublié se qui a été pour moi un horrible cauchemare.

-Fin-

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